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Les espèces disparaissent, mais les causes de leur destruction sont « invisibilisées », argumente l’auteur de cette tribune. À l’occasion de la Journée internationale de la biodiversité, il nous propose d’ouvrir grand les yeux. (...)
Via Build Green
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Le système d’importation des végétaux au sein de l’Union européenne permet aux ravageurs et maladies de mettre en péril l’agriculture du Vieux Continent. De la région des Pouilles en Italie aux marchés de plantes des Pays-Bas, enquête sur les nouvelles pandémies végétales.
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C’est une problématique agricole qui est devenue un véritable sujet de société : comment préserver l’eau, garantir un partage équitable de cette ressource, tout en permettant aux agriculteurs de vivre de leur métier ? Autour de notre journaliste Laetitia Langella, nos invités vont évoquer les solutions existantes pour mettre en lumière les enjeux et défis de l’agriculture de demain.
L'entreprise germano-espagnole Freixenet, qui produit du cava, vin mousseux fruité, prévoit de licencier temporairement 80 % de ses effectifs à cause de la sécheresse historique en Catalogne. Le dérèglement climatique a des conséquences dramatiques dans l'agriculture en Inde et au Zimbabwe.
Via Système de veille
Une étude montre une baisse de 21 % de la biodiversité en moyenne dans les parcelles de banane fréquemment traitées avec du glyphosate. Le glyphosate perturbe également davantage les espèces natives.
Via Sylvain Rotillon
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Le bocage est précieux allié face au changement climatique, mais aussi un obstacle au développement d’une agriculture intensive toujours plus mécanisée. Dans l’Ouest, sa dégradation est tellement rapide qu’elle surprend des chercheurs qui l’étudient, et qualifient la période de « rupture paysagère ».
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Ce nouveau rapport concerne les pesticides PFAS : les substances actives utilisées dans les pesticides dans l'UE qui sont des substances per- et
... Dans plusieurs pays d’Europe, les agriculteurs protestent pour leur pouvoir d’achat et contre les normes environnementales du pacte vert européen. Mais cette contestation est-elle adressée à l’Europe aujourd’hui ou est-elle tournée vers les États eux-mêmes ? Géographie à la carte Jeudi 25 janvier 2024 Matthieu Garrigou-Lagrange Avec Jacques Lévy Géographe, directeur de la chaire “intelligence spatiale” de l’université Polytechnique Hauts-de-France, auteur notamment des livres Géographie du politique et Théorie de la justice spatiale : géographies du juste et de l’injuste, publiés chez Odile Jacob, sans oublier Le Pays des européens, co-écrit avec Sylvain Kahn, chez le même éditeur. "En cette année d’élection, ce mouvement pourrait signifier l’existence d’un espace public européen de plus en plus unifié, avec des préoccupations similaires dans toutes les campagnes de l’UE." (...)
Via Bernadette Cassel
Prix planchers, audit sur les dettes agricoles, moratoire sur le libre-échange, Sécurité sociale de l’alimentation… Les écologistes fourmillent d’idées pour répondre à la crise agricole. Seront-ils entendus ? Par Gaspard d’Allens, Justine Guitton-Boussion, Laury-Anne Cholez 26 janvier 2024 à 09h49 Mis à jour le 27 janvier
C’est une bataille de récits, un conflit sur notre vision de l’avenir. En pleine crise agricole, la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) fustige les règles environnementales, arcboutée dans la défense du modèle productiviste. Le gouvernement lui prête la main et a annoncé (...)" [Image] Dans la Drôme, un réseau d’agriculteurs réintroduit de la vie sauvage dans leur ferme. Crédit : Charlie Delboy / Reporterre ------- NDÉ Lire aussi → Marine Tondelier : «On ne sauvera pas le climat sans les agriculteurs» – Libération, 28.01.2024 https://www.liberation.fr/politique/marine-tondelier-on-ne-sauvera-pas-le-climat-sans-les-agriculteurs-20240128_3KL2NYUHJVDAXCHSGEFVTD5DAM/
Via Bernadette Cassel
Générations futures publie un nouveau rapport basé sur des analyses d’air montrant qu’en zone agricole des distances de plusieurs dizaines de mètres ne...
Via Build Green
L’analyse des données d’occupation du sol révèle une activité maraîchère croissante au sein d’exploitations de grandes cultures céréalières du bassin parisien. C’est ce que montrent Agathe Delebarre, Ségolène Darly, Romain Melot, qui avancent des pistes d’explication.
Via Agrodoc Ouest
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Au printemps 2024, la pluie ne manque pas, pourtant les sécheresses restent une crainte latente dans les élevages. Récupérer les eaux de pluies peut être une solution pour disposer d’une ressource en eau supplémentaire. Cela nécessite de bien dimensionner son installation, s’équiper de matériel de traitement de l’eau, et surveiller la qualité.
