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Les géants de l’agro-alimentaire sont en lutte contre le NutriScore. Si la défection récente de Nestlé est un coup dur pour elles, seule une révision de la loi protégerait vraiment les consommateurs.
La responsabilité sociale et environnementale (RSE) ne fait plus tapisserie ! Très clairement, les Français préfèrent les marques qui ont un vrai projet pour le bien commun. Une étude de Denjean & Associés.
Combien ça coûte d'être une femme ? Plus cher que d'être un homme ! Une députée britannique a réussi à convaincre les magasins Tesco d'abaisser le prix de leurs rasoirs pour femmes au même tarif que leurs rasoirs pour hommes.
L’enquête sur les résidus de pesticides conventionnels dans les mueslis publiée le 11 octobre 2016 par l’association Générations futures n’était pas un modèle de rigueur scientifique. Comme l’AFIS l’a souligné dans un communiqué du 13 octobre (« Pesticides dans les mueslis : encore une alerte pour rien... »), la rigueur scientifique n’est d’ailleurs pas la vocation de Générations futures. Le…
Harris Interactive a réalisé une étude sur la perception de l’ubérisation dans la société française. Cette notion, désormais connue par près de 80% des français, provoque des réactions pour le moins ambivalentes chez nos compatriotes. Si les Français se disent séduits en tant que consommateurs, ils sont inquiets en tant que travailleurs…
90 % des données existantes aujourd’hui ont été créées ces deux dernières années. Cette information désormais connue quand on parle de Big data n’en est pas moins alarmante. Avec 10 téraoctets générés chaque jour sur Facebook, 7 sur Twitter et 50 milliards d’objets connectés attendus à l’horizon 2020, il ne fait aucun doute que la révolution des données connectées est en marche. Des chiffres vertigineux, des volumes qui explosent, et autant d’informations à traiter qui alimentent chaque jour, chaque minute et chaque seconde le fameux Big data.
Via Jean-Pierre Blanger
Sur 30 000 consommateurs interrogés à travers 60 pays, plus de la moitié se disent prêts à payer plus cher pour acquérir les produits d’entreprises soucieuses de leur impact social et environnemental. Un engagement qui se fait particulièrement sentir en Asie-Pacifique (64 % des sondés), en Amérique latine (63 %) et dans la zone Moyen-Orient/Afrique (63%). Ces questions touchent cependant moins en Amérique du Nord (42 %) et en Europe (40 %), ou la France s’illustre notamment avec seulement 36% de clients disposés à payer davantage. Mais, pour Nielsen, à l’origine de cette enquête, le bilan n’en est pas moins positif, 52 % du panel ayant été client d’une entreprise socialement responsable sur le dernier semestre. « Les consommateurs du monde entier nous disent haut et fort que la vocation sociale d’une marque fait partie des facteurs qui influencent leurs décisions d'achat », dit Amy Fenton, responsable globale du développement durable chez Nielsen. « Ce comportement est de plus en plus répandu et offre des opportunités significatives tant pour donner davantage de sens dans nos communautés que pour développer la part de marché des marques ».
Distributeurs et marques inventent et développent de nouveaux formats de lieux de vente plus proches des consommateurs. Ces magasins, parfois itinérants, parfois simples automates, viennent se placer sur le trajet des clients. Ces espaces plus petits en arrivent à ne plus être que des casiers pour récupérer les achats effectués sur internet. Les initiatives de Monoprix, Amazon, Target, Dia, etc.
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Lancée en novembre 2016 pour répondre à la crise du prix du lait, la coopérative «C’est qui le patron?!» compte aujourd’hui 18 familles de produits équitables (lait, beurre, jus de pomme, pizza, etc.) et plus de 8 millions de consommateurs.
C'est un sondage Opinion Way pour la Fédération du Commerce Associé (FCA) qui l'affirme. Les Français se déclarent prêts à débourser davantage pour un produit ou un service lorsqu'il s'inscrit dans la démarche sociale et environnementale d'une
31% des Français se sont déjà renseignés sur l’engagement social et environnemental d’une marque d’après une enquête Ipsos réalisée pour Linkup Factory. Ils sont 38% à considérer que les marques se préoccupent réellement de leur empreinte locale (38 %), de l’environnement (35 %), de la pérennité des ressources naturelles (30 %) et des conditions de vie des fournisseurs (29 %).
