Les objets connectés envahissent les entreprises, au nom du bien-être et de la productivité. Surveillés par leurs patrons, les salariés peuvent-ils vraiment refuser de porter ces mouchards ?
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Daniel Morgenstern's curator insight,
July 31, 2014 8:46 AM
La branche sécurité de HP a étudié dix appareils, dont un téléviseur, une webcam, un thermostat intelligent, une balance, une alarme domestique et une serrure électronique. Elle assure avoir déniché plusieurs centaines de failles susceptibles d’entraîner l’accès à des données personnelles par des tiers non autorisés.
May 23, 2014 1:18 PM
's comment
Encore faudrait-il que l'utilité en vaille la peine, que les sociétés ne déposent pas la clé sous la porte, et que des procédures sécurisées soient bien définies. ce qui est vraiment très loin d'être le cas, car les objets connectés sont souvent traitées en gadget ou invention marketing.
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Analyse des emails, des connexions et des historiques de navigation ; contrôle des déplacements ; géolocalisation ; surveillance des signes vitaux… Les nouvelles technologies, des logiciels munis d’algorithmes aux balises GPS, en passant par les bracelets connectés de “quantified self” (mesure de soi), permettent aujourd’hui aux employeurs de pister leurs salariés et de contrôler leur activité. Mais est-ce vraiment utile, permis et souhaitable ? Les travailleurs peuvent-ils aussi refuser une telle collecte de données, notamment de santé ?