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Le Big Data est sur toutes les lèvres. Le Big Data est avant tout un instrument de mesure originellement investi par le marketing et le commercial. Il s’invite peu à peu dans toutes les autres sphères de l’entreprise, notamment les ressources humaines. Le point de vue de Jean-Luc Moisan du cabinet Technomedia.
Le déploiement à tous les secteurs de la Business Intelligence conduite par l'utilisateur s'accélère, à mesure que les sociétés commencent à reconnaître la valeur métier des données. En France, cette tendance est encore plus notable dans les secteurs de la finance, de l’industrie, des télécoms, des media et de la distribution.
Le vaste mouvement d’ouverture des données publiques (et plus généralement du Big data) provoque la mise en ligne publique de volumes toujours plus importants de données. On sait qu’un des obstacles légaux de cette ouverture est le respect des données à caractère personnel, afin de ne pas empiéter sur la vie privée ou nuire à l’image des personnes, en d’autres termes à leur e-réputation (cyber-réputation, web-réputation ou réputation numérique).
Loin d'être à la traîne en matière d'analyse de grands volumes de données, les entreprises traditionnelles seraient même plutôt des pionnières. Pour elles, les big data suscitent un changement d'échelle – et donc d'outils – mais les décisions à prendre sont les mêmes : Quel produit vendre et à quel prix ? Quel nouveau produit concevoir ? Quel service proposer ?
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le big data sans jamais oser le demander.
Le cycle de vie de la sécurité informatique repose aujourd’hui sur deux étapes principales. Dans un premier temps, l’entreprise se protège contre les menaces connues – virus, malwares, etc. Ce premier niveau de sécurité a été adopté par la totalité des entreprises aujourd’hui. Il est même devenu une commodité. Dans un second temps, l’entreprise s’efforce d’identifier et de se protéger en temps réel contre des menaces inconnues, notamment via des technologies de « sandboxing » (1). Celles-ci exécutent le code dans un environnement contrôlé afin de l’interpréter et de décider s’il est malicieux ou légitime. Ici encore, la plupart des entreprises commencent à s’équiper.
Les projets analytiques répondent à deux typologies distinctes, souvent antagonistes. Soit ils sont pilotés en central, ils sont sponsorisés par la DG et mis en œuvre par la DSI. Soit ils sont tactiques, et menés à l’initiative de départements métiers. Partis de zéro, ils font alors fi de l’existant et des standards décisionnels de l’organisation.
Vous avez certainement déjà entendu parler de "Big Data". C'est le thème central du CeBIT, le salon dédié aux technologies numériques qui se déroule depuis lundi à Hanovre, en Allemagne. Mais savez-vous vraiment ce que ce terme recouvre vraiment ? Petite explication de notre envoyé spécial sur place, Thomas Jarrion.
La donnée est au cœur de la révolution du marketing en ligne. Néanmoins, elle soulève encore un certain nombre d’interrogations : comment la collecter ? Comment l’exploiter ? Comment le faire dans le respect de la vie privée ? Zanox et Marketing Professionnel vous proposent de faire le point en vidéo sur les principaux enjeux du Big Data.
Considéré comme l’un des grands défis informatiques de cette décennie, le phénomène big data soulève encore de nombreuses questions. Comment l’appréhender? Quels fruits en retirer? Comment s’assurer du respect légal de l’utilisation des données personnelles? Ces questions étaient au cœur d’un événement qui se tenait hier à Munsbach.
Les technologies mobiles sont prioritaires pour les grandes entreprises. 77% des 1 500 cadres dirigeants interrogés par le cabinet Accenture classent la mobilité parmi leurs cinq priorités technologiques. Seuls 10% affichent un retour sur investissement de 100%.
Alors qu’au cours du mois écoulé, tous les spécialistes se sont accordés sur les principaux challenges à relever par les DSI en 2014, Sentelis souhaite proposer un éclairage supplémentaire.
Pour la philosophe Antoinette Rouvroy (@arouvroy) chercheuse au Centre de recherche interdisciplinaire en information, droit et société de l’université de Namur et au Fonds de la recherche scientifique, l’équivalent belge de notre CNRS, les Big Data et la personnalisation algorithmique sont un changement de paradigme. Un changement de paradigme dans notre relation au monde parce qu’ils rendent le monde signifiant, parce qu’ils produisent ce « qui compte comme réel », parce qu’ils ont des implications sur les modes d’exercice du pouvoir… explique-t-elle sur la scène du colloque “la politique des données personnelles : Big Data ou contrôle individuel” organisé par l’Institut des systèmes complexes et l’Ecole normale supérieure de Lyon qui se tenait le 21 novembre 2013. C’est un changement de paradigme, non plus seulement sur les individus, mais sur ce qu’ils pourraient faire du pouvoir comme l’explique le philosophe Grégoire Chamayou dans son livre Théorie du drone qui montre que les frappes de drones se font sur des gens identifiés par un modèle de déplacement, d’activité (cf. “De la fabrique des automates politiques”). Chamayou montre bien que, par rapport au droit, nous sommes entrés dans une autre perspective : on n’identifie plus des gens, mais des formes de vies. Des formes de vies potentiellement terroristes pour les drones, des formes de vies qui ont certaines propensions à l’achat dans le marketing… “En fait, avec les Big Data, l’identification n’a plus beaucoup d’importance”, estime Antoinette Rouvroy.
