Your new post is loading...
Your new post is loading...
The Measure of a Man. A presentation by Regina Holliday...
Développé par une société française, cet outil intègre quatre facteurs de risque puis suggère la fréquence
L’évolution de la procédure d’agrément pour l’hébergement de données de santé sur support numérique vers la certification HDS est sur le point d’être adoptée. Une transition à anticiper ! La période de consultation des autres États membres s’étant terminée le 23 octobre, le décret notifié à la Commission européenne relatif à l’hébergement de données de santé à caractère personnel est désormais prêt à être adopté.
Sans surprise, le projet de décret vient préciser les orientations de l’ordonnance du 12 janvier 2017 modifiant le code de la santé publique qui entrera en vigueur le 1er janvier 2018. À noter : ce calendrier est ambitieux puisque la date butoir avait été fixée au 1er janvier 2019 par cette ordonnance.
Via Medecin Geek
Un hacker est parvenu à pirater le site flamand de rendez-vous médicaux "Digitale Wachtkamer" et à se procurer ainsi les adresses e-mail , numéros de téléphone et raison de leur visite d'un demi-million de patients belges !
Via Philippe Marchal
Una panoramica sui principali rischi e sull'impatto delle violazioni dei dati sensibili dei pazienti da parte di cyber-criminali in ambito sanitario a firma di VASCO Data Security
Santé publique France modernise le dispositif des maladies à déclaration obligatoire (MDO) avec, dans un premier temps, la télédéclaration de l’infection par le VIH et du sida par le biais d’une...
Une simple patiente dont le corps médical n’a, selon Lisa Steen, pas pris en compte les compétences médicales. Les dernières lignes de ce récit d’outre-tombe ne sont pas tendres avec la profession : « les médecins n’aiment pas qu’on leur dise quoi faire, et si vous essayez subtilement, ils ne le remarquent pas ».
Via Renaloo
Quelques jours après avoir renversé l’Australie, les États-Unis et la Nouvelle-Zélande, le tsunami Pokémon Go gagne la France. Le jeu de capture de petits mons
À la suite des attentats survenus en France en janvier et novembre 2015, la direction générale de la sécurité civile et de la gestion de crise (DGSCGC) du ministère de l’Intérieur, en collaboration avec le Service d’information du gouvernement (SIG), ont travaillé au développement d’une application mobile d’alerte des populations sur smartphone : « SAIP », pour Système d’alerte et d’information des populations. Disponible dès le 8 juin, cette applicatio
Un arrêté du ministère de la Santé interdisait jusque-là l'accès aux données de santé aux organismes de recherche à but lucratif.
Via Rémy TESTON
La Société canadienne du cancer a mené une enquête afin de déterminer ce que les gens pensent de l'information qu'ils trouvent en ligne. La réponse courte : ils en sortent accablés et confus.
|
ShareFacebookTwitterLinkedInEmailPrint Mayo Clinic has launched a new social media campaign that revolves around patient experience—both positive and negative—featuring articles written by patients and their caregivers. Experts by Experience, which is a partnership between the health system and healthcare social network Inspire, will include posts from patients and caregivers from across the globe, according to Mayo Clinic. The system says the campaign has three goals: Educate providers using first-hand stories of patients' experiencesOffer a look into a "day in the life" for patients or caregivers dealing with certain conditionsProvide opportunities for quality improvement "Sharing stories has valuable health benefits for readers or listeners and narrators alike," the health system said in the announcement. "Be it through their own experiences or those of loved ones, patients and caregivers are in a unique position—by sharing their stories they are able to create a comprehensive narrative out of often chaotic journeys." The series' first post, for example, describes a negative and a positive experience with emergency care. Renata K. Louwers is a patient advocate and writer whose husband was being treated for bladder cancer. During one ER visit, her husband was left on a stretcher in a hallway as there were no available beds, according to the post. Louwers wrote that she was exhausted and no one offered her a chair or a place to sit. Worse, she was scolded by the hospital staff when she sat down against the wall. On another visit, Louwers said she arrived late at night with her husband and a nurse quickly recognized how tired she was. He offered her a pillow and a spot to sleep, saying he would wake her when the doctor needed to speak with her. "I understand that in an emergency room the top priority is to handle emergencies, not to comfort caregivers. But it takes discreet actions like kindness, helpfulness, empathy—things within the control of every person—to scale up the humanity of care," Louwers writes in the post. "And scaling up, even slightly, can have a big positive impact on caregivers."
