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C'est en 2011 que l'aventure des Laboratoires de Biarritz, avec à sa tête Jean-Marc Dubois, a commencé. Après la disparition de son fondateur, c'est aujourd'hui Bruno Collet qui tient la barre de cette histoire humaine mais aussi environnementale. En effet, dès le début, les Laboratoires de Biarritz ont annoncé la couleur concernant leur positionnement bio. Et au delà du bio, l'entreprise affiche une politique de protection de l'environnement sans faille.
Depuis sa création, la RSE est au cœur de la stratégie de PAT. Ce pilier fondamental se traduit par des méthodes de production respectueuses de l'environnement et une politique sociale dynamique et performante. L'entreprise a régulièrement évalué sa performance RSE avec EcoVadis depuis 2021, passant de la médaille de bronze à l'or en trois ans, témoignant d'une amélioration constante et d'un engagement profond. Aujourd'hui, PAT se classe parmi le top 5% des entreprises en RSE sur son secteur, avec un score impressionnant de 72/100, reflétant une progression de 38% en seulement deux ans.
« Journey to Green », c'est le nom du manifeste établi par Gojo Industries-Europe (marque Purell). Il définit des objectifs spécifiques au travers de quatre principes fondamentaux et les engagements qui s’y rattachent. Le pilier « plastique et circularité » vise à intégrer les principes de circularité dans les activités de l'entreprise, en mettant l’accent sur la conception des produits afin de résoudre le problème du plastique à usage unique et d’atteindre l’objectif zéro déchet. Premier engagement atteint : toutes les cartouches de recharge souples de Gojo sont fabriquées en polyéthylène téréphtalate recyclé (rPET) à 100 %, ce qui permet de produire la matière plastique sans épuiser les ressources naturelles et de réduire les émissions de carbone. L'entreprise vise aussi un remplacement progressif du plastique vierge par du plastique recyclé dans les emballages produits, l’objectif étant de réduire de 30 % l’utilisation de plastique vierge et d’utiliser 100 % de plastique recyclable d’ici 2025.
En 2021, le Groupe a co-construit, avec ses équipes, une stratégie RSE ambitieuse et pragmatique pour les cinq prochaines années qui se concrétise avec la publication de son premier rapport RSE. Cette étape importante permet à ANJAC d’officialiser ses engagements auprès de toutes ses parties prenantes, avec des actions portées sur l’Innovation, l’Humain, l’Environnement et la Santé dans sa globalité. « La RSE provoque, challenge mais surtout elle pousse notre industrie à être plus vertueuse ! » déclare Aurélien Chaufour, Président du Groupe ANJAC.
« Cet accord s’inscrit dans notre volonté de nous projeter commercialement vers l’avenir sur nos différents territoires en nous appuyant sur des experts métiers. Au-delà de la capacité à accélérer la distribution de nos gammes de produits, Unipex partage les mêmes valeurs que notre groupe, notamment en matière de RSE et d’approche du métier de la cosmétique », a commenté Eric Moussu, directeur commercial du groupe Berkem,
L’entreprise, qui mène une politique RSE continue sur son site industriel, "de la conception des formules à l’expédition des produits finis, sur la totalité de la chaîne de valeur", a été récompensée de son action responsable avec le prix de la PME de plus de 50 salariés aux trophées des transitions et de la RSE de la région PACA, décerné le 7 décembre. Ces trophées récompensent toutes les entreprises d’un territoire "qui ont à cœur de mettre l’homme, l’environnement, la territorialité et les parties prenantes au centre de leurs préoccupations et de façon transversale".
Lessonia, fabricant d’ingrédients et de façonnage de produits cosmétiques de la zone de Croas-an-Neizic, à Saint-Thonan, vient d’être récompensée par le salon international du Luxe Pack de Monaco pour sa politique de responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Face à l’engouement croissant de ses concurrents pour l’écologie, Christian Courtin-Clarins, président du comité de surveillance du groupe familial et fils du fondateur, s’autorise une pointe d’humour : « Nous avons cultivé la responsabilité sociale et environnementale bien avant qu’elle n’existe. » Une façon de souligner l’ancrage de l’entreprise, lancée en 1954, dans le respect de la biodiversité.
«L’engagement de L’Oréal en tant que co-fondateur de SPICE a été motivé par la volonté de partager les progrès du développement durable et de permettre aux acteurs de l’industrie cosmétique de travailler ensemble plus efficacement» déclare Philippe Thuvien, directeur général Packaging & Développement.
Selon une étude du Reputation Institute, les entreprises et marques de beauté françaises jouissent d’une bonne réputation grâce à la qualité de leurs produits et services, ainsi qu’à leurs performances économiques. Mais elles gagneraient à s’engager davantage en matière de responsabilité sociale et environnementale. C'est Lancôme qui arrive en tête de ce baromètre Beauty RepTrak® 2016.
La réputation des entreprises du secteur est freinée par les trois critères qui concernent la responsabilité sociale et environnementale des entreprises : environnement de travail, gouvernance responsable et engagement citoyen. C'est en effet sur ces trois critères que les entreprises et marques de beauté obtiennent leurs plus mauvais scores (60,9 % pour l'engagement citoyen).
La huitième édition de la conférence Beauty of Sourcing avec respect, organisée par l’Union for Ethical BioTrade (UEBT) le 26 mai 2016 à Paris sera consacrée à la façon dont entreprises et marques créent de la valeur grâce à l’utilisation éthique des ressources de la biodiversité.
