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“Entreprise à mission, le leader français des produits pour animaux de compagnie a fait de la RSE un pilier de son développement commercial. Il a été le premier à soutenir l’association YouCare, à l’origine du label « 1% pour les animaux », à laquelle il reverse 1% du montant de ses ventes. Réalisant plus de 90% de son chiffre d’affaires en Europe et présent dans une quarantaine de pays, Zolux réduit son empreinte carbone grâce à une fabrication européenne, contrairement à ses concurrents qui s’appuient principalement sur la production chinoise, notamment en termes d’arbres à chat et de griffoirs.
L’énergie solaire propre et accessible à tous : tel est le cercle vertueux en faveur duquel le géant chinois LONGi travaille activement. Avec près de 30 sites de production et plus de 60 000 employés dans le monde, le fabricant de modules photovoltaïques et wafers (tranches de silicium composant les cellules solaires) compte sur sa politique RSE pour de se démarquer de ses concurrents chinois sur le marché européen.
Depuis plus de deux ans, Acuitis s’efforce de mener une politique RSE solide et cohérente, notamment en termes d’accessibilité à la santé visuelle et auditive, comme en développement durable : matières innovantes et écoresponsables, pas de surproduction, recyclage de l’acétate de cellulose, étuis en filets de pêche recyclés… L’enseigne a également mis en place en 2022 un programme de récupération des verres de présentation dans toutes les Maisons de France.
Cette ex-journaliste, qui est devenue énarque en 2012 et a travaillé au ministère des Armées, puis a été nommée secrétaire générale de la chaîne parlementaire Public Sénat, prendra son nouveau poste de directrice de la RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) le 2 mai. Elle succèdera à Mikaël Lemarchand, qui « a décidé de quitter l’entreprise pour porter un projet entrepreneurial« , indique la SNCF. Muriel Signouret intègre également le comité exécutif du groupe.
Bientôt cinq cents ans et pas une ride ! Les Fonderies de Sougland, situées à Saint-Michel, dans l’Aisne, portent une grande histoire derrière elles. Le secret de cette longévité ? L’adaptation, l’innovation, le mouvement, et par conséquent la mise en place d’une politique RSE (responsabilité sociétale des entreprises). « Économie circulaire, semaine de quatre jours, produire moins… ce modèle social, sociétal et environnemental, c’est notre modèle économique », sourit Yves Noirot, le directeur général.
Parmi les quelque 410 entreprises françaises à avoir obtenu ce précieux sésame en France, à peine plus d'une dizaine sont issues du monde viticole. Propriétaire de Lafite Rothschild, premier grand cru classé de pauillac (mais aussi de Duhart-Milon, Rieussec, Aussières en Languedoc ou Long Dai en Chine), les Domaines Barons de Rothschild (DBR) font désormais partie de ces pionniers, très engagés dans leur responsabilité sociale et environnementale, et bien décidés à s'inscrire sur le long terme
Implantée à Dives-sur-Mer, l’entreprise Pimpant (anciennement Juliette), boostée après son passage à l’émission "Qui veut devenir mon associé", ambitionne de s’étendre et de construire sa propre usine de produits d’hygiène. Une usine qu’elle imagine comme un éco-lieu où la RSE sera au cœur du projet.
Spécialisée dans la fabrication de ferrures pour meubles et après avoir reçu en 1997 l’accréditation environnementale ISO 14001, l’entreprise familiale autrichienne Blum s’associe au projet Vision 2045. Les thèmes de la protection du climat, des infrastructures, de la consommation des ressources et de l’environnement de travail font partie des priorités de la marque. C’est la raison pour laquelle elle a participé à la production de cette série de documentaires. Blum y déclare ses différents engagements pour rendre ses activités plus durables. « Nous sommes conscients de nos responsabilités en tant qu’acteur du secteur et nous voulons agir partout où nous le pouvons », explique Philipp Blum, directeur général de l’entreprise.t
Caractérisé par ses 38 hôtels, 11 résidences et 23 maisons exclusives répartis dans 25 pays, Mandarin Oriental Hotel Group a obtenu le statut GSTC-Committed, indiquant que l'entreprise continue de s'engager pour intégrer à sa stratégie les critères durables de l'organisation à but non lucratif Global Sustainable Tourism Council. Ces indicateurs de performance sont organisés sous quatre grandes thématiques : la planification de la durabilité, la maximisation des avantages sociaux et économiques pour la communauté locale, la valorisation du patrimoine culturel et la réduction des impacts négatifs sur l'environnement. Des critères tant sociaux qu'écologiques qui visent à mieux appréhender le tourisme durable mondial et à encourager les démarches RSE en faveur d'une industrie hôtelière plus vertueuse.
