Tous les communicants vous le diront, il ne suffit pas de savoir-faire, il faut aussi faire savoir. À cet égard, la marque française de chaussures de sport...
Réunir 365 solutions éco-responsables pour donner envie de s’en inspirer dans la vie quotidienne, c’est le défi d’Efficycle, qui publie sa sélection 2015. Generali soutient cette nouvelle édition.
Le développement durable peine à s’imposer dans l’industrie horlogère. Classée en priorité basse, il ne se révèle que dans la prospérité, s’éteint dans les crises. Les grands groupes restent moteurs, prenant les devants de consommateurs qui sont encore peu demandeurs.
Activité de nature et proche de l'environnement, le nautisme reste un loisir dont l'impact sur l'environnement n'est pas négligeable. Le recyclage des embarcations, la question des rejets de polluants en mer et l'impact écologique des ports sur les écosystèmes côtiers sont autant problématiques inhérentes aux activités nautiques. La prise de conscience est progressive, elle s'observe déjà au niveau des ports, soucieux de leur impact sur le milieu naturel, et les éco-innovations commencent à fleu
L’école Elysées Marbeuf, leader sur les formations aux métiers de la Beauté eu du Luxe, et l’International Terra Institute, spécialiste des formations liées aux métiers de l’environnement, se sont tout naturellement associés pour lancer un programme MBA afin de former les dirigeants de demain exerçant dans le secteur du Luxe, en tenant compte de la dimension de responsabilité sociale et environnementale.
L’objectif de notre MBA MANAGEMENT DU LUXE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE est d’offrir les divers outils modernes de management spécifiques aux métiers du luxe afin de les rendre aptes à assumer des fonctions de haut niveau, en se spécialisant dans la responsabilité sociale, sociétale et environnementale. Ce programme, mêlant des enseignements en anglais et en français, propose des séminaires et études de cas, dirigés par des professionnels du Luxe et du Développement durable, et sont complétés par des visites d’entreprises renommées dans ces secteurs.
La réflexion engagée depuis 2010 par la Mission prospective sur les changements des modes de vie à horizon 2030 est un thème de travail nouveau pour le Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie. Les signes précurseurs de ces changements – crises simultanées et répétées de l’économie, de l’environnement, de la société – ont révélé à quel point il devenait urgent de réfléchir «autrement» à la mise en place de politiques publiques en phase avec ces nouveaux enjeux. C’est pourquoi, aborder la question des modes de vie à horizon 2030 suppose de s’interroger en premier lieu sur les concepts et valeurs qui sous-tendent nos comportements : dans le sens d’un réajustement avec les priorités actuelles (besoins, aspirations, dysfonctionnements) ; de la redéfinition des relations humaines (individu, collectif) ; de la transformation de la société au regard des nouveaux défis économiques, sociaux et environnementaux, tout en intensifiant le dialogue entre science et société.
Cet exercice de prospective est innovant et atypique dans son approche méthodologique, car il est ici question de faire le «grand plongeon» comparable à la démarche «deep dive» anglo-saxonne. De ce fait, il vise avant tout à rassembler les réflexions actuelles sur les modes de vie, émergents ou non, pour obtenir une vision d’ensemble des enjeux et tendances qui se profilent à l’horizon 2030. Trois tomes dans lesquels on trouvera notamment des réflexions géographiques très intéressantes, notamment dans le chapitre 5 du Tome 2 intitulé "Les nouvelles tendances de l’habitat et de la mobilité". Ces trois ressources sont à proposer une réflexion prospective de fond aux élèves (5e, Seconde) dans le cadre de l'éducation au développement durable. A découvrir !
Alexandra Palt a pour mission la mise en oeuvre du développement durable de tout le groupe L'Oréal. Le plan dénommé « Sharing Beauty with All » est ambitieux, à la mesure du numéro un mondial des cosmétiques.
« Je travaille à ma propre disparition. Ce projet veut que chacun au sein du groupe s'investisse dans la recherche et l'innovation pour trouver de nouvelles matières premières et que l'innovation durable soit à l'origine de chaque projet. Mon rôle est de fédérer, d'impulser. »
Alexandra Palt, directrice de la responsabilité sociétale et environnementale, chargée de la mise en oeuvre du développement durable à l'échelle du groupe L'Oréal, rien de moins que le numéro un mondial des cosmétiques, est pour le moins modeste. C'est à cette diplômée de Cambridge, experte en innovations sociales et environnementales que Jean-Paul Aghion, le président du groupe, a confié la mission d'insuffler les notions durables à tous les niveaux du groupe. Et de réorienter cet énorme paquebot vers la voie du respect écologique et l'innovation sociale.
Un label qui atteste de la capacité du futur professionnel à s’inscrire dans une démarche de développement durable.
