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Aujourd’hui, le Règlement général de protection des données personnelles (RGPD) dans l’Union européenne entre en vigueur en France. Derrière ce sigle barbare se profile un texte incontournable pour les organisations publiques ou privées (PME/PMI, grandes entreprises, collectivités territoriales, associations…). Désormais, le traitement automatisé des données personnelles devra reposer sur le consentement écrit, clair et explicite de chaque internautes. Cette réglementation européenne plus restrictive représente un enjeu majeur pour les grandes entreprises du numérique. En effet, le modèle économique des GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) repose largement sur l’exploitation et la valorisation des données personnelles. En collectant des nombreuses données (Like, statut, messages…) les réseaux sociaux précisent de profils d’utilisateurs qui permettent de caractériser des cibles marketing et publicitaires. Ces profils sont aussi enrichis par nos habitudes de navigation, sous la forme de cookies
Depuis le scandale autour de Facebook et Cambridge Analytica, la data privacy ne fait plus débat. Les risques liés à de mauvaises pratiques en matière de données ne sont plus un secret pour personne. Le Règlement Général sur la Protection des Données personnelles (RGPD) est attendu plus que jamais. Les banques, naturellement collecteurs de données personnelles et confidentielles de leurs clients, sont parmi les plus concernées par cette nouvelle règlementation. Quelle est l’approche des banques pour s’adapter aux nouvelles exigences en matière de sécurité des données et que reste-t-il à faire ?
Le RGPD entre en application le 25 mai 2018. La CNIL, régulateur des données personnelles et Bpifrance, partenaire des entreprises, ont uni leurs moyens pour élaborer un guide pratique qui réponde aux interrogations des entrepreneurs et leur propose un accompagnement pragmatique et adapté pour passer à l’action. La mise en place du RGPD est aussi l’occasion pour les TPE et PME de progresser dans leur maturité numérique.
Alors que le règlement général sur la protection des données (RGPD) entre en vigueur le 25 mai, les pratiques liées au CRM risquent d'être amenées à évoluer. Lors du Salon E-Marketing Paris, Olivier Barbey, du cabinet de conseil HSK Partners, a donné quelques pistes pour se mettre aux normes.
PARIS (Reuters) - Le projet de loi sur la protection des données personnelles est l'objet de vifs débats au Parlement, où une nouvelle lecture a eu lieu jeudi alors que le temps presse pour ce texte appelé à être adopté avant le 25 mai pour se conformer au droit européen.
Après six ans de discussions, l’Europe va partager de nouvelles règles communes en matière de protection des données personnelles de ses citoyens. C’est le 25 mai prochain que ce règlement RGPD (règlement général sur la protection des données) entrera en vigueur; un challenge pour les entreprises qui doivent concilier protection de la vie privée des citoyens et innovation !
Les députés viennent de voter le projet de loi relatif à la protection des données censé accompagner l’entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (RGPD) prévue pour le 25 mai 2018. Discuté en procédure accélérée, le texte est maintenant entre les mains du Sénat.
Le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est monstre réglementaire qui fait parler de lui depuis plusieurs mois. En effet, son entrée en vigueur au 25 mai 2018 se rapproche et les entreprises commencent seulement à prendre conscience des travaux à réaliser pour s’y conformer.
La mise en place du RGPD (Règlement Général sur la Protection de Données) entrera en vigueur le 25 mai 2018. Tous les pays membres de l'Union Européenne doivent mettre en conformité leurs législations nationales avec ce nouveau règlement européen.
Professionnels de la relation client, vous avez aimé Bloctel ? Vous allez adorer le bulldozer RGPD, réglement européen de protection des données personnelles
Après une année 2017 marquée par une prise de conscience généralisée, 2018 sera l’année de la cybersécurité. Intégrée directement aux nouveaux produits, de l’IA à la blockchain, renforcée au sein des systèmes d’information, et objet de stratégies de résilience, pour Vincent Maret, expert KPMG, la cybersécurité va passer à la vitesse supérieure.
