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Dans un environnement volatil, incertain, complexe et ambiguë (VICA), le risque revient en force dans la stratégie des entreprises. Au cours de cet atelier thématique nous verrons comment la RSE transforme la vision du risque.
Autrement dit comment le risque peut être créateur de valeur durable grâce à une approche orientée opportunités et Co construite avec les parties prenantes?
ATELIERS THEMATIQUES RSE "Saison 4" faites-nous part de vos souhaits. LES ATELIERS THEMATIQUES RSE, c'est 2h30 pour comprendre ce qui fait aujourd’hui que la RSE apparaît comme le langage commun d’un nouveau paradigme managérial et que les organisations en attendent une source d’innovations, d’attractivité et de performance économique.
La solution ABCSR démocratise l’accès à la mesure de la performance sociale et sociétale des PME et ETI via des indicateurs RSE accessibles, concrets et communicants. ABCSR permet ainsi de collecter, consolider et transformer les données financières de l’entreprise en 20 indicateurs RSE clés.
Content Management System
Cocorico ! La France est le pays européen à la pointe de l'ergonomie au sein des entreprises. Une "ergonomie à la française" véritable modèle en Europe et penchant idéologique de l'human factor d'Amérique du Nord. L'ergonomie, comme l'a défini le dictionnaire Larousse, c'est "l'étude quantitative et qualitative du travail dans l'entreprise, visant à améliorer les conditions de travail et à accroître la productivité".
Réunir 365 solutions éco-responsables pour donner envie de s’en inspirer dans la vie quotidienne, c’est le défi d’Efficycle, qui publie sa sélection 2015. Generali soutient cette nouvelle édition.
Via Lanne Marie-Christine
L'internationalisation grandissante des revenus touristiques, peut-elle empêcher l'émergence d'un tourisme "différent"? Si l’on comptait 25 millions de touristes en 1950, nous devrions en compter 1 milliard et demi à 2020. Avec une croissance de 4% par an, le tourisme représente un enjeu économique, souvent stratégique pour certains territoires, rien qu’en France la consommation touristique s’est élevée en 2013 à 157 milliards €, plaçant notre pays au 1er rang mondial, mais pour combien de temps ? Jusqu'où le Tourisme peut-il être durable?Quel comportement éthique pour les acteurs du secteur?Quels sont concrètement leurs engagements RSE?Comment le secteur touristique intègre-t-il les nouvelles attentes des consommateurs ?
Les élèves de la série Sciences et technologies du management et de la gestion (STMG) ont passé mardi 23 juin l'épreuve de management des organisations, de coefficient 5. Les candidats au baccalauréat devaient traiter sept questions, à partir de l'exemple d'une organisation dans un environnement économique difficile et à l'aide de 5 documents. Question 1 : Repérer les éléments caractéristiques de l’organisation Couetto. Question 2 : Repérer des éléments de diagnostic stratégique interne de l’organisation. Question 3 : Identifier le problème de management auquel a été confrontée Couetto. Question 4 : Présenter les décisions prises par Couetto pour répondre à ce problème et montrer qu’elles relèvent du management stratégique. Question 5 : Expliquer comment les décisions prises s’inscrivent dans une démarche de responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE). Préciser les autres actions de RSE mises en place par l’organisation.
Pour la deuxième année consécutive, le Centre Hospitalier Sainte-Marie Marie a souhaité sensibiliser ses salariés et les personnes soignées aux enjeux du Développement Durable, et plus particulièrement à la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE), thème retenu pour cette édition.
S’engager dans une démarche RSE ou qualité a un coût financier et humain, mais les retombées en valent la peine. Explications d’une consultante basée au Luxembourg et spécialiste du sujet. Pour une entreprise, les outils d’évaluation de responsabilité sociétale et environnementale (RSE) et de processus qualité sont souvent utilisés comme tremplin de progrès, d’innovation ou de pérennité. Leur mise en place nécessite une préparation minutieuse et un engagement sur le long terme avec l’ensemble du personnel. Celui-ci doit être motivé car l’intégration d’une telle démarche à la culture interne de l’entreprise n’est pas anodine. Quelle approche l’entreprise doit privilégier, comment s’y préparer et à quel coût financier comme humain ?
