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Il ne se passe pratiquement pas un jour sans qu’une organisation ou une entreprise ne soit la victime d’une fuite de données, d’un piratage ou de la dernière cyberattaque en date. Force est de constater que les incidents de sécurité deviennent si courants que désormais, seules les attaques les plus marquantes sont rapportées dans les médias.
D'après une étude commandée par Oracle, 44% des entreprises européennes ne sont pas enthousiasmées par le Byod. Reste que la plupart d'entre elles font preuve d'une réelle méconnaissance des technologies qui sous-tendent ce concept.
Selon une étude de Forrester, les managers sont persuadés que le numérique aura un impact à court terme sur leur entreprise et leur marché. Problème : peu d'entre eux sont confiants dans les capacité de leur société à y faire face !
Une nouvelle étude réalisée par le Forrester montre que l’univers des Systèmes d’Information évolue et avec lui le rôle du DSI. Il y a une école de pensée qui avance que les Directeurs des Systèmes d’Information vont disparaitre. Ces augures s’appuient sur l’essor des solutions basées sur le Cloud et orientées vers le self service, le BYOD et le fait que les décisions IT se prennent de plus en plus de manière transversale.
Pour qui les données personnelles sont-elles le plus menacées sur Internet ? Les plus jeunes qui y passent leurs journées, ou les plus vieux qui maîtrisent moins la technologie ? Une étude ZoneAlarm permet de répondre à cette question.
D'après une étude menée auprès des directeurs informatique, le coût des mises à jour des applications pour mainframe a augmenté de 29% en 18 mois.
Réalisée par Steria, cette étude présente les nouvelles attaques informatiques et leur impact en termes business, financier et d’atteinte à la réputation.
Près de la moitié des cyber-attaques touchent des sites de e-commerce. Ces entreprises sont d'autant plus touchées qu'elles drainent de nombreuses données clients mais ne mettent pas les moyens nécessaires à leur protection.
Des experts planchent sur la nature et la transformation de l’identité individuelle
L’utilisation de composants tiers et de code vulnérables au sein de nouvelles applications est devenue un problème de sécurité majeur souligné dans le Top 10 des vulnérabilités applicatives de l’Open Web Application Security Project (OWASP). Dans ses précédentes versions, la catégorie Utilisation de composants aux vulnérabilités connues était intégrée à une autre, plus générique, Défaut de configuration. Mais le problème est devenu si répandu qu’il mérite désormais une catégorie propre.
Les hackers ne semblent beaucoup effrayer les internautes français comme le révèle cette étude publiée à l’occasion de Milipol. Pour beaucoup, la sécurité dépend d’abord de l’expérience.
L’essor des services informatiques hébergés constitue une évolution majeure du secteur des technologies de l’information. Virtualisation, mutualisation des ressources, flexibilité du système d’information, accès à la demande et paiement à l’usage sont les concepts clés de ce nouveau modèle. Si l’on connait le positionnement des prestataires – toujours plus nombreux -, on dispose en revanche de peu d’information sur la demande réelle des entreprises en matière de services hébergés. Raison pour laquelle Scholè Marketing – cabinet d’étude spécialisé sur les services IT – a réalisé en septembre 2013 une enquête approfondie auprès de 600 entreprises pour mesurer l’adoption des différents services de Cloud. Loin de s’adresser aux seuls grands comptes ou à des sociétés déjà sensibilisées au Cloud, l’enquête de Scholè Marketing a été réalisée auprès d’un échantillon représentatif de l’ensemble des entreprises de 6 salariés et plus.
D'après une étude Micro Focus, 57 % des responsables informatiques considéreraient certains de leurs projets d'externalisation de développement et test d'applications comme étant ingérables, un casse-tête, un cauchemar ou un échec complet.
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Le cabinet Markess vient de publier, à l'occasion du salon Documation, une étude sur l'archivage et la conservation des données numériques.
Alors que l’affaire Snowden a mis en lumière l’importance pour les Etats de contrôler et de protéger leurs réseaux de communication, la Compagnie européenne d’intelligence stratégique (CEIS) publie une étude sur la cybersécurité des pays émergents.
Arbor Networks, Inc. annonce les résultats d’une enquête commandée à The Economist Intelligence Unit sur l’état de préparation des entreprises face aux cyberincidents. The Economist Intelligence Unit a interrogé 360 hauts responsables d’entreprises à travers le monde, en majorité (73 %) des membres de la direction générale ou du conseil d’administration, répartis à 31 % en Amérique du Nord, 36 % en Europe et 29 % en Asie-Pacifique.
