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En 2013, les petites entreprises françaises ne sont plus que 8% à ne pas utiliser de PC et 50% à disposer d'au moins un logiciel, principalement une application de gestion. Les terminaux les plus récents comme les tablettes et les smartphones sont encore peu répandus. Le cloud, lui, reste largement méconnu.
Avec ses besoins sans cesse croissants, le cloud est avant tout un défi technologique de taille pour les ingénieurs informatiques. Les datacenters en coulisse doivent en effet être en mesure d'évoluer perpétuellement pour supporter la charge de travail toujours en hausse.
Selon le Gartner, la sécurité reste un argument fort pour éviter l’infogérance par le cloud mais tous les services et logiciels de sécurité profitent pourtant d’évolutions via le cloud.
Avec la prolifération des offres de Cloud Computing, qu’il s’agisse de logiciels, de plates-formes, de services ou d’infrastructures, le choix des meilleures solutions devient un casse-tête. Surtout lorsqu’il faut intégrer les offres de multiples fournisseurs. A moins de recourir aux services d’un courtier en Cloud Computing. Focus sur un nouveau métier.
Durée d'engagement souhaitée, besoins en RAM & CPU, stockage, Systèmes d’exploitation... CloudScreener.com a étudié les recherches effectuées sur son site afin d’analyser les besoins réels en matière de cloud computing, et décrypter ce que cherchent les entreprises. Le service online et gratuit de comparaison d’offres d’infrastructure cloud computing public fonctionne à partir de plus de 120 critères (prix, performances, sécurité, détails des offres) et permet aux entreprises d’analyser, évaluer et mieux comprendre les offres du marché. Depuis son lancement il y a quelques mois, plus de 25 000 comparaisons de cloud ont été effectuées sur le site depuis 115 pays dans le monde. CloudScreener.com dispose ainsi d’une base de connaissances unique sur le marché
Le développement des offres de Cloud Computing et leur adoption au sein des entreprises de toutes tailles et de tous secteurs ouvre la porte à de nouvelles pratiques. L’une d’elles est le secours du système d’information dans le Cloud, appelée DRaaS pour Disaster Recovery as a Service.
CA Technologies a réalisé une petite enquête sur les services en mode Cloud et il s'avère que la majorité des entreprises européennes (52%) reste encore très prudente (voire frileuse) en ce qui concerne leur adoption.
Le ROI des entreprises qui misent sur le cloud computing est plus élevé dans celles qui ont moins de 50 salariés. C'est ce qu'indique une étude de Markess International publiée le 16 octobre 2013.
Amazon, vous connaissez ? Au début libraire on line, aujourd’hui l’un des leaders mondiaux du Cloud, Amazon vient de remporter contre IBM, un contrat de 600 M$ avec la CIA.
La pensée dominante veut que la virtualisation soit la clé de voute du Cloud Computing. De plus en plus d’experts pensent que cette idée est fausse et mène de nombreuses DSI dans l’impasse. Les véritables fondations du Cloud seraient ailleurs.
Selon une enquête réalisée à l'échelle européenne par Quacirca pour CA Technologies, les problématiques liées à la sécurité des données (propriétés intellectuelles, données personnelles et localisation de stockage) restent la principale barrière qui freine l'adoption du Cloud par les entreprises.
Un nombre croissant de DSI et de services informatiques se tournent vers le cloud pour les aider à acquérir un avantage concurrentiel pour leur entreprise, réduire les coûts et faire plus avec moins. Près des trois quarts des DSI que nous avons interrogés en mai de cette année ont convenu qu'ils utilisaient déjà du cloud. Selon l’étude, un des principaux avantages est de fournir un véritable accès universel (de n’importe où, à partir de n’importe quel appareil) aux données de l’entreprises au travers d’applications métiers. C'est en effet le plus grand avantage du cloud par rapport à l'infrastructure informatique maison ; mais c’est aussi sa plus grande faiblesse, comme les événements récents l’ont mis en évidence.
Le Cloud n’est pas qu’une révolution technologique, c’est une opportunité majeure pour l’agilité et l’évolution des services. Les solutions de Cloud computing étant conçues avant tout pour aider les entreprises à réaliser des économies et à simplifier le Système d’Information, elles leurs offrent la flexibilité et l’agilité dont elles ont besoin pour prospérer.