Via Stéphane NEREAU, François GARREAU
Le 21 avril 2015, Blastrac, concepteur et fabricant de machines de préparations de surface, a obtenu la labellisation Lucie. Celle-ci intervient en complément de l’évaluation Afaq 26 000 « progression » officialisée sur Intermat.
Lucie, un label de référence en France en matière de RSE, accompagne ainsi Blastrac dans une démarche de progrès continu avec un ensemble d’engagements à respecter. Pour l’obtenir, l’entreprise a dû répondre à un cahier des charges très précis comprenant 28 principes d’action réunis en 7 engagements correspondant aux questions centrales de la norme Iso 26 000 (respecter les intérêts des clients et des consommateurs, préserver l’environnement, agir avec loyauté et responsabilité sur les marchés, valoriser le capital humain, respecter les droits fondamentaux de la personne, conjuguer les intérêts de l’entreprise et l’intérêt général et enfin assurer la transparence de son système de décision et de contrôle).
Partage de réseaux et d'expérience, apport de solutions innovantes... Voici les clubs et associations qui dopent la créativité en matière environnementale ou sociétale.
Un code de bonnes conduites commerciales, des primes au résultat diminuées à la faveur d'un salaire fixe plus élevé... Réinventer la chaîne de valeurs du service, c'est le pari qu'a fait l'entreprise de services numériques D2SI pour être plus centrée sur l'humain. Sofiann Yousfi Monod, responsable RSE chez D2SI D2SI existe pour être une Entreprise de Services Numériques (ESN) novatrice, centrée sur l'humain, visant l'excellence dans le service qu'elle délivre à ses clients. Ce trait de caractère identitaire, hérité de notre Responsabilité Sociétale d'Entreprise, nous pousse à réinventer régulièrement notre modèle d'entreprise. Nous avons par exemple repensé la chaîne de valeur complète du service avec, en pierre angulaire de l'organisation, l'ingénieur d'affaires et son rôle de chef d'orchestre. Convaincus de travailler de travailler de façon responsable, nos ingénieurs d'affaires ont souhaité écrire et diffuser un code de bonnes conduites commerciales à contre courant des standards de notre secteur d'activité.
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L’entreprise à mission va-t-elle enfin être consacrée par la loi ? La loi Pacte, qui est débattue à l’Assemblée nationale, devrait lui donner une existence légale. Pour Emery Jacquillat, pdg de la Camif, qu’il a transformée en entreprise à mission au printemps, la création de ce nouveau statut est un vrai progrès : l’inscription d’une mission sociale et environnementale dans les statuts engagera plus fortement l’entreprise.
Via Lanne Marie-Christine
Un constat : la dynamique positive de la RSE dans l'entreprise, même amplifiée par le digital, nécessite encore un travail d'explication visant les PME.
"À une époque où nous connaissons de très forts bouleversements dans tous les domaines, la RSE permet aux entreprises de répondre à des changements de rapport autour d'elles et d'instaurer de nouveaux modes d'organisation, de nouvelles façons d'être, en interne, explique-t-elle. C'est un vecteur de rentabilité et de performance."
Les statistiques sont claires : la plupart des salariés ne comprennent pas la RSE ! Il est temps de changer ça pour que la RSE prenne enfin toute sa place.
L’an dernier, on vous parlait de l’engagement sociétal chez Kaliop. Depuis, nous avons entrepris une démarche de co-construction de notre politique RSE.
Nous sommes convaincus que notre entreprise, de par son rôle, sa place sur le marché mais aussi son ADN fondateur, ne saurait faire l’économie d’une réelle politique de responsabilité sociétale.