Le Label Humanité a été mis en place, sous l'impulsion de Pierre Giorgini, Président Recteur de l'Université Catholique de Lille et ancien Directeur Général de l'ISEN dans le cadre de l'Institut Polytechnicum de Lille en 2010 pour les écoles HEI, ISA, ISEN et la Faculté Libre des Sciences et Techniques, pour attester de la capacité du futur professionnel à s'inscrire dans une démarche de développement durable. Le Label est donc complémentaire au diplôme délivré par ces différents établissements. Le label humanité a été créé avec le soutien d'entreprises, telles que les Groupes Lesaffre et Indélec, et s'inscrit dans un contexte qui voit se renforcer les notions de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE) et de respect de l'environnement.
Sensibilisation à l'entrepreneuriat social, enseignements sur les nouveaux modèles économiques, création de cursus spécialisés... Ecoles et universités multiplient les offres de formation.
Les universités et les grandes écoles offrent de plus en plus de cursus sur le développement durable, l'entrepreneuriat social ou les nouveaux modèles économiques.
Ecole des mines de Nancy, les élèves ingénieurs planchent sur des projets reposant sur des valeurs d'éthique et de solidarité.
Dauphine vient pour sa part de lancer un "appel à projet entrepreneurial sur le développement durable" auprès des étudiants de licence.
Audencia: "Sur les trois années du programme Grande école, 10% de nos cours explorent les implications de la mise en oeuvre de la politique de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE).
Kedge Business School, les étudiants peuvent désormais puiser dans une série d'enseignements en développement durable ou en économie sociale
Ces dernières années, le luxe responsable fait son apparition : plus éthiques, plus conscientes des enjeux qui nous entourent, plusieurs grandes marques du luxe s’impliquent dans une politique développement durable au cœur de leurs métiers.
Le développement durable est un enjeu de taille qui cadre parfaitement avec l’image des marques : un objet de luxe est fait pour durer, pour être conservé. A ce titre, les matières premières utilisées, souvent rares et précieuses, sont la valeur ajoutée des produits de luxe. Protéger l’environnement qui fournit ces matières premières est donc une démarche d’insetting essentielle pour ces entreprises. Comme l’explique le professeur en marketing Jean-Noël Kapferer : « le luxe est par essence très proche des préoccupations du développement durable car il se nourrit de la rareté et du beau et a donc intérêt à les préserver.»
J’ai créé en 2011 un cabinet de formation : Format’R. Nous proposons des formations dans le cadre de la lutte contre l’illettrisme et l’alphabétisation qui s’inscrivent dans le cadre de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). Nous proposons aussi des formations en anglais, des formations sur le socle minimum en mathématiques, des formations pour « Améliorer son organisation et son efficacité », etc.
Alors que la consommation de cachemire explose dans le monde, l'ONG française AVSF accompagne les éleveurs mongols, tout en sensibilisant les grandes maisons de luxe françaises et italiennes. Avec une conviction : luxe et développement durable ont toutes les raisons de cohabiter.
Depuis quelques années, les pulls en cachemire se sont multipliés dans les rayons des magasins européens. De nombreux consommateurs se réjouissent de pouvoir se draper de ce tissu autrefois inaccessible. Ces derniers peuvent désormais s'offrir un pull en cachemire pour moins de 50 euros. Cette tendance n'est pas sans conséquences sur la vie des éleveurs de chèvres pashminas, en Mongolie, le deuxième pays producteur de cachemire après la Chine. L'augmentation des volumes de laine produits a en effet engendré une dégradation des salaires et un surpâturage qui menace l'équilibre des écosystèmes.
Concilier carrière et engagement au travail: beaucoup en rêvent, mais peu y parviennent. Voici un aperçu des stratégies mises en oeuvre, avec succès, par des cadres confirmés et de jeunes diplômés.
Consultante chez Habitat et territoires conseil, Julia Clément, exerce, à 32 ans, un job en phase avec ses convictions. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, cette ancienne journaliste dans la décoration et l'art de vivre, cherchait encore comment donner du sens à son travail. Pas question pour cette battante de poursuivre sa vie professionnelle en demi-teinte! Aussi, cette passionnée par les questions de développement durable s'est-elle donné les moyens de décrocher un poste à la mesure de ses ambitions.
Bingo! Depuis 2010, la jeune femme accompagne les bailleurs sociaux dans le déploiement de leur politique RSE (Responsabilité sociale des entreprises). "Je leur propose des solutions pour améliorer la qualité de leurs services afin qu'ils répondent davantage aux attentes des locataires et des financeurs", raconte-t-elle.
À la suite de l'accord international historique conclu lors de la COP21, la conférence sur le climat organisée par les Nations Unies, et des informations provenant de Davos indiquant que le changement climatique est le risque le plus impactant à l'échelle de la planète[1], des entreprises de premier plan telles que Dell, Unilever et Walmart déterminent dans quelle mesure la régulation climatique imminente aura un impact sur leur activité. Cependant, la moitié de leurs principaux fournisseurs ne répondent pas aux demandes d'informations climatiques, gênant les efforts entrepris pour comprendre et gérer le risque climatique.
