A quoi bon instaurer un nouveau droit, celui à l’oubli, quand des dispositions approchantes existent déjà, tout en générant de la complexité supplémentaire ? C’est en substance la question posée à la Cnil par l’Afdel, l’Asic et le Medef, trois organisations critiques à l’égard d’un tel droit.
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Stéphane NEREAU
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Si les entreprises, souvent plus favorables à l’auto-régulation, ne font pas mystère de leur frilosité vis-à-vis du droit à l’oubli et des contraintes qu’il ferait peser sur elles, il n’en demeure pas moins que sa mise en œuvre pose des difficultés bien réelles et soulève parallèlement des questions juridiques (liberté d'expression, responsabilité des hébergeurs...).