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Elle intègre le Comité de Direction. Elle aura la responsabilité de renforcer les relations de l'entreprise avec l'ensemble de ses parties prenantes et de déployer la vision du groupe Heineken, notamment dans un contexte d’accélération de la transformation de l’entreprise, avec de forts engagements environnementaux et sociétaux. 

"Nous n’avons pas d’autres choix que de nous adapter, souligne Olivier Morel, le Président de l’Unilet. Nous sommes à un stade où le problème n’est plus de savoir comment vendre nos produits mais surtout comment nous allons produire les quantités nécessaires à nos industriels. Entre l’origine France, le bio, le HVE, le SRP nous devons choisir nos batailles, l’objectif étant de répondre à la demande du marché ".

Les FEEF d’or récompensent les duos PME/Distributeurs qui s’engagent ensemble pour le commerce de demain. Ce partenariat, qui a mobilisé les producteurs et les services et équipes de l’enseigne, a contribué à améliorer le taux d’utilisation du lait Gillot (de 49 % en 2017 à 55 % en 2019) et à revaloriser le prix garanti aux producteurs. Le chiffre d’affaires de la fromagerie a été multiplié par 5,5 entre 2018 et 2019 avec Auchan.

L'appli star Yuka, qui note les aliments en fonction de leurs qualités nutritionnelles, revendique désormais 7,5 millions d'utilisateurs. Une influence grandissante qui a poussé le secteur agroalimentaire à changer la composition de certains produits. Mais son système de notation est critiqué par des industriels qui passent à l'offensive.

Face à ses difficultés à recruter des saisonniers, Meralliance a mis en place depuis le début de l’année son propre système de recrutement. Avec la création d’un poste à temps plein de chargé d’accueil et 45 formateurs internes.

L'Institut Great Place to Work vient de publier son classement 2016 des entreprises les plus appréciées par les salariés. Les cabinets de conseil trustent le podium… mais quelques industriels se sont tout de même glissés dans le classement.

Un sujet maîtrisé sur le bout des doigts est forcément récompensé. Metro obtient donc le niveau ‘Exemplaire’ de la norme ISO 26000, pour le label engagé RSE délivré par l’Afnor. L’audit a mis en avant la formalisation d’une stratégie RSE prioritaires, la construction de feuilles de routes associées, comme pour la réduction de son empreinte carbone ou la transformation de l’offre produit, en faveur, naturellement, d’une production qui préserve les ressources naturelles et la biodiversité. 

Gérald Saada prend la tête de la cette nouvelle direction avec la fonction de directeur marketing et R&D PGC du groupe. Il était directeur marketing et R&D Candia depuis 2017. Il aura pour mission d’améliorer la valorisation d’un portefeuille de produits (lait, beurre, crème et fromage) représentant 2,5 milliards d’euros de CA et de faire du groupe "un leader de l’innovation et de la RSE en PGC, à travers la dimension coopérative des marques, le développement de produits filières, d’emballages plus vertueux et la qualité nutritionnelle des produits".

Une trentaine de projets sur un an autour de la digitalisation, la RSE et la productivité

Dans ce contexte changeant, une idée de Lab a germé il y a 1,5 an entre Stéphanie Engling, membre du Comex de HighCo, et Jean-Paul Mochet, directeur général de Franprix. Sur les 12 derniers mois, une trentaine  de projets ont été éprouvés avec plus de 1600 « books » de veille compilés. Ils touchent à la digitalisation du magasin, la productivité et la responsabilité environnementale.

 Avec sa charte de 10 engagements, le Cerafel Prince de Bretagne a remporté le prix spécial du jury. "Ce prix récompense les engagements quotidiens des 2 000 producteurs de légumes frais Prince de Bretagne en faveur de la préservation de l'environnement, du progrès social et du maintien d'une économie locale et solidaire, souligne le Cerafel. Mais aussi notre mode de gouvernance unique, où les agriculteurs sont les décideurs. Et notre ancrage territorial fort, avec 27 000 emplois directs et indirects".

Les labels bio répondent-ils vraiment aux attentes des consommateurs ? Certes, l'usage des produits phytosanitaires est interdit mais ni le label européen, ni le tricolore AB n'empêchent la certification de tomates sous-serre vendus à l'autre bout de l'Espagne et cultivés par des travailleurs sous-payés. C'est du "conventionnel sans pesticide", déplore le patron de Biocoop.