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Faire de la RSE sans le dire Cette enquête en ligne réalisée auprès d’un panel représentatif de 716 entreprises du secteur montre que le terme de RSE reste encore assez peu répandu au sein des plus petites entreprises, qui composent la grande majorité du tissu des sociétés du secteur. Mais si un certain nombre d’actions ne sont pas directement rattachées ou valorisées dans le cadre d’une démarche en bonne et due forme, les entreprises du BTP sont nombreuses à mettre en œuvre des démarches de ce type. Il apparaît que 84 % des structures interrogées mettent en œuvre leur démarche sans formalisation, tandis qu’à l’inverse 15,7 % des répondants « formalisent une démarche structurée et se distinguent par un niveau d’engagement élevé ». Seules 0,3% des entreprises sondées font à ce jour l’économie d’une démarche de RSE. Une catégorie d’entreprises « très minoritaire et [qui] tend à disparaître du fait de la pression croissante des réglementations et des différentes parties prenantes (clients, collectivités, etc.) et de la sensibilisation sociétale aux enjeux sociaux et environnementaux », notent les auteurs de l’étude.
Dans leur étude Tendances Kids 2021, M6 Publicité et Gulli ont interrogé les enfants de 4 à 14 ans à propos du développement durable et de la RSE. Une génération particulièrement sensibilisée à ces enjeux mais, surtout, qui semble davantage agissante que ses aînés.
Les biocarburants, les pompes à chaleur et l’éolien sont les trois filières d’énergies renouvelables qui ont le plus progressé ces 20 dernières années, comme en témoigne le bilan des énergies renouvelables 2018 publié par le service des statistiques du ministère de la Transition écologique et solidaire.
Selon l’étude Deloitte sur les tendances RH intitulée « L’entreprise sociétale, un nouvel essor », 70 % des entreprises considèrent la responsabilité sociale et sociétale comme un enjeu important. « Cette année, 70 % de nos répondants pensent que les questions sociales et sociétales sont importantes. Cette montée de la prise en compte de l'empreinte sociale n'est pas seulement due au développement d'une conscience collective, c'est également le fruit d'une réflexion rationnelle économique. Ainsi 30 % des entreprises ont développé des programmes sociaux essentiellement pour développer leur marque employeur, 18 % pour fidéliser leurs salariés et 18 % pour leur image de marque. Elles doivent donc intégrer ces changements et se transformer en entreprise sociétale : une organisation se souciant autant de ses résultats financiers que de son empreinte sur son écosystème, qui est exemplaire et qui favorise la coopération » a commenté Philippe Burger, Associé responsable Capital humain chez Deloitte.
La France est deuxième derrière la Suisse, dans un classement qui fait la part belle aux Européens. La qualité de l’air est l’enjeu principal des politiques de santé publique. C’est la principale conclusion du rapport 2018 de l’Indice de performance environnementale (IPE) , réalisée par l’Université de Yale, qui évalue l’efficacité des politiques environnementales et qui place la Suisse comme pays le plus performant du monde.
L'Union national des industries de l'impression et de la communication (l'Uniic) travaille à la définition de la stratégie Développement durable et responsabilité sociétale des entreprises (RSE) du secteur.
"Ce questionnaire va aider la branche des industries graphiques à définir les enjeux RSE sur lesquels elle s'engagera à travailler en priorité dans le cadre la stratégie RSE sectorielle qui va être définie", explique Valérie Bobin.
C’est un chiffre qui va peut-être pousser les dirigeants à agir. Selon les calculs du cabinet Mozart Consulting, le coût du mal-être au travail atteint les 12 600 euros par salarié et par an en France. Une meilleure organisation du travail offrirait aux entreprises une importante marge de manœuvre.
Universum vient de publier son enquête carrière annuelle. Cette année, 41 329 étudiants issus des grandes écoles françaises de commerce et d’ingénieurs y ont répondu. Le Top 3 reste inchangé : Airbus, Google et Thales, sont une fois de plus cette année les trois entreprises qui font le plus rêver les étudiants en école d'ingénieurs. Et quand il s'agit de choisir un secteur d'activité favori, là encore les étudiants font la part belle à l'aéronautique et à la défense, plebiscitées cette année par 34 % des répondants.
Au-dessus du tumulte d’un temps qui semble ne plus porter d’attention aux véritables enjeux, il faut rappeler que l’innovation et les entreprises innovantes sont incontournables à l’heure où le défi pour la France est celui de la compétitivité et de la croissance. Elles doivent être pleinement intégrées à la stratégie économique nationale et européenne et figurer parmi les priorités car elles sont très concrètement source de compétitivité, de croissance et peuvent donner à la France le souffle dont elle a tant besoin. Animé par cette conviction, mais conscient des contraintes qui s’imposent aux pouvoirs publics, le Comité Richelieu fait 15 propositions d’actions qui se veulent réalistes, ambitieuses et concrètes pour simplifier, stabiliser, adapter les dispositifs en place et accélérer le mouvement qui doit conduire vers une efficacité appréciable des politiques publiques.
