Cybersécurité - Innovations digitales et numériques
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Vous trouverez dans ce thème des actualités, en France et dans le monde, sur les innovations digitales et numériques, en passant par la cybersécurité ou confiance numérique, l'informatique en nuage, les mégadonnées ainsi que le management des services et de projet
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Syrie, la cyberattaque à laquelle vous avez échappé

Syrie, la cyberattaque à laquelle vous avez échappé | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it

Suivant David Sanger (le journaliste qui avait déjà révélé le rôle des administrations Bush et Obama dans l’opération Stuxnet contre l’Iran), Washington aurait récemment étudié une frappe cyber contre la Syrie, puis aurait fini par y renoncer. Si la nouvelle est vraie (et la source semble plutôt crédible), cela signifie que les États Unis envisagent une utilisation offensive de leurs cyberarmes comme moyen de contrainte, moins spectaculaire, moins sanglant et moins choquant pour l’opinion internationale que des frappes dites cinétiques, par le fer et par le feu.

Stéphane NEREAU's insight:

Les arguments contre semblent donc l’avoir emporté sans que nous puissions dire si c’est à tort ou à raison (sur le plan technique, s’entend). En revanche, cela devrait nous faire réfléchir sur la valeur stratégique des cyber-armes. À quoi servent-elles si leurs conditions d’emploi sont si restrictives et qu’elles ne se trouvent presque jamais réunies ? Font-elles si peur que cela aux "faibles" (les États voyous qui seraient tentés d’y recourir anonymement) si les « forts » hésitent tant à les mobiliser ? Et si elles ne font pas peur, les États démocratiques qui en fabriquent, doivent-ils attendre des circonstances dramatiques pour les sortir des placards ? En attendant les réponses restent dans le mystère par rapport à des armes dont on voit bien l’usage pour l’espionnage mais bien moins l’utilité pour exercer une contrainte, qui reste, au fond, le but de la guerre. 

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2 millions de dollars dérobés via des skimmers Bluetooth implantés dans des stations services aux USA

2 millions de dollars dérobés via des skimmers Bluetooth implantés dans des stations services aux USA | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it

Les cybercriminels exploitent toutes les technologies pour faire de l’argent et le Bluetooth ne semble pas être épargné. Un énorme vol de cartes de crédit dans des stations services US a été commis via des skimmers Bluetooth.

Stéphane NEREAU's insight:

Les dispositifs de skimming ont été installés à l’intérieur des machines, de façon indétectable aux gens qui ont payé aux pompes automatiques et les appareils étaient équipés en Bluetooth, de sorte qu’il n’y a pas besoin d’un accès physique pour récupérer les données volées.

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La sécurité du cloud computing menacée par le Patriot Act

La sécurité du cloud computing menacée par le Patriot Act | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it

 Un rapport rédigé par des experts juridiques de l'Université d'Amsterdam affirme que le Patriot Act contourne les lois européennes en matière de données à caractère personnel

Stéphane NEREAU's insight:

Les lois de protection de données européennes ne protègent pas les citoyens européens contre des lois extra-territoriales comme celles des USA.
Ce rapport pourrait donc avoir de très sérieuses conséquences commerciales pour l'ensemble des sociétés américaines impliquées dans le Cloud parmi lesquelles figurent la fine fleur de l'informatique et de l'Internet.

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L’Europe veut reprendre la main sur Internet

L’Europe veut reprendre la main sur Internet | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it

L’Internet est une création des Etats-Unis qui le considère un peu comme sa créature. Du coup, ils ont du mal à lâcher du lest. La Commission européenne entend jouer le rôle médiateur dans les futures négociations mondiales sur la gouvernance de la Toile.  

Stéphane NEREAU's insight:

Concrètement, il s’agit notamment de :
- fixer un calendrier précis pour la mondialisation des fonctions de l’ICANN et de l’IANA qui restent deux chasses gardées des Etats-Unis ;
- renforcer le forum mondial sur la gouvernance de l’internet ;
- mettre en place l’Observatoire mondial de la politique de l’internet, une plateforme en ligne qui favorisera la transparence des politiques liées à l’internet ;
- procéder à un examen des conflits entre lois ou juridictions nationales afin de chercher d’éventuelles solutions,

La Commission européenne s’engage faveur d’un modèle de gouvernance de l’internet multipartenaire. « Certains préconisent que l’administration des fonctions essentielles de l’internet soit confiée à l’Union internationale des télécommunications », conclut  Neelie Kroes qui considère préférable de « renforcer le modèle multipartenaire pour que l’internet reste un formidable moteur d’innovation.»

L’Europe aura-t-elle les moyens de  favoriser cette évolution face à des Etats-Unis qui se sont toujours montrés très frileux vis-à-vis d’une telle évolution. Pour résoudre cette question, il faut au minimum la poser.

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PRISM : Plus de transparence nuirait « gravement à la sécurité nationale »

PRISM : Plus de transparence nuirait « gravement à la sécurité nationale » | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it
Dans un document judiciaire de 33 pages, le ministère de la Justice américain a déclaré que donner plus d’informations sur les programmes de surveillance états-uniens serait un très gros risque pour la sécurité de cette nation.
Stéphane NEREAU's insight:

Le directeur de la puissante Agence américaine de sécurité nationale (NSA) a nié mercredi espionner les Américains sur les réseaux sociaux. « Il est totalement faux de dire que nous quadrillons les réseaux sociaux à la recherche d'Américains », a expliqué le général Keith Alexander, lors d'une audition devant le sénat. « Ce que nous recherchons, ce sont les personnes qui font l'objet d'une enquête pour terrorisme ou autre chose de cette nature ». Le général Alexander a reconnu que son agence - au coeur d'une vaste polémique sur la légalité des programmes d'espionnage révélés par Edward Snowden-- se servait des médias sociaux pour « enrichir » ses connaissances sur un suspect. Le New York Times révélait d’ailleurs récemment que la NSA utilisait les réseaux sociaux mais aussi des dizaines de sources d’informations personnelles pour dresser le portrait « social » des personnes surveillées.

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