Les pirates informatiques, désormais courtisés par les entreprises françaises, peuvent accéder à des niveaux de rémunération pouvant atteindre 400 000 euros par an.
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« La société corrige les éventuelles failles jusqu’au prochain audit, au bout de six mois ou un an. Sauf qu’entre-temps, il y a probablement déjà eu une nouvelle version du site ou de l’application », poursuit le blogueur spécialisé dans l’informatique. Avec le bug bounty, l’entreprise ne compte plus sur un ou deux chercheurs en sécurité seulement, mais sur une armée de plusieurs centaines, voire de milliers, de hackeurs qui étudient le périmètre 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. « Ça peut alors aller très vite : certaines vulnérabilités remontent dès les premières minutes après la mise en ligne du programme. Les failles plus critiques peuvent demander plusieurs jours, voire plusieurs semaines de travail », expose Korben.