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La peur de la cybercriminalité est de plus en plus présente chez les banquiers et professionnels du secteur, selon la dernière étude mondiale « Banking Banana Skins ». Réalisée en association avec PwC, la 11e édition de cette étude souligne que le risque technologique, porté par la cybercriminalité, a fait un bond dans le classement des principaux risques pour les banques.
Dans le cadre d'une série de conférences qu'a entamées le Medef départemental, présidé par Daniel Eclache, les chefs d'entreprise du Tarn étaient conviés à une rencontre avec des spécialistes de la cybercriminalité. Quatre gendarmes qui traquent l'escroc utilisant les ficelles que lui offrent les nouvelles technologies.
Daniel Martin, ancien commissaire de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire) et spécialiste des nouvelles technologies, ne cesse de tirer la sonnette d’alarme. Si internet est un formidable outil de connaissance et de business, c’est aussi un terrain rêvé pour les escrocs. « Près de 120 000 personnes, par an, se font voler leur identité sur le net », rappelle-t-il.
A l’instar de la Nuit du Hack parisienne, l’éditeur spécialisé ITrust et l’école d’ingénieurs Epitech organisent le 10 avril prochain, à Toulouse, une journée Cyber@Hack. Avec des ateliers sur la cybersésurité et une web conférence en direct de la Silicon Valley sur les nouveaux outils de prévention contre la cybercriminalité.
Amateurs de desserts sucrés, passez votre chemin. En revanche, si vous voulez naviguer sur Internet de façon plus sécurisée, la suite devrait vous intéresser !
L’utilisation de logiciels piratés et les cyberattaques criminelles peuvent coûter cher ! D’après le livre blanc "The link between pirated software and cybersecurity breaches", publié pour Microsoft par le cabinet IDC et la National university of Singapore, en 2014 les sociétés dépenseront 491 milliards de dollars (356 milliards d’euros) à cause de programmes malveillants, d’attaques ou de pertes de données. Les entreprises consacreront 127 milliards de dollars à la sécurité et 364 milliards de dollars au traitement des failles de sécurité. A l’origine de près deux tiers de ces dépenses et de pertes, soit 315 milliards de dollars, on trouvera des organisations criminelles. L’Asie, qui compte le plus grand nombre de PC au monde, sera concernée par 40 % de ces dépenses.
La lutte contre la cybercriminalité promet d’être de plus en plus difficile. C’est du moins la conclusion à laquelle on peut être tenté d’aboutir à la lecture de l’étude récemment réalisée par la RAND Corporation pour Juniper Networks. Selon le think tank, il apparaît en effet que les marchés noirs de la cybercriminalité « croissent en taille et en complexité ». Le marché du piratage a ainsi « émergé comme un terrain de jeu motivé par les questions financières, hautement organisé » et peuplé de « groupes sophistiqués. » Au point de devenir, « par certains aspects », plus « rentable que le trafic de drogue ». Et de décrire un environnement de plus en plus professionnel, sinon industriel, où, « comme dans tout autre marché, produits et fournisseurs tendent à être fiables » quand ils ne sont pas assortis de garanties… Sans compter l’adoption croissance de modèles économiques de type service, pour des produits et outils de plus en plus simples d’utilisation ou accompagnés de tutoriels « rendant plus facile pour les novices l’utilisation de ce que ces marchés ont à offrir. » Un kit d’exploitation tel que Whitehole serait ainsi proposé autour de 200 à 600 $ par semaine, « selon le trafic ». Et rien qu’en 2013, on aurait compté 33 nouveaux kits d’exploitation et 42 nouvelles versions de kits. Bref, l’entrée dans le monde du piratage connaît de moins en moins de barrières.
Vous avez reçu un mail Google, proposant un lien sécurisé (HTTPS) renvoyant vers une page du domaine google.com ? Et bien il peut tout de même s’agir d’un mail frauduleux ! Comment ne pas se faire piéger par cette tentative d’hameçonnage dernier cri ?
Deux PME du département ont fait l’objet de tentatives d’escroquerie via Internet. La cybercriminalité se développe, raison de plus de se protéger.
Pour les banques et les entreprises françaises, le cybercrime est devenu la seconde source de fraude, derrière le détournement d’actifs. Pour PwC, ce constat s’explique aussi par la progression des moyens de détection.
Dell a publié les résultats de son enquête sur la sécurité mondiale au niveau de l’entreprise et les statistiques qui en ressortent mettent en évidence une progression alarmante de la cyber sécurité. Pour les besoins de son enquête, Dell a interrogé près de 1 500 entreprises (dont le volume d’employés variait entre 500 et plus de 10 000) de par le monde (Europe, Canada, Inde, Chine, Etats-Unis, etc…).
Via Morgan BANCEL
Le cabinet PAC a réalisé une étude sur le marché de la cybersécurité en interrogeant plus de 1500 entreprises en Europe au cours du second semestre 2013. Mathieu Poujol, consultant cybersécurité, en délivre les principaux résultats.
Pas besoin d’attendre une cyberguerre… Au quotidien, des milliers d’entreprises sont confrontées à des attaques, visibles ou non, sur leur système d’information. Un sujet loin d’être seulement technologique.