Via Agrodoc Ouest
Les solutions de biocontrôle (macroorganismes, microorganismes, substances naturelles, médiateurs chimiques) sont présentées comme des alternatives aux pesticides conventionnels car elles sont supposées avoir des impacts moindres sur la santé des écosystèmes et de l’Homme. Cependant, pour assurer la durabilité des solutions de biocontrôle, les conséquences de leur utilisation et les enjeux liés à la préservation de l’environnement doivent être documentés. Dans une synthèse bibliographique publiée dans Environmental Science and Pollution Research, des chercheurs INRAE des UMR ECOSYS (Ecologie fonctionnelle et écotoxicologie des agroécosystèmes, INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Palaiseau), ISA (Sophia Antipolis), Agroécologie (Dijon) et SAVE (Villenave d’Ornon), et de l’Université de Perpignan, font le point sur (1) les solutions de biocontrôle existantes, (2) la contamination de l’environnement par ces solutions, (3) leur devenir dans l’environnement, (4) leurs effets écotoxicologiques sur la biodiversité, et (5) leurs effets par rapport à ceux des pesticides conventionnels. Si de nombreuses solutions insecticides et fongicides de biocontrôle sont disponibles, il ne se dégage pas actuellement de solutions herbicides qui puissent être considérées comme fiables et efficaces malgré l’importance des besoins. Très peu d’études ont été publiées sur la contamination du milieu par les solutions de biocontrôle, leur devenir dans l’environnement et leurs effets. Le nombre de résultats le plus important concerne les organismes utilisés depuis plus de vingt ans (coccinelle Harmonia axyridis, bactérie Bacillus thuringiensis), et le plus souvent sous l’angle de leurs interactions avec d’autres organismes de biocontrôle. En effet, l’utilisation d’organismes vivants (micro et macroorganismes) en biocontrôle apporte une dimension spécifique par rapport aux pesticides conventionnels car ils peuvent s’implanter, se multiplier, se déplacer et coloniser d’autres milieux. Concernant les substances naturelles, les quelques résultats existants indiquent que, si la plupart d’entre elles ont une faible écotoxicité, d’autres (abamectine, phosphonates, spinosad) ont une toxicité équivalente voire supérieure à celle des pesticides conventionnels. Enfin, il n’y a presque aucun résultat concernant les médiateurs chimiques. La connaissance des effets non intentionnels des solutions de biocontrôle s’est avérée très incomplète. Les recherches sur la contamination du milieu par ces solutions et leur écotoxicité doivent être amplifiées pour assurer la durabilité de leur utilisation. Contact : laure.mamy@inrae.fr
Via Life Sciences UPSaclay
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70 % des haies ont disparu depuis les années 1950, à cause du remembrement des terres agricoles. Entre 2017 et 2021, plus de 23 000 km de haies ont été arrachés. Les haies sont pourtant indispensables à notre biodiversité, mais aussi à notre bonheur. La haie, un mur vivant à défendre.
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Ce livret recueille des pratiques éprouvées par la science de l’écologie et par les agriculteurs pour travailler pour et avec la biodiversité. Il décrit et prône une agriculture plurielle, div
All countries now have policies, but not all work as intended. Some drive trade-offs or lead to spillover impacts elsewhere, but there are many examples of successful stories.
Via Système de veille
Marion Fortoul. Caractérisation et diffusion des actions favorables à la biodiversité en milieu agricole. Sciences du Vivant [q-bio]. 2023. dumas-04274737 DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance Introduction L’érosion de la biodiversité est une préoccupation majeure à l'échelle mondiale. Le rapport de l'IPBES (Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) affirme que plus d'un million d'espèces animales et végétales sont menacées d’extinction dans les décennies à venir en raison de l'activité humaine (IPBES 2019).
Le déclin de la biodiversité coïncide avec la révolution agricole ayant eu lieu durant la seconde moitié du XXème siècle. Elle se traduit par un changement d’usage des terres et une modification des pratiques agricoles vers une recherche permanente de productivité. Cela engendre des transformations importantes de la structuration des paysages et la destruction de nombreux habitats naturels. La biodiversité est une dimension oubliée par la révolution agricole. (Le Roux et al. 2008).
Pourtant, l’agriculture retire des bénéfices innombrables de la biodiversité. Elle est le socle de la production agricole et son bon fonctionnement permet d’augmenter la résilience des systèmes. Ainsi elle participe à la régulation naturelle des ravageurs, la fertilité des sols, la pollinisation, la régulation de l’eau, de l’érosion, avec des effets sur l’évolution climatique etc., ce que l’on peut dénommer des « services écosystémiques » (Chambre d’Agriculture 2023 ; FAO 2023).
Les agriculteurs sont des acteurs clés dans la construction des paysages, la préservation ou la destruction de la biodiversité. 52% du territoire national est occupé par des terres agricoles (Terre de Liens 2022). Par la manière dont ils cultivent et entretiennent leurs terres, ils sont des gestionnaires des territoires ruraux. Idéalement, ils peuvent favoriser la biodiversité, sans compromettre l’optimisation de leur production. Cela suppose d’adapter les pratiques agricoles en pensant à l’impact sur l’environnement, ainsi que de mettre en place et gérer durablement des habitats semi-naturels (Le Roux et al. 2008).
