Les offres de bases de données relationnelles dans le cloud se banalisent depuis peu mais leur "scalabilité" reste limitée. Pour lever cet obstacle, il faut généralement passer aux offres noSQL qui imposent d’autres contraintes.
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Stéphane NEREAU
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Chez Amazon ou Google, le coût est essentiellement fonction de la taille de la base et du nombre d’entrées/sorties. « Malgré cette simplicité, la facture n’est guère prévisible car elle dépend beaucoup du trafic », note Djamel Zouaoui. En noSQL, les coûts sont toutefois moins élevés car la mutualisation des ressources est plus facile, et ils peuvent être modulés plus finement.
« Avec DynamoDB, on peut monter et descendre à volonté avec une granularité d'une heure », précise Eric K'Dual. Pour sa part, Microsoft ne facture SQL-Database qu’en fonction du nombre de bases de données et de leur taille, ce qui assure une meilleure visibilité.