Via Plus91, Lionel Reichardt / le Pharmageek
play2PREVENT Lab Study’s results published early September 2017 in the Journal of Medical Internet Research showed that PlayForward “Serious Game” was effective in improving positive attitudes about sexual health among adolescents Following my previous post Jesse Schell On Serious Games @ Serious Play 2013, which covered PlayForward: Elm City Stories as a gold medal winner in the Healthcare/Medical category of the International Serious Play Awards, the Yale News has recently reported that “video games might soon have a place in classrooms as tools to help educate adolescents about public health issues.”
Via Kim Flintoff, Giuseppe Fattori
Publié le 21/09/17 - HospimediaLors du forum e-Health des Échos ce 19 septembre, les intervenants se sont accordés sur le fait que l'innovation matérielle et technique ne suffit pas à la transformation numérique de la santé. Les acteurs tâtonnent entre démarches globales de numérisation de la santé et projets ciblés de services ou objets connectés.Le marché de la e-santé est estimé à près de 3 milliards d'euros (Md€) en France aujourd'hui, et potentiellement à 4 Md€ d'ici 2020. Toutefois, si ce secteur présente une forte attractivité, le cadre administratif et réglementaire n'est pas favorable à son développement, et les pouvoirs publics sont particulièrement ciblés sur les besoins de modification et de simplification de cet environnement. Le directeur général de l'Agence des systèmes d'information partagés de santé (Asip Santé), Michel Gagneux, dans sa volonté de déployer les solutions numériques, rappelle "l'importance de l'accompagnement, du soutien et de la pédagogie auprès du professionnel de santé". Tous les intervenants s'accordent à dire, en adéquation avec la stratégie nationale de santé annoncée par la ministre des Solidarités et de la Santé Agnès Buzyn la veille, que le numérique doit être au service de la santé, à commencer par être intégré à des démarches de prévention.Revoir le cadre administratif et réglementaire de la santé numériqueLes institutions publiques sont conscientes que l'environnement de la santé numérique tel qu'il est défini aujourd'hui n'est pas favorable au développement de l'innovation. La tendance est à l'adaptation et la simplification du cadre administratif et réglementaire. Philippe Cirre, délégué adjoint à la stratégie des systèmes d'information de santé (DSSIS), estime que "le numérique est un outil, un moyen. Il faut le placer dans le cadre de la stratégie nationale de santé." Il annonce que les modalités de traitement des données vont évoluer dans l'année à venir. "Le patient doit pouvoir maîtriser ses données et y accéder et pour cela, les outils doivent être ergonomiques." Il ajoute la nécessité de définir un cadre d'interopérabilité et de sécurité : "Nous souhaitons simplifier la vie des acteurs économiques et travailler à la modernisation des services de régulation. Il faut trouver un modèle économique dans lequel les industriels privés investissent." Une gouvernance à travers le Comité stratégique du numérique en santé (CSNS) a été mise en place par la DSSIS et le ministère afin de construire la stratégie globale avec les pouvoirs publics.L'encadrement du traitement des données numériques recueillies sur les patients a vocation à laisser plus d'autonomie aux entreprises afin de les responsabiliser et réduire l'attente de traitement par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). "La loi Informatique et libertés est en vigueur depuis quarante ans", rappelle Thomas Dautieu, directeur adjoint de la conformité pour la Cnil. "Le 25 mai 2018, un règlement sera appliqué pour toutes les entreprises de l'Union européenne." Il existe déjà et est publié depuis un an et demi, le but étant que les acteurs traitant des données de santé l'appliquent progressivement. "Il a vocation à crédibiliser les Cnil européennes grâce à leur coopération, la possibilité de prononcer des sanctions pouvant aller jusqu'à 20 millions d'euros (M€), le renforcement du droit des personnes sur la collecte des données, avec le droit à portabilité des données notamment, et responsabiliser les entreprises." Ce dernier point permet la réduction des formalités obligatoires auprès de la Cnil, mais oblige les entreprises à prendre davantage la responsabilité de la conformité de leurs services et produits. L'opérateur de données doit documenter et suivre le parcours des données tout au long de leur vie, envisager différemment le traitement des données et le faire de manière responsable.Accompagner professionnels de santé et patients"Le développement de la e-santé dépend de la capacité des médecins à l'adopter dans leurs pratiques", appuie Éric Jarrousse, vice-président de Cegedim Healthcare Software. "Il faut accélérer les outils qui leur permettent de travailler ensemble sur des projets de santé