Tout le monde parle de Service Centric, mais quels en sont les rouages, et les enjeux pour les acteurs économiques ? Et le consommateur/shopper dans tout ça ? Neuf tendances ont été identifiées par L’Echangeur by BNP Paribas Personal Finance révélées en exclusivité par INfluencia Ah le service, encore le service, toujours le service… « Nous avons la…
L'une des premières causes des maladies non transmissibles est la sédentarité. Or les salariés passent environ un tiers de leur temps sur leur lieu de travail. Les employeurs ont donc un rôle préventif majeur à jouer. Renforcer la culture sanitaire des employés D'ailleurs, Françoise Forette, directrice d'ILC-France, confirme le rôle prépondérant des entreprises dans l'instruction des citoyens concernant la santé et leur protection: "En 2050, les plus de 50 ans représenteront la moitié de la population mondiale. Les entreprises ont donc une responsabilité sociale très forte. En effet, les employés passent environ un tiers de leur temps sur le lieu de travail, c'est pourquoi l'entreprise constitue le lieu idéal pour l'application de programmes de prévention pour la santé. L'objectif de ces programmes est d'augmenter les connaissances générales des employés concernant la santé, et si possible de changer leurs comportements. En général, ces programmes sont un franc succès en termes d'implication des salariés.
Fin juillet, 63 députés français ont déposé une proposition de loi "obligeant les grandes surfaces de plus de 1000 m2 à donner leurs invendus alimentaires encore consommables à au moins une association caritative dans l'aide alimentaire". Le point à La Réunion. Depuis peu la banque alimentaire des Mascareignes récupère des denrées considérés par la grande distribution comme étant en "fin de vie" et les distribue ensuite à plus d’une soixantaine d’associations sur l’île. Du côté de la grande distribution, cette procédure est déjà applicable dans certaines enseignes. Vindémia, du groupe Casino, travaille dans une "démarche de responsabilité sociétale et environnementale", expliqué Isabelle Bogdan, à la direction de la communication et chargée de la responsabilité sociale de l’entreprise. Sollicitée par de nombreuses entreprises, la société a signé un partenariat en juillet 2013 avec la banque alimentaire des Mascareignes. L’intégralité des associations qu’elle regroupe bénéficient ainsi de produits secs, de produits frais et de produits non-alimentaires. "Cela fait partie de notre responsabilité en tant qu’entreprise, mais ce sont aussi les valeurs du groupe de donner plutôt que de détruire", précise-t-elle.
Decathlon a ouvert sa plateforme de co-création avec ses clients depuis dix jours. L’entreprise a du prendre des décisions complexes en matière de propriété intellectuelle et de rémunération des contributeurs. Les équipes internes doivent apprendre à travailler avec de nouveaux intervenants. Reste que pour une entreprise, ce n’est pas simple de mettre concrètement en œuvre une telle plateforme. Les questions se multiplient, qu’il s’agisse de gérer la propriété intellectuelle, la rémunération des participants ou le management des équipes internes. En ce qui concerne la rémunération, « nous avons mis en place des gratifications, il y a des points à gagner pour chaque action réalisée sur la plateforme avec la possibilité de les transformer en argent, avec un système juridique complexe derrière. Les cartes cadeaux ne suffisaient pas, quand nous avons demandé aux membres ce qu’ils voulaient » répond Vincent Textoris.
En novembre dernier, l'Union européenne a lancé une expérimentation de trois ans sur l'empreinte environnementale des produits et organisations. Une deuxième expérimentation sera lancée en 2014 sur le secteur spécifique de l'agroalimentaire. Dans ce cadre, le centre commun de recherche (JRC) a publié le 20 janvier le protocole Envifood, qui fournit des directives pour l'évaluation de l'impact environnemental des produits alimentaires et des boissons tout au long de leurs cycles de vie. Avec un principe cadre : assurer une évaluation scientifiquement fiable et cohérente, compréhensive et non trompeuse pour le consommateur.
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