Depuis le 1er janvier, les dispositions d’Egalim concernant les taux d’approvisionnement en produits durables et de qualité pour la viande et le poisson oblige également la restauration d’entreprise. « C’est le volet le plus connu, mais ce n’est pas le seul levier », souligne Caroline Vignaud, directrice food et RSE de FoodChéri, « cantine engagée » des entreprises fondée en 2015. Un titre qui à ses yeux souligne bien « à quel point dimension est au cœur du modèle et de l’organisation de l’entreprise », qui a établi une feuille de route à l’horizon 2030 sur quatre grands piliers : la part de plats végétariens, l’Eco-score, le Nutriscore et la décarbonation. « Nous ne sommes pas assujettis à toutes les obligations d’Egalim », mais la foodtech a pris de l’avance, avec par exemple 50% de propositions végétariennes en 2022, et un objectif de 65% d’ici 2030.
"A l'image d'autres clubs sportifs, notre impact sur l'environnement est réel, ne serait-ce qu'en termes de déplacements. Mais nous devons embarquer à la fois le staff, les joueurs et joueuses ainsi que les supporters pour d'abord, mesurer globalement le travail à accomplir et ensuite, appliquer une feuille de route efficace", explique la responsable. D'une politique RSE au bilan carbone, il n'y a qu'un pas..."Nous sommes en réflexion sur le sujet", confirme Maureen Reat.
À la suite de cet audit, l’Étoile Rouge s’est vu récompensée par le label « Engagés RSE » qui couvre la norme ISO 26000. Cette labellisation vient récompenser le travail mené par le club depuis plusieurs années, à l’instar de son engagement environnemental avec la mise en place d’une machine permettant la collecte des bouteilles en plastique la saison dernière sur son centre d’entrainement de Marville, ou la mise en place du tri sélectif dans l’ensemble de ses lieux de vie et lors de ses rencontres au Stade Bauer. Des actions promues lors du match de l’environnement en octobre dernier contre Cholet. Un engagement environnemental qui n’est que le prolongement de la vision sociétal du club et de son souhait de transmission de valeurs dont le Red Star LAB est le fer de lance depuis plus de 15 ans.
Le certificat a été délivré à la suite d’un audit externe consécutivement à 12 mois de travaux en interne qui ont mobilisé une grande partie des 150 collaborateurs. « L’obtention de cette certification, pour une durée de 36 mois, est la concrétisation d’un engagement fort de la mandature 2021-2026. » Une évaluation de suivi sera effectuée sous 18 mois pour s’assurer de la mise en œuvre des engagements de progrès annoncés.
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À l’Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement (INRAE), la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) n'est pas juste une politique ; c'est une pratique quotidienne. En 2023, INRAE a déployé 62 initiatives RSE, incarnant son engagement pour un avenir durable. Ces actions couvrent une vaste gamme de thématiques, comme la réduction des gaz à effet de serre jusqu'à l'amélioration des mobilités douces.
La quête de Prysmian pour la neutralité carbone En réponse à l’urgence climatique, Prysmian s’est lancé dans une ambitieuse stratégie visant à atteindre la neutralité carbone d’ici 2035. L’entreprise, déjà bien avancée dans cette quête, a réduit de 70% ses émissions de GES depuis 2019, en mettant en œuvre des solutions telles que l’élimination du gaz SF6, hautement polluant. Cette démarche s’inscrit dans le cadre du Plan Net Zero, pour lequel Prysmian a alloué en France un investissement dépassant le million d’euros depuis 2021, prouvant ainsi que durabilité et innovation vont de pair.
Qu’est-ce qu’une démarche RSE dans le tennis, à quoi cela ressemble ? On en parle avec Nicolas Préault, CEO de Tecnifibre, qui sort en ce mois d’avril la gamme de tee-shirts X-Loop issue de la collecte des chutes de cordage recyclées.
Jems Group, expert du big data, qui se présente comme « le premier industriel de la donnée », vient de recruter la présidente de la chambre de commerce et d’industrie de Paris Soumia Malinbaum au poste de directrice relations extérieures & RSE. Elle devient à ce titre membre du comité de direction du groupe. « Cette nomination confirme l’engagement de Jems en faveur de la responsabilité sociétale et environnementale, et son ambition d’être l’acteur de référence du numérique responsable », souligne Jems. Soumia Malinbaum aura pour mission le pilotage de cette stratégie qui inclut, en particulier, le respect dès 2025 de la directive CSRD qui fixe de nouvelles normes et obligations de reporting extra-financier.