communs." L'entreprise propose des portails en lien entre la ville et l'hôpital afin d'éviter la rupture de soins. L'assureur s'approprie les usages avec l'intégration d'outils dans les logiciels des médecins. Afin de proposer des solutions complètes, il considère que "l'interopérabilité est fondamentale, et dans cet objectif, le dossier médical partagé (DMP) doit correspondre à des cas d'usage et servir à accompagner le patient".Pour favoriser les interfaces avec la médecine ambulatoire, les modes software as a service (Saas) se développent afin de permettre aux médecins de travailler partout. Afin de couvrir la totalité du territoire et de réduire les déserts médicaux, "la télémédecine doit se développer, car entre 2,5 et 3 millions de personnes souffrent de ne plus avoir accès à un médecin". Michel Paoli, directeur médical délégué efficience, télémédecine, innovation, santé du Groupe d'assurance IMA, explique que toute la solution ne réside pas dans la technique : "Nous croyons beaucoup à la télémédecine, sans tellement y croire. C'est un mode d'accès mais on ne peut livrer patients et professionnels de santé à eux-mêmes avec les outils digitaux. Il faut s'appuyer sur le digital et accompagner les changements d'usages."L'Asip Santé confirme ce constat de manque d'accompagnement des professionnels de santé et des patients dans l'utilisation des nouveaux outils disponibles. Michel Gagneux prend acte que "le défi est culturel et il faut amener des évolutions dans les pratiques et sur le plan organisationnel. Les outils existent mais il faut adapter les pratiques à ces outils." Il estime que des coopérations entre les industriels, les instances publiques, les professionnels de santé et les patients amenant à une bonne connaissance des innovations sont nécessaires aux bienfaits qu'elles peuvent apporter. "Le rôle du patient va être de plus en plus déterminant dans la façon de faire évoluer les pratiques et usages des professionnels et des institutions de santé. Les outils numériques sont des facteurs accélérateurs des transformations du système de santé. L'outil n'est pas la solution en tant que telle, il y contribue, mais tout ne tourne pas autour de ça."
Via Medecin Geek
A Japanese company has created a smartphone case to help parents prevent their children from becoming addicted to their mobile devices.
Via eMedToday
Une tumeur invasive a été découverte sur un os d'hominidé vieux de 1,7 millions d'années. Voilà qui tend à démontrer que le cancer n'est pas exclusivement une maladie de l'homme moderne, mais que ses origines sont d'abord génétiques. Eclairages, et débat.
Une étude publiée dans le journal « Cyberpsychology, Behavior and Social Networking » a révélé que les personnes actives sur les réseaux sociaux seraient moins exposées à des symptômes dépressifs, ainsi qu’à des maladies chroniques, comme l’hypertension artérielle ou encore le diabète. Cette étude a été menée sur 591 participants d’un âge moyen de 68 ans.
Une étude qui s’intéresse au lien entre les réseaux sociaux et la santé
Et si les seniors devenaient de véritables adeptes de Facebook, Twitter et du Smartphone ? C’est en tout cas ce que prône William Chopik, professeur adjoint à l’Université du Michigan qui précise que « l’utilisation accrue des médias sociaux auraient des conséquences positives sur les personnes âgées ».
L’étude constate également que les participants actifs sur les plateformes de médias sociaux sont généralement plus satisfaits de leur vie en général et ont moins de symptômes dépressifs, tout comme de maladie chronique. Plus de 95% des personnes âgées interrogées dans le cadre de l’étude précisent être « assez satisfaits » ou « très satisfaits » des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). 72% ne sont, quant à elles, pas opposées à l’apprentissage des nouvelles technologies.
Via Dominique Godefroy, 1pharmacien2pt0 - Quentin ROSET
Méconnaissance de l'état de santé des détenus, offre de soin disparate et insuffisante : un rapport de l'Inspection générale de
Qui seront les héros de demain et quel modèle laisseront-ils à nos enfants ? La question sera posée au "Up Fest" à l'initiative du mouvement "UP".
Afin d'éviter les manipulations des protocoles d'essais cliniques, un chercheur britannique a mis au point une technique infalsifiable à l'aide de la blockchain.
L’usage du blogue semble être en forte progression, autant pour trouver de l’information que pour partager son expérience de la maladie (1). Les patients blogueurs seraient de plus en plus no…
Via Rémy TESTON, catherine cerisey
Dans quel pays transférer des données personnelles et à quelles conditions ? Quel pays dispose d’une législation spécifique ou d’une autorité de protection des données personnelles ?
"Après deux tumorectomies, une mastectomie, une reconstruction, 18 chimiothérapies, 5 semaines de radiothérapie et 5 ans d’hormonothérapie, je suis
|