La reprise après sinistre informatique est un sujet qui semble connu par les entreprises. Mais de nouveaux facteurs le renouvellent, comme la concurrence exacerbée dans tous les domaines, des budgets informatiques de plus en plus étriqués, ou plus simplement l''explosion exponentielle des données.
Selon une étude de Pierre Audoin Consultants, la mise à disposition de terminaux mobiles et d’applications de qualité permet d’améliorer la motivation et la fidélisation des employés de 45% des entreprises interrogées. Alors que 55% des sondés constatent une augmentation de leur productivité, 53% remarquent que le large choix de terminaux et d’applications présente des risques très importants pour la sécurité et suppose une charge de gestion énorme.
Il y a peu de budgets en nouvelles technologies qui échappent totalement aux DSI. C’est la conclusion d’une étude de Forrester Research. Seulement 7,2% des dépenses en nouvelles technologies sont réalisées par les responsables métiers sans aucune intervention de la DSI.
L’enquête Steria réalisée auprès de 270 décideurs en sécurité révèle que 91% des entreprises européennes s’estiment capables de faire face à une crise majeure de sécurité. Mais entre la confiance affichée et la réalité des pratiques, la cohérence n’est pas totale. En effet, les entreprises n’ont pas pris les mesures adhoc les plus élémentaires pour traiter les crises lorsqu’elles surviennent. Ainsi, seules 27 % d’entre elles opèrent leur sécurité en 24/7 dont moins d’un quart des répondants français. Dans ce contexte, des points positifs émergent pour l’avenir : les arbitrages budgétaires se font en faveur de la sécurité et la sécurité est positionnée à haut niveau dans les entreprises, ce qui favorise la mise en œuvre de stratégies ambitieuses répondant aux enjeux business. Et même si la mesure de la performance reste fortement focalisée sur le contrôle des coûts, l’amélioration de la détection des attaques est la 2e motivation à l’externalisation parmi les entreprises de plus de 5000 collaborateurs.
Une étude de Compuware montre qu’un incident informatique majeur a coûté à lui seul jusqu’à 6,9 millions de livres sterling à une entreprise. Sans compter que près de la moitié des entreprises (45 %) ont déjà subi une perte en termes d’image ou de part de marché suite à un incident technologique majeur. Lorsque les pannes vont jusqu’à affecter le client, il devient évident que la gestion des performances technologiques n’est plus seulement le problème des services informatiques.
Selon une analyse de HP Fortify, la quasi-totalité des applications mobiles ne respectent pas les règles de base en matière de sécurité. Autant de vecteurs d’attaques aux pirates.
Selon une étude menée par le Cesin et Provadys, les RSSI ont des outils et des méthodes pour contrer les cyber-attaques. Mais posséder des outils ne suffit pas à être prêt.
D'après une étude menée par Sharp, les petites et moyennes entreprises (PME) en Europe ne sont pas à la hauteur des attentes de la nouvelle génération de collaborateurs sur le Cloud, qui exigent des outils de partage pour travailler efficacement.
Selon la nouvelle étude Harris/Microsoft, les actifs français se sentent pousser des ailes en dehors du bureau : 87% d’entre eux s’estiment plus productifs grâce aux nouvelles technologies qui leur permettent de travailler où et quand ils le souhaitent, et ainsi, mieux organiser leur vie personnelle. Un engouement pour la mobilité qui se traduit par une plus grande exigence aussi, puisque déjà 51% d’entre eux jugent indispensable d’accéder à distance à leurs dossiers en cours.*
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L’étude livre également d’intéressants résultats sur la question de savoir qui doit piloter le traitement des incidents au sein d’une entreprise. Le pourcentage d’entreprises qui prévoient de faire appel à des experts extérieurs en cas d’incident est révélateur. Environ 70 % des entreprises interrogées pour l’enquête –voire 80 % pour les plus grandes d’entre elles– se sont adressées à des spécialistes dans le cadre de leur plan de crise. Les entreprises victimes d’un incident durant les 12 derniers mois sont deux fois plus enclines à se tourner vers un expert tiers que celles qui n’en ont pas subi.
L’étude indique enfin que les experts en investigation informatique ou autres spécialistes du secteur sont les plus susceptibles d’être sollicités, suivi des spécialistes du conseil juridique et des représentants des forces de l’ordre. Par contre, le recours à des agences de relations publiques ou des cabinets de gestion de crise est nettement moins répandu.