L’agriculture biologique (AB) a la vocation d’être favorable à la biodiversité. En moyenne, on trouve 30% plus d’espèces et 50% plus d’individus dans les parcelles en AB (Bengtsson et al. 2005). Ainsi, n’utilisant pas de produits chimiques de synthèse, ces agriculteurs s’appuient sur les mécanismes de régulation naturelle des ravageurs, dont l’équilibre dépend de la santé de la biodiversité environnante (Fédération Nationale d’Agriculture Biologique 2019).
Conscient de sa responsabilité, le réseau des agriculteurs biologiques d’Ille-et-Vilaine, Agrobio 35, a pris la décision en 2021 de former une « commission Biodiversité », pour identifier et mieux comprendre les actions favorables à la biodiversité sur les fermes, et les déployer. Le sujet de ce mémoire s’inscrit dans cette démarche.
[Image] Illustration de la perte de biodiversité selon la diversification des paysages agricoles (Crédit : Cour des comptes européenne)
Via Bernadette Cassel
Après les pesticides chimiques, les firmes de l’agrochimie renforcent leur arsenal de lutte contre les insectes ravageurs grâce à la génétique. Présentés comme des alternatives durables à la chimie de synthèse, leurs nouveaux pesticides – dénommés génétiques ou à interférence ARN (ARNi) – semblent en réalité reproduire le même schéma mortifère que leurs prédécesseurs pour les pollinisateurs.
Via Build Green
Les haies sont des alliées précieuses pour lutter contre le changement climatique. Las, les agriculteurs en assurent quasi seuls l’entretien, comme le détaille le média Splann ! dans cette enquête sur le bocage breton.
Les haies protègent les cultures du vent ou de la sécheresse, limitent les inondations et abritent une riche faune. Mais leur entretien repose presque uniquement sur les agriculteurs, comme le raconte cette enquête sur le bocage du nord-ouest de la France réalisée par le média breton (...)
Via Hubert MESSMER
Fondatrice en 2023 de la start-up Starfish Bioscience, la biochimiste Sandrine Claus travaille sur la restauration de la vie des sols en développant des stimulants bactériens. Le rôle de ces probiotiques : reconstituer le microbiote des sols afin de permettre aux cultures de mieux pousser grâce à la restauration de la biodiversité des micro-organismes. Ils jouent un rôle clef dans le bon fonctionnement de l’écosystème et la protection face aux pathogènes. Dans cette interview, cette spécialiste qui travaille sur les interactions entre le microbiote et leur hôte depuis plus de 20 ans explique la démarche et les enjeux. (...)
Via Build Green
Les normes environnementales sont-elles trop lourdes pour les agriculteurs ? Ces derniers sont-ils des pollueurs ? Explications. franceinfo France Télévision
Via Bernadette Cassel
Au fil des dernières décennies, les paysages façonnés par une agriculture intensive ont été le théâtre d'une perte significative au sein des groupes Effondrement dramatique de la biomasse des insectes dans les paysages agricoles intensifs au profit des "bioagresseurs" Le 20 janvier 2024 ------- NDÉ L'étude Long-term data in agricultural landscapes indicate that insect decline promotes pests well adapted to environmental changes | Journal of Pest Science, 24.10.2023 https://link.springer.com/article/10.1007/s10340-023-01698-2#citeas [Image] Monitoring of flying insects in landscapes of intensive farming: agriculture land-use in Germany highlighting the a share of cereal crops on arable farmland, regarding the utilized agricultural area (UAA). Trap location situated in regions of intensive farming (red dot) and a high proportion of cereal crops. The change of b permanent pasture area between 1999 and 2010 according to UAA (30% in 1999, 28.2% in 2016). Black dots display trap locations: ST I-VI. Data provided by Thuenen-Institute (Gocht and Röder 2014)
Via Bernadette Cassel
Générations futures publie un nouveau rapport basé sur des analyses d’air montrant qu’en zone agricole des distances de plusieurs dizaines de mètres ne protègent de l’exposition aérienne aux pesticides. Riverains exposés aux pesticides dans l’air : Même 70 mètres ne suffisent pas ! Le 16 janvier 2024 L’association demande des zones de non traitement (ZNT) par des pesticides chimiques d’au moins 150 mètres ! Contexte de la publication de ce nouveau rapport Ce nouveau rapport de Générations Futures prend place après nos premières campagnes d’analyse de l’air, réalisées en 2021 et 2022 dans des zones de grandes cultures, ainsi qu’en 2023 dans des zones viticoles. Ces campagnes avaient révélé une exposition importante des populations aux pesticides par voie aérienne, remettant en question l’efficacité des zones de non-traitement de 5 à 10 mètres." Téléchargez le rapport : C’est dans l’air – Episode 3
Via Bernadette Cassel
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