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Si la donnée est vraiment l'or noir du XXIème siècle, sa place devrait être centrale dans l'entreprise. Les raffineries de données devraient tourner à plein régime et valoriser cet or noir au maximum pour créer de la richesse visible dans les comptes des entreprises et anticipée par la Bourse. Or on ne voit pas cette valeur...
La dernière étude de PwC et Iron Mountain sur la perception des risques liés à la gestion des informations en entreprise illustre une certaine inertie au sein des PME européennes et américaines.
La firme Gartner estime que 25 % des grandes entreprises auront en 2018 une stratégie claire pour rendre leurs environnements informatiques compatibles avec l’expérience informatique de leurs employés.
Aux Etats-Unis, la justice fédérale estime qu'une société du pays doit être en mesure de fournir des données aux autorités. La règle s'applique également si ces informations sont hébergées hors du territoire, y compris en Europe.
Protéger les données des clients est impératif. Mais cela ne suffit pas. La chaîne anglaise de supermarchés Morrisons, dont les données de 100 000 de ses employés ont été dérobées et exposées online, vient de l’apprendre à ses dépens.
Vous avez certainement déjà entendu parler de "Big Data". C'est le thème central du CeBIT, le salon dédié aux technologies numériques qui se déroule depuis lundi à Hanovre, en Allemagne. Mais savez-vous vraiment ce que ce terme recouvre vraiment ? Petite explication de notre envoyé spécial sur place, Thomas Jarrion.
Considéré comme l’un des grands défis informatiques de cette décennie, le phénomène big data soulève encore de nombreuses questions. Comment l’appréhender? Quels fruits en retirer? Comment s’assurer du respect légal de l’utilisation des données personnelles? Ces questions étaient au cœur d’un événement qui se tenait hier à Munsbach.
Peu de personnes imaginent à quel point ce qu’on met derrière ce nom fourre-tout de big data va transformer nos vies à l’avenir. Bien sur d’un point de vue professionnel mais également d’un point de vue personnel et, surtout, collectif, remettant parfois en cause des choses que nous pensions immuables et sur lesquels ont été bâtis certains principes de la vie en société et du travail.
Dans le cadre des Assises de la Sécurité des Systèmes d’Information, nous avons eu le plaisir d’interviewer plusieurs experts dont Richard Bertrand, Fondateur dirigeant de la société ACTECIL.
Il fait partie de ces gens inclassables, qui gravitent dans l’univers de la high tech, aux confluences de l’informatique, la physique et les neurosciences. Un pionnier de la Silicon Valley mais ses dreadlocks le rangent plutôt parmi les techno-utopistes de Berkeley, et d’ailleurs c’est là qu’il réside, dans une maison-atelier assez grande pour entreposer sa collection d’instruments de musique traditionnelle (instruments à vent, cithares asiatiques), l’une des plus vastes du monde. Il est aussi compositeur, mais c’est une autre histoire qu’il n’a pas l’intention de raconter aujourd’hui.
Un nombre croissant de DSI et de services informatiques se tournent vers le cloud pour les aider à acquérir un avantage concurrentiel pour leur entreprise, réduire les coûts et faire plus avec moins. Près des trois quarts des DSI que nous avons interrogés en mai de cette année ont convenu qu'ils utilisaient déjà du cloud. Selon l’étude, un des principaux avantages est de fournir un véritable accès universel (de n’importe où, à partir de n’importe quel appareil) aux données de l’entreprises au travers d’applications métiers. C'est en effet le plus grand avantage du cloud par rapport à l'infrastructure informatique maison ; mais c’est aussi sa plus grande faiblesse, comme les événements récents l’ont mis en évidence.
Les fuites de données n’empruntent pas toutes les mêmes canaux ! Une étude menée par Iron Moutain, fournisseur de solutions de stockage, révèle qu’en Europe 66% des usagers des transports en commun sont tentés de regarder par-dessus l’épaule du voisin pour savoir sur quoi il travaille. Plus inquiétant, un sur dix confie avoir eu accès à un contenu sensible ou confidentiel.
