Pour l'exportation, ce qui compte est la prise en considération de situations nouvelles comme :
• l’arrivée sur le marché international de nouveaux compétiteurs robustes et performants, pour les grands projets,
• l’apparition de projets de petites et moyennes envergures dont la décision d’exécution n’appartient plus au gouvernement central,
• la structuration des décideurs dans les pays en développement et, entre autre, les effets de l’autonomie,
• le besoin d’une organisation de soutien pour les PME qui veulent exporter et les appuis français qui en découlent,
• l’apport de l’intelligence économique, en particulier comme vecteur de coopération.
Ce dernier point est particulièrement important. En effet, bien des PME françaises qui seraient en position d’exporter ne le font pas par manque de connaissance du terrain et par manque de compétences spécifiques. Il est donc essentiel de réaliser au plan national un partage des compétences nécessaires.