Le trafic de faux codes de la route se développe depuis la privatisation de l'épreuve en 2016. Les fraudeurs proposent désormais leurs services sur internet et les réseaux sociaux, transformant un examen à 30 euros en business illégal facturé jusqu'à 1 000 euros. Décryptage avec la générale Florence Guillaume, déléguée interministérielle à la sécurité routière.
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Intelligence Economique, Investigations Numériques et Veille Informationnelle
onto Renseignements Stratégiques, Investigations & Intelligence Economique Today, 6:05 AM
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