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Lors de son émission quotidienne à Franchise Expo Paris, la rédaction de LSA a reçu Alexis Dhellemmes, fondateur et DG d’Avril et Sylvia Touboulic Barreteau, DG déléguée, responsable développement et stratégie RSE de la Mie Câline pour échanger sur la formation des franchisés à la politique RSE du groupe et à son application en points de vente.
« En rejoignant l’équipe de Pure Trade, qui intervient en amont de la chaîne de valeur et de production, je peux ainsi accomplir ma mission en étroite collaboration avec nos usines partenaires sur ces critères : réduire l’utilisation de plastique vierge et améliorer le processus de recyclage local, accompagner et éduquer les populations locales et vulnérables impliquées dans nos filières, en faveur de leur bien-être et de leur autonomie. Au-delà de la performance et des KPI, je souhaite piloter notre démarche RSE avec sincérité et humanité », explique Cyrille Ly.
Coradin développe et fabrique des pièces injectées et des produits d’emballage pour les industries de l’hygiène, de la beauté et de la santé. Des collaboratrices de la PME azuréenne ont récemment lancé en interne un groupe baptisé Green Ambition, pour aller encore plus loin dans les actions RSE déjà engagées depuis longtemps par l’entreprise.
Fleurance Nature est une PME française originaire du Gers. Elle fête en 2022 ses 50 ans : un demi-siècle à évoluer sur le segment de la cosmétique, bio et naturelle. Son comité RSE n’a lui que deux ans… Mais sa feuille de route est longue ! « De nombreuses actions sont antérieures à la création de ce comité (j’ai racheté l’entreprise en 2016, la plupart des initiatives étaient déjà développées). Ce dernier a été décidé pour structurer, justement, la démarche RSE », confirme Philippe Rombi, le directeur général de la marque. Et au dirigeant d’énumérer toutes les actions en question :
Aurélien Chaufour, Directeur général du groupe Anjac Health & Beauty, présente la stratégie RSE « ambitieuse et très concrète » définie par le groupe pour les cinq prochaines années.
Aurélien Chaufour - La RSE porte des convictions et valeurs très fortes pour moi et le groupe Anjac. Après trois ans d’acquisitions très rythmées, je souhaitais que nous accélérions nos actions et poussions les synergies entre les sociétés. Aussi, cette année nous avons co-construit avec nos 12 sociétés, une stratégie RSE ambitieuse et très concrète pour les cinq prochaines années.
Le parfum Girl de Rochas qui matérialise "la RSE pour de vrai". Le bureau d'études rappelle que ce jus est une proposition éthique & responsable du sourcing des matières premières, à la conception du flacon en passant par un extrait de néroli aux vertus apaisantes.
" L’entreprise a été plusieurs fois récompensée pour ses engagements responsables, "elle s’est développée autour de la performance globale autour de quatre axes : social, sociétal, environnemental et économique. Après "Imprim vert", le label attribué aux imprimeurs respectueux de l’environnement, "Lucie norme Iso 26 000", le label RSE de référence, nous venons de recevoir la médaille de bronze Eco Vadis qui est la note de référence RSE internationale. Cela nous place désormais parmi les 22 % des entreprises de notre secteur les plus responsables au niveau mondial. C’est une immense fierté pour moi. La responsabilité sociétale, c’est l’huile dans le moteur de Sÿnia. "L’entreprise Sÿnia, spécialisée dans l’impression numérique, a été créée en 2005 et rachetée en 2014 par Sylvain Maillard, un autodidacte qui, dans le cadre d’un BTS à l’Idrac, y effectuait un stage en alternance
Les frères Guilbaud ont développé le pari audacieux de leurs parents. Créer des produits d’entretien et de beauté sains dans les années 60. Sans quitter leurs terres des Deux-Sèvres. Vente de 6 millions de produits par an et 190 salariés plus tard, Science et Nature n’arrête pas d’innover et de prospérer. L’entreprise est candidate au prix de l’Entrepreneur Ey Ouest.
Les lauréats des Sustainable Beauty Awards 2017 ont été annoncés la semaine dernière lors d’une cérémonie de remise des prix à Paris. Organisés par Ecovia Intelligence (anciennement Organic Monitor), les prix récompensent les organisations de l’industrie de la beauté qui repoussent les limites en matière de durabilité.
La législation européenne interdit depuis 2013 les tests sur animaux en cosmétique. Comment se peut-il alors que la majorité des cosmétiques vendus dans le commerce fasse encore l’objet d’expérimentations animales ? Voici un point sur la réglementation actuelle et mes conseils pour y voir plus clair dans les rayons cosmétiques.
Cosmébio, l'Association professionnelle de Cosmétique Écologique et Biologique, dresse pour la première fois un Baromètre de l’engagement de ses sociétés membres. Les chiffres publiés, récoltés auprès de 147 membres ayant répondu à son questionnaire envoyé début 2014, font le constat des progrès accomplis par le collectif vis-à-vis du respect de l’Homme (RSE et Commerce Équitable) et du respect de la Nature (Environnement et Biodiversité). Pour confirmer l'engagement de son collectif et assumer sa responsabilité au sein de la filière et vis-à-vis de la Société, l'association Cosmébio s'est engagée à dresser un Baromètre de l'engagement de ses 375 sociétés membres. Plus qu'un label apposé sur plus de 9 000 références produits, c'est un engagement que la première Association modiale de Cosmétiques écologiques et biologiques prône. Ce baromètre a pour finalité de dresser un état des lieux, les objectifs et les progrès accomplis par les entreprises sur 4 thèmes fondateurs (Responsabilité sociétale des entreprises, Commerce équitable, Environnement et Biodiversité).
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