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La quatrième étape de l'IT Tour s'est déroulée à Lille le 21 novembre. Cette matinée-débat a été l'occasion de partager et de dialoguer sur des sujets d'actualités. Retour sur ces échanges très enrichissants.
Selon l’ENISA, la France, L’Espagne et le Royaume-Uni constituent le trio de tête des pays européens dans l’adoption du cloud gouvernemental.
D'après une étude menée par Sharp, les petites et moyennes entreprises (PME) en Europe ne sont pas à la hauteur des attentes de la nouvelle génération de collaborateurs sur le Cloud, qui exigent des outils de partage pour travailler efficacement.
L’essor des services informatiques hébergés constitue une évolution majeure du secteur des technologies de l’information. Virtualisation, mutualisation des ressources, flexibilité du système d’information, accès à la demande et paiement à l’usage sont les concepts clés de ce nouveau modèle. Si l’on connait le positionnement des prestataires – toujours plus nombreux -, on dispose en revanche de peu d’information sur la demande réelle des entreprises en matière de services hébergés. Raison pour laquelle Scholè Marketing – cabinet d’étude spécialisé sur les services IT – a réalisé en septembre 2013 une enquête approfondie auprès de 600 entreprises pour mesurer l’adoption des différents services de Cloud. Loin de s’adresser aux seuls grands comptes ou à des sociétés déjà sensibilisées au Cloud, l’enquête de Scholè Marketing a été réalisée auprès d’un échantillon représentatif de l’ensemble des entreprises de 6 salariés et plus.
La vie d’un architecte Cloud est vraiment passionnante en ce moment pour peu qu’on aime la nouveauté et qu’on s’intéresse à l’impact des technologies sur les organisations, les compétences et les façons de travailler.
L’étude menée par le fournisseur Fortinet dans vingt pays auprès de salariés âgés de 21 à 32 ans (*) donnera du grain à moudre aux opposants du BYOD (Bring your own device). Au premier rang desquels, Patrick Pailloux. Le patron de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) alertait il y a un an sur les dangers à laisser les collaborateurs à utiliser leur propre matériel.
Le rapport trimestriel d’Akamai sur l’état de l’Internet souligne la montée en puissance des attaques ciblant les grandes entreprises. Et le poids du cybercrime en Asie, à l’origine de plus de 75 % des attaques dans le monde.
L’extrême rapidité de la démocratisation des terminaux mobiles entraîne avec elle un écosystème fragmenté dans lequel marques et développeurs se perdent un peu.
Avocat à la Cour d’Appel de Paris, Olivier Iteanu a décrypté, sur le site d’EuroCloud France, les conditions générales du contrat client d’Amazon Web Services. Ce document de 43 pages comprend, pour notre juriste, des « dispositions étonnantes ».
NetIQ a conduit cette année une étude* sur la sécurité du Cloud. L’objectif ? Comprendre la perception de la sécurité du Cloud au sein des entreprises du monde entier.
D’ici 2015, plus d’un décideur informatique sur deux prévoit d’augmenter la part de son budget dévolue à des projets d’externalisation avec le cloud computing. Les ROI (retour sur investissement) obtenus sont assurément l’une des raisons favorisant cette tendance. Les interviews de 175 décideurs et prestataires, menées par MARKESS International dans sa dernière étude "Externalisation des infrastructures IT avec le cloud computing : approches, ROI et tendances 2015", ont permis d’évaluer plus précisément les apports du cloud computing pour les infrastructures informatiques (IT).
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D'année en année, la présence en ligne des TPE s'accentue. 47% de ces structures disposent d'un site web, soit 10% de plus qu'il y a un an. 11% de cette population visible sur la toile l'est à travers un site vitrine. 5% disposent d'un site marchand. La proportion des petites entreprises dotées d'un site progresse à mesure que les TPE sont convaincues de l'importance d'un site web. Elles sont aujourd'hui 55% à l'être, soit 10% de plus qu'en 2012. 46% des dirigeants interrogées estiment en outre que l'avenir des TPE passe par une présence sur les réseaux sociaux. Elles sont déjà 23% à s'être lancées sur le web social contre seulement 10% en 2012. Leur objectif est avant tout d'accroître leur visibilité, devant le fait de trouver de nouveaux clients.