Cinq ans après le démarrage des groupes de travail, un label DD&RS (développement durable et responsabilité sociétale) est officiellement créé. Sous l’égide de l’association Cirses, de la CPU, de la CGE et du ministère de l’Enseignement supérieur, un réseau de pairs auditera les établissements.
Alors que se tient à Paris fin 2015 le sommet de l’ONU sur le climat, une auteure toulousaine publie aux éditions Pippa « Le monde Ouka », un manuel de développement durable destinée aux enfants de 4 à 8 ans.
Les OUKA, personnages évoluant dans un monde merveilleux, partent un jour en vacances sur la Planète des hommes. Où ils se rendent compte que tout va mal. Dans les pays où il fait chaud et beau, tout devient sec. Dans les pays froids, où il y a beaucoup de glace, elle fond. Et les pays au climat tempéré sont pour leur part inondés. Les OUKA cherchent donc comment sauver la Planète des hommes.
Apprenez le développement durable gratuitement avec de courtes vidéos animées. Retrouvez toutes les vidéos et rejoignez la communauté sur http://www.sustaina...
Jean-Christophe Carteron, directeur RSE de l'école de commerce Kedge business school et président de Sulitest, nous explique le fonctionnement du test du développement durable.
Si les erreurs sont positives, voire essentielles, dans les démarches d’apprentissage, elles coûtent parfois cher à ceux qui les commettent et peuvent avoir des conséquences irréparables. Un trop grand nombre de décisions préjudiciables sont aujourd’hui la résultante d’une mauvaise information ou d’une formation lacunaire des leaders. Dans ces conditions, quelles sont les connaissances, les compétences voire l’état d’esprit qu’il faut avoir pour prendre des décisions éclairées et construire un monde un peu plus durable? C’est ce que les anglophones appellent "sustainability literacy" et que le récent "Sustainability literacy test" (Sulitest), actuellement en cours de déploiement, vise à mesurer.
Birdeo vous dévoile les résultats de son étude ! Nous sommes heureux de vous présenter les résultats d’une étude inédite sur les métiers verts et verdissants* : « Sociologie dynamique des cadres du DD et de la RSE ». L’objectif de cette étude est de constituer un outil opérationnel de gestion prévisionnelle des compétences des métiers du DD et de la RSE. « L’enseignement majeur de cette étude est que ces profils sont souvent dotés d’une double, voire d’une triple compétence. Formés en RSE et/ou Développement Durable, ils disposent également d’un savoir-faire métier : ils sont ainsi un atout essentiel pour l’entreprise. L’avenir laisse en outre entrevoir une professionnalisation de ces métiers du Développement Durable, qui se structurent par secteurs bien définis. J’aime également noter les fortes valeurs qui caractérisent ces cadres, sans pour autant tomber dans le militantisme une fois dans l’Entreprise. », explique Caroline Renoux, fondatrice de Birdeo.stitue pas un « bloc » homogène, une « tribu », mais plutôt un « milieu » où chacun entretient et protège son individualité. Néanmoins, il est possible de caractériser, selon certains critères, des « types », des familles d’opinions et de comportements.
Des cadres expérimentés créent une association loi 1901 visant à la reconversion professionnelle de seniors au chômage longue durée par leur intégration dans des projets de RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise) proposées aux entreprises et aux organisations publiques.
Un double défi : - Favoriser la réintégration professionnelle de « seniors » expérimentés en chômage de longue durée (seniors = 45 ans et plus) - Contribuer à la performance des entreprises et des collectivités via des projets de Développement Durable
Voilà ce à quoi s’est attaqué une poignée de quadra ou quinquagénaires en créant l’association RESSEO92. Les entreprises et les collectivités souhaitent de plus en plus intégrer les principes du développement durable dans leur fonctionnement quotidien. Le contexte économique, social et réglementaire s’y prête et soutient une demande croissante.
Témoignage d'une acheteuse : Anne Marchand, responsable achats, Rabot Dutilleul Construction.
Grâce au recours, depuis cette année, à un outil d'e-procurement, nous avons automatisé certaines tâches opérationnelles chronophages pour nous recentrer sur des missions à plus forte valeur ajoutée: meilleure identification des besoins, rencontre des fournisseurs, promotion du développement durable... Grâce à cette supply chain optimisée, non seulement les chefs de chantier sont plus autonomes dans la commande et la réception de leurs matériaux, mais nous pouvons enfin dégager du temps pour exercer vraiment notre métier d'acheteur et nous imposer comme des partenaires crédibles. De quoi redorer notre image en interne qui n'est plus uniquement cantonnée à celle d'approvisionneur.