Les 15 propositions du Comité Richelieu pour 2017-2022
Via Christophe CESETTI
Selon une étude du Reputation Institute, les entreprises et marques de beauté françaises jouissent d’une bonne réputation grâce à la qualité de leurs produits et services, ainsi qu’à leurs performances économiques. Mais elles gagneraient à s’engager davantage en matière de responsabilité sociale et environnementale. C'est Lancôme qui arrive en tête de ce baromètre Beauty RepTrak® 2016.
La réputation des entreprises du secteur est freinée par les trois critères qui concernent la responsabilité sociale et environnementale des entreprises : environnement de travail, gouvernance responsable et engagement citoyen. C'est en effet sur ces trois critères que les entreprises et marques de beauté obtiennent leurs plus mauvais scores (60,9 % pour l'engagement citoyen).
31% des Français se sont déjà renseignés sur l’engagement social et environnemental d’une marque d’après une enquête Ipsos réalisée pour Linkup Factory. Ils sont 38% à considérer que les marques se préoccupent réellement de leur empreinte locale (38 %), de l’environnement (35 %), de la pérennité des ressources naturelles (30 %) et des conditions de vie des fournisseurs (29 %).
Une étude récente révèle que les entreprises intègrent de plus en plus la démarche RSE à leur stratégie. Outre l’impact social qui en découle, cet engagement améliore les résultats et la notoriété des sociétés. 7 entreprises sur 10 sont déjà socialement responsables L’Express vient de publier une étude sur la démarche sociétale des entreprises (RSE) réalisée auprès de 192 sociétés afin de mesurer leur engagement social et solidaire. Presque toutes (95 %) s’accordent à dire que la RSE est un concept d’avenir qui occupera une place de plus en plus importante dans le secteur privé.
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Le Transparency Index dresse la liste des entreprises de mode les plus investies dans la responsabilité sociale et environnementale (lire notre article dédié). Mais il donne également un aperçu des sujets RSE pour l'heure encore peu ou pas abordés par la filière, et qui devraient à terme prendre de l'importance dans la construction d'une filière durable et équitable.
Cela fera sûrement plaisir à Nicolas Hulot et à beaucoup d’autres, l’étude sur la perception de la RSE (responsabilité sociale de l’entreprise) viticole commandée par le groupe Verallia montre que l’expression développement durable a fait son chemin dans les consciences. La notion de démarche responsable dans la viticulture est par contre beaucoup moins connue.
Dans une étude de mars 2017, l’Institut du futur, un think tank californien, et Dell affirment que 85 % des métiers de 2030 n’existent pas encore. Voici à quoi pourraient ressembler, d’ici à une dizaine d’années, les fiches de poste de certains d’entre eux.
La responsabilité sociale et environnementale (RSE) ne fait plus tapisserie ! Très clairement, les Français préfèrent les marques qui ont un vrai projet pour le bien commun. Une étude de Denjean & Associés.
Le chiffre est alarmant. En 2017, 15 % seulement des salariés se disent réellement impliqués dans la démarche RSE (responsabilité sociétale) de leur entreprise. Pourtant 70 % voudraient l’être davantage, que ce soit pour être en phase avec ses valeurs ou les faire progresser par exemple. C’est ce que révèle la troisième édition du baromètre RSE Ekodev-Des enjeux et des hommes – Occurrence, dévoilée le 15 novembre (1).
Pour définir la place du sport dans les entreprises françaises, Decathlon Pro a donné la parole aux salariés hexagonaux. À partir d’un sondage mené par le cabinet d’étude Market Audit en partenariat avec l’Ufolep, l’Irfo, et l’entreprise Squad., cette étude dégage plusieurs tendances fortes. Ainsi, alors que seulement 7% des entreprises incitent leurs employés à faire du sport, 78 % des employés s’y intéressent, soit plus de 20 millions de personnes.
Cette étude vise à comprendre les fonctionnements internes de l'une des formes d'agriculture urbaine développée en France: les micro-fermes urbaines. L'approche participative de l'étude a permis d'établir une définition de ces nouvelles formes d'agricultures citoyennes : " les micro-fermes urbaines offrent une diversité d’activités et demandant une part importante de bénévolat dans leur fonctionnement....
Les consommateurs et les salariés sont de plus en plus sensibles à la prise en compte des enjeux du développement durable dans la stratégie des entreprises. La mise en place d’actions dans ce domaine est un levier au service de l’engagement et de la satisfaction des collaborateurs. En outre, les grands groupes sont désormais classés en fonction de leur engagement responsable. Dans ce contexte, la politique RSE contribue de plus en plus à la marque employeur des entreprises. L’enquête réalisée par BVA pour le club média RH fait le point sur la perception des salariés à l’égard de la RSE.
Une étude dresse une carte mondiale identifiant les zones dont la biodiversité est menacée par la production de biens et de services d’exportation. C’est un fait connu : la déforestation, la surpêche ou le braconnage entraînent une érosion spectaculaire de la biodiversité partout sur la planète. Et l’un des principaux moteurs de cette surexploitation des ressources…
La société foncière occupe la première place du podium pour la féminisation de ses instances dirigeantes, selon le cabinet Ethics and Board. Elle est suivie par CNP Assurances et Engie.
Les émissions mondiales de CO2 sont restées stables en 2015 selon le dernier bilan du Global Carbon Project, publié en marge de la COP22. Mais est-ce suffisant pour atteindre la cible des 2°C ?
Via Hubert MESSMER
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