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L'utilisation des technologies de réseaux d'information constitue aujourd’hui une nécessité pour la survie des entreprises. Mais les risques que suppose leur utilisation peuvent perturber la continuité de l’activité des organisations. Directeur général de BCA3, société de conseil spécialisée dans la gestion des risques et du patrimoine immatériel, Bernard Malachane fait le point sur les enjeux de gestion soulevés par cette question émergente.
La cybercriminalité est devenue plus qu’une industrie au Cameroun. Entre juin 2009 et juin 2010, apprend-on, ce fléau a connu une flambée sans précédent. Faux, arnaque et escroquerie via Internet, piratage des boites E-mail, duplication de certains sites officiels, etc., les cybercriminels ont montré et continuent à montrer de toutes les couleurs. Concernant précisément le Cameroun, les cybercriminels sont allés jusqu’à créer un site web frauduleux (http://www.govcamonline. com /), une reproduction complète du site officiel du Premier ministère de Cameroun.
Face à l'ampleur que prend la cybercriminalité aujourd'hui, nous devons la penser autrement : Il faut travailler de manière globale en impliquant davantage l'aspect humain dans les procédures de protection des informations. Il faut prendre conscience que la politique de sécurité des systèmes d’information doit être adaptée à chaque structure, à chaque métier. Cet aspect est bien trop souvent mis de côté pour parvenir à un équilibre correct entre productivité et sécurité. Sous-estimer mais également surestimer des risques peut avoir de graves conséquences, notamment en termes de coût et de développement.
Même un hacker débutant pourrait déverrouiller les portières de la Tesla Model S ! C'est ce qu'a révélé un chercheur en sécurité, qui a fait part de cette découverte au cours d'une grand-messe du piratage, la conférence Blackhat Asia 2014.
Selon une vaste étude présentée ce vendredi par PwC Luxembourg, la criminalité économique continue de progresser, notamment la cybercriminalité.
Une nouvelle étude sponsorisée par Juniper Networks et réalisée par Rand Corporation sur les marchés noirs de la cybercriminalité révèle une économie mature reflétant l'innovation et la croissance d'un marché libre.
Dans son numéro de septembre 2013 (n° 243), Economie & comptabilité (publication éditée par l’IFEC) publie un dossier spécial sur les nouvelles technologies. L’article intitulé « Prévenir la cybercriminalité » est l’occasion de rappeler que la pérennité de l’entreprise est fortement compromise en cas de sinistre informatique majeur impliquant la compromission de ses données informatiques (faisant suite à une malveillance ou un incident fortuit). La cybercriminalité concerne toutes les entreprises et non plus seulement les grandes entreprises. Pourtant les entreprises sont souvent démunies face à de telles attaques. Les PME n’ont généralement pas les compétences en interne, ni conscience des risques (sur leur image, leurs données, celles de leurs partenaires commerciaux…) ; pourtant la criminalité informatique est une pratique ancienne qui est en pleine expansion.
Le Ghana et la Côte d’Ivoire ont annoncé chacun de nouvelles mesures destinées à lutter plus efficacement contre la cybercriminels, dans ces deux pays souvent cités comme deux des principaux foyers de la cybercriminalité en Afrique de l’ouest, à côté du Nigeria Les cybercriminels sont communément appelés « brouteurs » en Côte d’Ivoire et « sakawa » au Ghana. Les nouvelles dispositions en Côte d’Ivoire prévoient « une peine lourde allant jusqu’à 20 ans de prison et 100 millions FCFA d’amende contre tous ceux qui se seront rendus coupables de délits de cybercriminalité », a déclaré Bruno Nabagné Koné, ministre ivoirien de Postes, des Technologies de l’Information et de la Communication.
Les cybercriminels veulent tirer partie de nos smartphones en y introduisant des virus malicieux. Le fournisseur de système de protection Lookout dévoile leurs méthodes de contamination…
Le cabinet PAC a réalisé une étude sur le marché de la cybersécurité en interrogeant plus de 1500 entreprises en Europe au cours du second semestre 2013. Mathieu Poujol, consultant cybersécurité, en délivre les principaux résultats.
Aujourd’hui, les systèmes industriels sont fortement exposés aux cyberattaques car ils sont de plus en plus informatisés et interconnectés avec les systèmes d’information classiques et avec internet. Pour faire face à ces risques de cybercriminalité, l'Agence Nationale pour la Sécurité des Systèmes d'Information (ANSSI) a publié le 21 janvier 2014 un guide sur La cybersécurité des systèmes industriels. Ce guide expose des mesures non contraignantes visant à renforcer la cybersécurité des systèmes industriels.
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Toutefois, l’étude « Banking Banana Skins » met en évidence d’importantes disparités régionales. Si le risque technologique est le 4e risque cité à l’échelle mondiale, les inquiétudes divergent selon les continents . Notamment en Europe où la crainte des cyber-attaques n’apparaît qu’en 9e position. Les Européens sont bien plus préoccupés par les réglementations bancaires et les facteurs politiques. En revanche, en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique, le risque technologique inquiète davantage les banquiers et régulateurs bancaires puisque celui-ci est cité, respectivement, en 2e et 3e position, derrière la régulation pour l’un, la conjoncture économique et les taux d’intérêt pour l’autre.