C'est en 2011 que l'aventure des Laboratoires de Biarritz, avec à sa tête Jean-Marc Dubois, a commencé. Après la disparition de son fondateur, c'est aujourd'hui Bruno Collet qui tient la barre de cette histoire humaine mais aussi environnementale. En effet, dès le début, les Laboratoires de Biarritz ont annoncé la couleur concernant leur positionnement bio. Et au delà du bio, l'entreprise affiche une politique de protection de l'environnement sans faille.
Lors de son émission quotidienne à Franchise Expo Paris, la rédaction de LSA a reçu Alexis Dhellemmes, fondateur et DG d’Avril et Sylvia Touboulic Barreteau, DG déléguée, responsable développement et stratégie RSE de la Mie Câline pour échanger sur la formation des franchisés à la politique RSE du groupe et à son application en points de vente.
« La RSE, on y va, pas après pas ». Romain Aillaud, dirigeant d'Arnaud Peinture, à Gap, a fermé ses portes deux jours fin février et a regroupé ses douze salariés au sein de son dépôt de Lardier-et-Valença pour les former aux dernières techniques de décoration intérieure. Ce désir de montée en compétences émanait de la moitié d'entre eux, comme il a pu le constater en entretien individuel. Romain Aillaud a répondu favorablement à leur demande, en partenariat avec son fournisseur Le Comptoir de l'Ours, qui lui a mis à disposition ses nouveaux produits et son formateur, Robert Cardillaud, et avec le soutien de Laurent Boisserenq, professeur de peinture au CFA de Gap.
En 2024, l'industrie fait (aussi) son show sur Moselle TV. Ce mois-ci, la démarche RSE est la thématique abordée.
En obtenant la certification B Corp, Yuka ne se contente pas de prouver son efficacité dans l'analyse des produits alimentaires et cosmétiques; elle affirme son engagement profond pour une responsabilité sociale et environnementale sans faille. Avec un score impressionnant de 93,2 sur 100, Yuka dépasse largement la moyenne dans l'évaluation de ses pratiques environnementales et sociales. Ce résultat, loin d'être un simple chiffre, reflète l'engagement de l'application à promouvoir des choix conscients et éclairés chez les consommateurs. L'indépendance totale de Yuka vis-à-vis des marques et des industriels garantit une transparence absolue, faisant de chaque conseil donné un gage de confiance et de qualité.
Issue à l’origine d’un projet de R&D mené en collaboration avec des géants du secteur tels que McDonald’s, InVivo et AgroMousquetaires, cette plateforme est un outil dédié au « pilotage du progrès RSE des produits alimentaires », précise l’entreprise dans un communiqué daté de janvier 2024. Elle permet aux entreprises, tout au long du processus de production, de collecter des données, de les mesurer et de les analyser. Sa vocation est d’aider les acteurs du secteur à évaluer leurs produits, à définir des plans de progression et à piloter ces progrès depuis les exploitations agricoles jusqu’au produit fini.
Un mentor est un « guide attentif et sage, [un] conseiller expérimenté », c’est en partant de cette définition du dictionnaire Larousse que la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin (FFPAPF) lance un appel à candidatures pour son nouveau programme baptisé « Mentor RSE ». À l’issue de cet appel à candidatures, ce sont 10 entreprises de mode qui seront sélectionnées et accompagnées. Il s’agit de marques confrontées à des défis similaires en matière de RSE. Elles pourront bénéficier d’un diagnostic de leur évolution, de masterclass et de coachings individuels. La FFPAPF ajoute également que le programme réunit des coachs experts qui auront pour mission de guider les marques à mieux définir leurs objectifs et leur cible.
Lorsqu’en 2019 il entend le fondateur de Lucie affirmer que l’empreinte carbone des organisations accompagnées par le réseau ne s’est pas améliorée, Pascal Vazard veut savoir où sa PME en est réellement. Il s’oriente alors vers l’initiative ACT – Assessing Low Carbon Transition – développée par l’ADEME avec le Carbon disclosure Project et adopte la méthode « ACT Pas à Pas », qui permet aux entreprises de toutes tailles de s’inscrire dans une démarche très structurée du diagnostic à la mise en œuvre de la trajectoire de décarbonation.
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