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L’arrivée de Twitter en bourse, fin 2013 fut joli succès suivi d’une belle déception dès le début 2014, mais la société américaine est parvenue à faire ce qu’elle désirait, dégager des fonds pour se positionner sur son marché.
Les données sont une richesse. Les entreprises et les administrations s'en emparent pour personnaliser leurs produits ou leurs services.
Via Jean Chezaubernard
Le Big data, opportunité ou danger ? Sans doute les deux à la fois. La croissance exponentielle du nombre de données numériques disponibles – et les corrélations entre ces données – ouvrent des perspectives pour les entreprises comme pour les Etats.
Les signaux d’alerte se multiplient quant à une utilisation abusive des données personnelles par les fournisseurs de services internet. Différentes pistes sont explorées pour protéger celles-ci sans brider l’innovation.
Si le marché du big data est aujourd'hui évalué à 6 milliards de dollars en 2015 dans le monde (27% pour le logiciel, 38% pour le matériel et 35% pour les services), il est promis à une croissance très forte. La France ne fait pas exception même si la finalisation des contrats est toujours un peu plus longue qu'ailleurs.
Qui se souvient de l’inoffensif lapin Nabaztag et comment imaginer cet aimable compagnon digital en redoutable cheval de Troie du Big Data ? Pourtant, les apparences peuvent être trompeuses : ce gentil lapin est sans conteste l’un des premiers objets connectés dont la finalité est de pénétrer chez son utilisateur et de capter discrètement un maximum de données comportementales sur son hôte.
Développé par les géants de l’internet, le Big Data va s’étendre à l’ensemble de l’économie pour transformer tous les secteurs, selon une étude de l’Atelier BNP Paribas. Mais ce sont surtout les Smart Cities qui vont être le véritable Eldorado de cette technologie.
Le salon des technologies numériques CeBIT, à Hanovre, met cette année en vedette l’exploitation des données massives. Mais les problèmes de protection des données risquent de freiner le marché. Les géants du secteur tentent de rassurer les entreprises européennes.
Niveau sécurité, ce que nous avions vu émerger en 2013 rejaillit de plus belle en ce début d’année comme les attaques DDoS, APT, mobiles.
Chaque jour qui passe, une entreprise créé des données. Chaque achat, chaque opération par vos équipes métiers produisent des informations qu’il faut gérer. Les grands du Web comme Amazon, eBay ou Google nous ont appris que la donnée pouvait être une source de création de valeur. Nous avions déjà les mainframes, où des traitements suffisaient à calculer chaque jour des indicateurs métiers. Nous utilisons les outils décisionnels pour piloter et prendre la bonne décision, au bon moment.
Afin d’éviter de se retrouver au creux de la vague, les éditeurs de la business intelligence n’ont eu le choix que de développer leurs solutions Big data. Chaque éditeur a sa stratégie, elle est souvent fondée sur ses points forts (bases de données, analytics, open source…etc.).
Cette année s’inscrira non seulement sous le signe des transformations technologiques majeures mais aussi des bouleversements culturels qui en découleront. Si l’an 2013 a incontestablement été marqué par la révélation de problématiques de sécurité, 2014 sera l’année qui apportera un début de réponse à cette question – tant à l’initiative des citoyens que des entreprises. Au cœur du débat sur le respect de la vie privée : les données—quelles sont les données que les consommateurs sont prêts à divulguer sur eux-mêmes et leur utilisation par les entreprises répond-elle à leurs attentes ?
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Big Data, Big Brother ? Nous sommes nombreux à nous poser la question, au fur et à mesure que nous prenons conscience que toutes nos activités virtuelles ont un véritable impact dans le monde réel. Ceci étant, il y aura bientôt segmentation entre les entreprises qui investissent dans leur « marque employeur » et celles qui ne le font pas. Avec l’émergence de la Génération Y aux postes clés de l’entreprise, il devient difficile de ne pas informer les décideurs sur le niveau de disponibilité de leurs bassins d’emploi ou sur les niveaux moyens de performance, là où d’autres Directions les alimentent avec leurs indicateurs tendanciels. Alors pourquoi se priver de ces nouvelles informations et quels en sont les usages ?