Le Baromètre a pour objectif de permettre aux citoyens d'un territoire de se situer dans leur prise en compte, individuelle ou collective, du développement durable et solidaire par un questionnement simple sur leurs pratiques et réalisations.
Avec le baromètre, nous souhaitons installer un dialogue et impulser une dynamique pour engager résolument et concrètement les citoyens d'un territoire sur la voie du développement durable et solidaire. Le Baromètre permet de se mettre en réflexion, de s'inspirer, de partager des pratiques vertueuses et d'avancer ensemble de manière solidaire.
L'idée n’est évidemment pas d’effectuer un « contrôle » ou de juger des actions de chacun, mais bien de mesurer, de rendre visible et désirable les aspects possibles du développement durable.
L'intérêt du Baromètre réside avant tout dans les engagements concrets que les questionnaires permettent de prendre à travers cette démarche de dialogue, d'échange et de participation.
Impliquer un maximum de citoyens est le défi lancé aux élus, aux entreprises, aux associations locales et aux citoyens qui contribuent ensemble à la bonne santé de notre société !
Engagez-vous dans une démarche individuelle ou familliale avec l'Agenda 21 du citoyen !
Engagez-vous dans une démarche communale avec le Baromètre des communes !
La responsabilité sociale de l’entreprise et le développement durable sont sources de nouveaux besoins : quelles sont les compétences recherchées et les motivations des profils chassés ?
Intégrer les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans les activités et les interactions avec les parties prenantes est devenu un mouvement de fond dans les entreprises. D’où l’émergence de nouveaux besoins, de nouveaux métiers, de nouvelles compétences... « Nous assistons à une véritable professionnalisation des démarches de responsabilité sociale (RSE) et de développement durable (DD) : les entreprises deviennent de plus en plus matures sur ces sujets », constate Caroline Renoux qui, en 2010, a fondé Birdeo, un cabinet de recrutement spécialisé dans les métiers de l’environnement, du DD, de la RSE et de l’économie sociale et solidaire (ESS).
Ikea, qui dévoilait mardi matin ses chiffres pour l'année écoulée, conforte sa position de leader de l'ameublement avec toujours 17,9 % de part de marché. Son chiffre d'affaires reste stable à 2 milliards 385 millions d'euros. Sept ouvertures de magasin sont prévus d'ici à 2017. Et toujours un axe privilégié, le développement durable. Le groupe lance le programme "Durable et vous".
"Notre stratégie développement durable est l'une des plus ambitieuses au monde selon plusieurs experts."Stefan Vanoverbeke, PDG France d'Ikeaplante le décor. Son groupe vise l'indépendance en matières d'énergie et de ressources d'ici à 2020. C'est l'un des grands axes de la stratégie "People&Planet Positive".
...un coach en efficacité environnementale et des plastiques recyclés !
Ikea se veut même un acteur de l'économie circulaire avec le produit Skrutt, un sous-main fabriqué à partir de recyclage de certains déchets plastiques des magasins. Ikea compte bien séduire de plus en plus dans un secteur qui n'est pas épargné par la crise. Il espère atteindre les 20% de part de marché en 2020.
Entretien avec Barbara Weiss-d’Anglade - Secrétaire générale de l’association Femmes & Développement Durable.
CGE : Vous évoquez le « regard féminin », quelles sont ses spécificités ?
BWA : Tout d’abord je tiens à dire que notre réflexion se place dans le cadre du monde du travail. Nous pensons que les femmes ont une approche différente (des hommes) de la créativité, moins empreinte de calculs politiques ou stratégiques et tournée vers des solutions pragmatiques. Leur mode de communication est aussi plus ouvert, plus à l’écoute, ce qui est particulièrement important dans la résolution (et la prévention) des conflits dans l’entreprise, créant ainsi la base pour un échange plus constructif. Nous constatons aussi que la compétition régit très souvent les rapports entre hommes alors que les femmes ont plus tendance à avoir recours aux compétences collectives (esprit d’équipe, …). Notre propos n’est pas de dire que les hommes ou les femmes sont meilleures pour telle ou telle chose mais plutôt que la diversité au sein des équipes, et pas uniquement des genres, est plus prolifique pour l’entreprise. Ceci explique d’ailleurs que nous ayons ouvert notre association aux hommes : c’est en croisant les regards que l’on avance.
Je suis heureuse d'avoir rejoint cette association où des femmes issues de différents horizons (responsables du DD, écologues, membres d'ONG, étudiantes...) partagent des moments de réflexions autour des thématiques de Développement durable dans une ambiance bienveillante et sympathique. Il faut saluer le travail d'Angélie Baral, la présidente, de Barbara Weiss d'Anglade, Isabelle Guitton-Bernet et Maryse Tordjman qui animent le bureau. les hommes sont aussi les bienvenus !
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