Une équipe spécialistes en sécurité informatique ont fait une découverte alors qu’ils enquêtaient sur un serveur aux Pays-Bas auquel des cybercriminels avaient recours pour contrôler un immense réseau d’ordinateurs connu sous le nom de « Pony botnet ». Les codes confidentiels retrouvés permettaient à leurs utilisateurs de se connecter à Facebook, Yahoo!, Google ou encore d’autres sites de service comme Twitter.
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Stéphane NEREAU
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Les cybercriminels avaient dérobé des informations confidentielles sur 22 000 comptes Twitter, 59 000 comptes Yahoo!, 60 000 comptes Google et 326 000 comptes Facebook. D’autres sites sont également concernés, à savoir, LinkedIn, agateway ou encore vk.com. Les données ont été aspirées suite à l’infection des comptes par un malware, principalement sur des ordinateurs dont les mises à jour de sécurité étaient obsolètes. Les informations volées étaient principalement des mots de passe permettant l’accès à l’ensemble des comptes. L’ensemble des utilisateurs qui se sont fait dérober leurs codes à leur insu se trouvaient aux Etats-Unis, en Chine, en Thaïlande et en Europe, notamment, en Allemagne. Suite à cette découverte, Facebook a réagi très rapidement en modifiant l’ensemble des mots de passe des comptes concernés afin de protéger les utilisateurs.