Afin que notre politique RSE soit vraiment le reflet du terrain, ce sont les collaborateurs qui identifient et mettent en oeuvre les actions. Réunis en 5 groupes de volontaires, animés par un membre du groupe, les participants mobilisent environ 1 heure / semaine. Chaque mois, les 5 groupes mettent en commun des idées, priorisent des actions à mener et échangent sur les missions transverses.
L’époque durant laquelle l’entreprise ne devait tenir compte que de son environnement concurrentiel national est bel et bien révolue. La concurrence suscitée par l’ouverture des barrières nationales aux échanges commerciaux justifie-t-elle pour autant le recours à tous les comportements de la part de l’entreprise ?
Un ouvrage résolument pratique À travers des exemples concrets, Corruption et fiscalité, de la collection Au fil du débat, dissèque les deux comportements les plus emblématiques et médiatisés auxquels les entreprises peuvent avoir recours dans leurs transactions internationales : la corruption et les pratiques fiscales abusives.
Une approche pluridisciplinaire
L’auteur, Benoît Lapointe, ose une réflexion sur le caractère acceptable de celles-ci, dans le contexte de crise économique et sociétale, et appelle les dirigeants à donner l’exemple d’une gouvernance d’entreprise.
Avant, l'entreprise avait des limites identifiées (géographiques, légales, monétaires, politiques), pour éviter d'abuser de sa position. Ce qui se passe avec UberPoP est le dernier signal en date de la secousse technologique et sociale que nous vivons.
Où sont passés les taxis qu’on cherchait désespérément il y a deux ans ? Aux stations où ils attendent les clients et la « dissolution » d’Uber POP, comme on dit pour un groupe terroriste. Pendant ce temps rien n’arrête Uber où vont les clients séduits par l’application, côté techno, et le service, côté social. Imbattable en réactivité, le mobile ! Où sont passés les journaux, journalistes, kiosques, vendeurs, presses et toutes leurs entreprises ? Réponse : chez Google Actualités. Allez donc y suivre l'actualité en temps réel et lire ce qu’écrivent les meilleures plumes des meilleurs journaux. Imbattable en prix, le gratuit !
L'implication du dirigeant ou du décideur dans une démarche de responsabilité sociétale et environnementale (RSE) est un gage de succès: lien avec la stratégie, légitimité des porteurs de projets, dynamisme et valorisation des équipes, moyens humains et financiers alloués, mise en place d'indicateurs et pilotage...Le rôle primordial joué par certains dirigeants est régulièrement mis en avant dans la presse pour souligner l'engagement RSE et les réalisations de leur entreprise. Citons notamment Yvon Chouinard pour Patagonia, Anita Roddick pour Body Shop et plus récemment Tim Cook pour Apple. Inversement, un changement de décideur peut parfois stopper l'élan de toute une entreprise ou d'une équipe.
Cet après-midi, la Région mettait à l’honneur six entreprises bourguignonnes. Elle avait organisé pour la troisième année les Trophées RSE, et Philippe Hervieu (le vice-président en charge de l’économie sociale et solidaire et de la transformation écologique de l’économie) accueillait les vainqueurs. Les Trophées RSE sont décernés cette année à la cave des vignerons des Terres Secrètes et Tournus Equipement (en Saône-et-Loire) à APF entreprises 21 à Longvic et à l’Université de Bourgogne. L’entreprise Logomotion à Messigny-les-Vantoux et l’ESC Dijon Bourgogne ont reçu un diplôme de « Reconnaissance de bonnes pratiques RSE ».