Un projet de loi sur la protection des données personnelles était en débat cette semaine à l'Assemblée nationale. Comment protéger les millions de données que nous produisons chaque jour ? Le regard de la spécialiste et chercheuse Valérie Peugeot.
Pour Giovanni Buttarelli, la protection des données personnelles doit être renforcée dans l'Union européenne via une mise à jour de la directive de 2002 sur la vie privée. Il appelle entre autres à une généralisation du chiffrement de bout en bout.
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En matière de gestion des données personnelles, les entreprises doivent faire du RGPD une priorité, mais elles devraient aussi avoir une vision plus étendue.
Une mise en conformité complète avec le Règlement général sur la protection des données à l’horizon du mois de mai est illusoire pour beaucoup d’établissements. Mais la France bénéficie déjà d’un cadre réglementaire exigeant en matière de protection des données personnelles.
Souvent, sans que nous nous en rendions compte, nos données personnelles circulent sur internet, sont analysées, stockées, transmises et parfois même monnayées. Face à l’éclosion d’une nouvelle économie reposant sur l’interconnexion des données et leur valorisation, l’opinion publique s’est intéressée, de façon grandissante au cours des dernières années, au sort de ces informations si personnelles dont pourtant la maîtrise échappe à leurs véritables titulaires.
Comment appréhender les enjeux de la protection des données à travers une démarche d’intelligence économique ? Comment faire du RGPD un levier d’action et de transformation des TPE/PME au-delà des contraintes réglementaires ?
Le règlement général sur la protection des données (RPDD) approche à grands pas de son entrée en application. Bien que le RGPD soit une question de protection des "données", cela ne signifie pas que sa mise en œuvre repose uniquement sur les épaules du DSI. Lorsqu’il s’agit de traiter et de protéger les données des employés, c’est le service RH qui est responsable.
Les entreprises françaises sont mal préparées aux exigences du futur règlement européen sur la protection des données personnelles. Plus d'un quart d'entre elles éprouverait des difficultés à localiser l'emplacement de leurs données.
Ce n’est plus un secret pour personne, le RGPD (Règlement général pour la protection des données) entrera en vigueur le 25 mai 2018.
Le défi de la protection des données lancé par le RGPD n’est pas qu’une sinécure. Le règlement européen est également synonyme de gains économiques pour le secteur de la Tech et participe à la prise de conscience des enjeux sécuritaires liées aux données sensibles.
Voici une carte interactive de la protection des données personnelles dans le monde. Elle pour objectif de bien comprendre le niveau de protection et les différentes lois appliquées dans chaque pays afin de vous aider sur le process de mise en conformité au RGPD.
Le RGPD est un règlement général sur la protection de données. Cette mesure qui est notamment un vrai challenge pour les organisations européennes entrera en vigueur le 25 mai 2018. Mais quels sont les enjeux de cette nouvelle règle ? - On en parle avec: Jean-Bernard Guidt, directeur associé de Keyrus Management. Philippe Guénault, directeur général de Software AG. Et Thierry Brun, ambassadeur GDPR chez IBM France. - 01Business Forum - L'hebdo, du samedi 10 février 2018, présenté par Frédéric Simottel, sur BFM Business.
C’est le 25 mai 2018 que le RGPD va entrer en vigueur. A quoi correspond cette nouvelle mesure ? Que doivent faire les entreprises pour être en conformité ? Mediaveille vous explique simplement ce qu’est le RGPD*.
Les entreprises françaises – des PME aux multinationales – ont tout juste un an pour se conformer à la réglementation européenne en matière de protection des données personnelles. Dès mai 2018, elles devront pouvoir prouver qu’elles sont à même de sécuriser les données de leurs clients. Ce qui serait le cas, à ce jour, de moins de la moitié d’entre elles. Y-a-t-il le feu au lac ? Réponse avec Daniel de Prezzo, directeur des technologies chez Veritas, spécialiste de la gestion des données.
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