On se souvient que la loi Carayon du 23 janvier 2012- adoptée seulement par l’assemblée a subordonné la protection juridique du secret des affaires à la mise en place de mesures effectives de protection, qui ne sont d’ailleurs pas définies. C’est un peu comme si l’on subordonnait la répression des cambriolages à l’exigence de barreaux aux fenêtres et à une porte blindée.