Compétitivité et développement durable ne sont pas antinomiques. Démonstration par l’exemple, dans la Vienne, à l’initiative de DéfiPlanet’. La région Poitou-Charentes, le Pôle Eco-Industrie, le département de la Vienne, la CCI de la Vienne, le MEDEF Vienne et l'association Veille Environnement Entreprise ont participé à la semaine du Développement Durable initié par DéfiPlanet' à Dienné. Ces différents acteurs ont proposé des animations sur les thèmes de l'eau et de l'énergie, des déchets, de l'économie circulaire. Vendredi, une journée d'échange destinée aux entreprises et aux étudiants a terminé cette semaine de sensibilisation et de partage autour du développement durable et de la responsabilité sociétale des organisations. Valoriser les initiatives en recueillant les témoignages dans tous les domaines avec des exemples concrets
McCain, entreprise familiale canadienne, lance en France le premier symbole de son engagement RSE autour de sa vision de "l’alimentation positive". Un nouvelle "entreprise sociale" voit le jour, répondant au nom de "Bon et Bien".
Ce qui illustre les 4 pilliers sur lesquels s'appuie l'entreprise : le plaisir responsable, la solidarité, le respect de la nature et l’agriculture raisonnée.
Bon et Bien qu’est-ce que c’est ? Cette marque de soupe solidaire est une entreprise indépendante dont McCain est à l’origine et qui a été co-créée avec E.Leclerc de Templeuve, Randstad, les Banques Alimentaires et le groupement des agriculteurs de pommes de terre en France. C’est surtout une entreprise avec une mission sociale, qui s’adresse au gaspillage alimentaire et favorise l’emploi dans la communauté locale. Tous ses profits seront réinvestis dans le développement de l’entreprise, pour augmenter son impact social et environnemental.
Wolters Kluver Transport Services (WKTS) a conclu un partenariat avec TK’Blue Agency pour aider le secteur des transports à se conformer aux exigences de RSE. TK’Blue est une agence de notation extra-financière européenne pour le secteur des transports qui mesure et valorise la performance éco-responsable des acteurs. Enfin, TK’Blue et la solution Community Manager de WKTS s’enrichiront mutuellement avec des données concernant tous les aspects de la durabilité des transports. "Toutes les entreprises devront rendre des comptes sur leurs efforts en matière de RSE avant la fin de l’année 2016, sans oublier d’inclure les mesures environnementales", analyse Fabrice Maquignon, directeur général de WKTS. "Nous pouvons combiner notre solution RSE très utile et éco-responsable avec la connexion WKTS à la communauté et aider ainsi l’ensemble du secteur à remplir ses obligations de conformité", explique de son côté Philippe Mangeard, président de TK’Blue Agency.
Aux États-Unis, le rôle social des pouvoirs publics se réduit souvent au strict minimum. Des fondations privées prennent donc le relais. Les franchises de sports professionnels américains (NBA, MLB, NHL, NFL) ne font pas exception à cette règle, multipliant depuis des années les opérations caritatives à destination de leur "communauté". Une arme de communication efficace. Explications. Éthique protestante du capitalisme oblige, "Les entrepreneurs américains se sentent obligés de faire le bien et de rendre à la communauté ce que Dieu leur a donné", résume l'économiste du sport Michel Desbordes. Les franchises professionnelles états-uniennes sont en effet souvent dirigées par des hommes d'affaires. À l'instar de Paul Allen, co-fondateur de Microsoft et propriétaire des SeaHawks de Seattle en football et des TrailBlazers de Portland en basket. "La diffusion d’une culture d’entreprise dans l’industrie du sport a favorisé l’arrivée de pratiques philanthropiques propres au monde anglo-saxon", analyse dans sa thèse le chercheur français Aurélien François. Et cela n'est pas nouveau : en 1953 naissait le premier partenariat entre un club sportif professionnel de baseball, les Red Sox de Boston et The Jimmy fund, une organisation charitable visant à lutter contre le cancer."Si cette franchise a été à l'avant-garde des pratiques de RSE aux États-Unis, ce sont avant tout les ligues américaines qui ont contribué à l’essor du nombre d’actions réalisées par les clubs", ajoute Aurélien François.
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