Au sein de leurs systèmes Analytics, seules 16% des entreprises européennes affichent un volume de données de plus de 50 téraoctets, niveau généralement associé au Big Data. C'est là l'une des conclusions d'une étude de Steria.
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La négligences des collaborateurs occasionne davantage de fuites de données que les attaques cybercriminelles, d’après un sondage auprès d’informaticiens.
La dernière étude de PwC sur les risques liés à la gestion des informations en entreprise illustre un décalage entre compréhension du phénomène et adoption de mesures concrètes au sein des PME européennes.
Les Web Services sont une approche relativement standard permise par les Application Programming Interfaces (API, interfaces de programmation d’applications), qui permettent à une entreprise ou des entités d’accéder aux capacités d’un site web, aux applications ou aux systèmes internes d’une organisation en se connectant directement aux données sous-jacentes. Cette approche permet un accès rapide au marché en termes d’innovations en temps réel, mais requiert de nouveaux standards dans la manière de sécuriser et de gérer les API ainsi que dans la nature des communications inter-organisationnelles des API au niveau des passerelles B2B d’entreprise.
Le cabinet Ovum vient de publier un rapport qui devrait faire tendre l’oreille. Cette étude commanditée par Vormetric met en évidence le faible contrôle des utilisateurs privilégiés au sein des entreprises françaises et la reconnaissance du chiffrement comme la technologie la plus efficace pour prévenir le risque des menaces intérieures. En outre, 53% des entreprises européennes trouvent ces menaces plus difficiles à détecter qu’auparavant.
Le détaillant Target aurait installé un outil avancé de détection de programme malveillant six mois avant l'attaque survenue à la fin 2013, selon IT World Canada.
L'Europe doit se réapproprier ses données. Ses citoyens et ses entreprises en produisent beaucoup mais les exploitent peu. Il est temps de développer nos propres industriels de la data.
Big Data: Big Bang de la connaissance ou de la consumérisation des humains? Le buzz du Big Data s’essouffle progressivement au fur et à mesure où l’on mesure la diversité des situations, des problèmes et des éventuelles solutions que le seul terme est censé recouvrir. Big Data, c’est quoi ? Une explosion des sources et du volume de données numérisées, synthétiseraient d’aucuns. D’autres vous répondraient en alignant comme un mantra technologique: Apache Hadoop, Hbase, HDFS, Hive, Mapreduce, NoSQL, SAP Hana, etc. ou alors RDF, RDFS, OWL, SPARQL et OPEN DATA. Il y en aurait d’autres encore pour vous parler de connaissance, mais aussi de société, de démocratie, de confidentialité, de subjectivité. Cet article a choisi dès lors d’aborder un point de vue des différents aspects que le Big Data recouvre et s’essaye à les développer sous 3 angles, soit 3 parties qui sont :
Des mallettes spéciales permettent aux enquêteurs de siphonner les données stockées sur n’importe quel terminal mobile. Explications.
Prenez garde, on utilise contre votre gré vos informations personnelles sur Internet sans que vous le sachiez ! Découvrez comment les entreprises de l’Internet monétisent vos données personnelles à travers cette vidéo ludique et complète.
NetIQ a conduit cette année une étude* sur la sécurité du Cloud. L’objectif ? Comprendre la perception de la sécurité du Cloud au sein des entreprises du monde entier.
C'est la nouvelle idée à la mode : les (grandes) entreprises qui sauront se mettre à l'heure du Big Data découvriront énormément de choses et pourront être beaucoup plus rentables.
La National Security Agency (NSA) a la capacité d’accéder à un large éventail de données sur la plupart de nos msartphones, y compris les iPhones, les BlackBerry et sous l’OS Android. Cela a été confirmé par les documents fournis par Edward Snowden à l’agence de nouvelles allemande Der Spiegel.
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