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Les objets connectés envahissent les entreprises, au nom du bien-être et de la productivité. Surveillés par leurs patrons, les salariés peuvent-ils vraiment refuser de porter ces mouchards ?
La capacité de l’internet des objets (IoT) à rassembler et tirer profit des données à une large échelle à su séduire les entreprises. Néanmoins, ces dernières sont face à un obstacle majeur dans l’adoption massive de cette technologie : les outils actuels aidant les entreprises à déployer et à sécuriser les objets connectés ne sont tout simplement pas adaptés. Sécuriser les objets connectés dans l’industrie représente un réel défi, mais certains outils récents – ou même en cours de développement – sont aptes à surmonter ces obstacles.
50% des solutions de l’Internet des objets développées d’ici 2017 auront été créées par des jeunes pousses de moins de trois ans, d’après le cabinet Gartner.
Le Smart et les objets connectés envahissent notre quotidien : santé, domicile, énergie, voiture… Tous les domaines sont désormais concernés ! Mais la connectivité de ces objets les expose à des risques de sécurité et de respect de la vie privée importants qui doivent être traités dès à présent, si l’on veut éviter les impacts dans notre vie future. Peut-on vraiment développer des objets connectés qui s’inscrivent dans un cercle de confiance, à la fois ergonomiques et sûrs pour l’utilisateur ? Gérôme Billois, Solucom, ouvre le débat lors des Assises de la Sécurité à l’occasion d’une table ronde dédiée.
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En matière d'Internet des Objets, on se satisfait souvent du fait que le système fonctionne, pourtant, la connexion physique et la sécurité inhérente sont des aspects non négligeables. Selon Benoit Mangin, d'Aerohive, le Wi-Fi est et restera le mécanisme de connexion prépondérant pour l’Internet des Objets, car l'infrastructure permettant de l'exploiter de façon sécurisée existe déjà.
Selon une étude réalisée par HP, 10 objets connectés populaires comporteraient chacun plusieurs dizaines de failles de sécurité.
Absence de chiffrement, interfaces d’administration vulnérables, défauts dans la gestion des mots de passe : HP déplore le manque d’implication des fabricants d’objets connectés dans la préservation des données personnelles.
Les objets qui nous entourent sont de plus en plus connectés et les entreprises collectent par ce biais de plus en plus de données quantifiées sur les utilisateurs.
Les villes “intelligentes” reposant sur un recours massif au numérique, la sécurité des données en est donc un enjeu central. Bon sens et anticipation sont deux mots-clés pour assurer une sécurité optimale et maitriser le budget.
Les objets connectés ne sont pas toujours assez puissants pour se défendre mais une entreprise peut sécuriser le réseau sur lequel ils communiquent, conseille Oded Gonda, vice-président chez l’éditeur de solution de cybersecurité Check point.
La start-up veut créer un réseau paneuropéen. Et devenir un champion technologique français.
Même un hacker débutant pourrait déverrouiller les portières de la Tesla Model S ! C'est ce qu'a révélé un chercheur en sécurité, qui a fait part de cette découverte au cours d'une grand-messe du piratage, la conférence Blackhat Asia 2014.
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Les organisations sont prêtes à aller de l'avant avec l'adoption accrue des dispositifs de Internet des objets en 2017, en dépit des préoccupations répandues sur la sécurité des produits et leur capacité à protéger les données supplémentaires qu'ils sont capables de collecter.
En 2003, il y avait 6.3 milliards d’habitants sur terre avec seulement 500 millions de terminaux connectés à internet (PC et quelques Personal digital assistant, PocketPC…) selon une étude publiée par Ericsson. En 2011, il y aurait approximativement 7 milliards d’habitants et 12,5 milliard de terminaux connectés incluant tous les PC et plus qu’un milliard de Smartphones (environ 2 terminaux par personne). En 2020, on s’attend à avoir 7,6 milliards d’habitants et 50 milliards d’objets connectés à internet (PC, Smartphones, GPS ou autre, etc.) dans tous les domaines (e-santé, domotique, automobile, etc.) et pour toutes les fonctions de l’entreprise (achat, vente, stock, production, etc.). Tout objet du monde réel ou produit (meuble, vêtement, véhicule, produit alimentaire, électroménager, etc.), pourrait être identifié par un code et connecté à d’autres, communiquer avec d’autres via internet. D’où l’appellation « internet des objets » (en anglais, internet of thingsà.
Lors des Rencontres Cap Digital, ce 14 octobre au Forum des images, le pôle de compétitivité parisien dédié à la transformation numérique a dévoilé la deuxième édition de son "cahier de tendances". Dans ce document prospectif d'une soixantaine de pages, le pôle livre des clés de lecture pour identifier de nouveaux marchés prometteurs et actionner les bons leviers. Découvrez cette étude en intégralité.
L’Internet des objets est en train de révolutionner le monde et notre quotidien. Cette nouvelle vague s’annonce déjà comme une évolution sans précédent : les objets deviendront « intelligents », capables de communiquer entre eux, d’échanger, de réagir et surtout de s’adapter à leur environnement. En un mot : tout pour nous simplifier la vie ! Toutefois, les risques qui pèsent sur ces systèmes sont nombreux et cette révolution ne se fera pas sans remous, tant que la sécurité et le respect de la vie privée continueront à être négligés. La Chaire de Cyberdéfense et Cybersécurité Saint-Cyr - Sogeti - Thales ouvre le débat à l’occasion d’un colloque sur le thème de la « sécurité de l’Internet des objets ».
En matière d’Internet des Objets, on se satisfait souvent du fait que le système fonctionne, pourtant, la connexion physique et la sécurité inhérente sont des aspects non négligeables. Le Wi-Fi est et restera le mécanisme de connexion prépondérant pour L’Internet des Objets, car l’infrastructure permettant de l’exploiter de façon sécurisée existe déjà. Les autres modes de connectivité, tels que le Bluetooth Low Energy, sont moins répandus, et donc plus difficiles à pirater. Chacun a son propre niveau de sécurité, mais nécessite la mise en place d’une infrastructure sous-jacente. Pour permettre le déploiement étendu de L’Internet des Objets grâce au Wi-Fi, il faut s’attaquer à d’importantes problématiques, parmi lesquelles la sécurité des réseaux.
L’internet des objets promet des choses merveilleuses dans tous les sens du terme et la faible prise en compte actuelle de la sécurité risque promet d’ores et déjà de sacrés feux d’artifice.
50 milliards d’objets intelligents qui communiquent et combien de données collectées puis échangées par seconde ? Cette incommensurable masse de données produite par les objets connectés et regroupée sous l’appellation générique « big data » engendre une modification de leur appréhension et de leur contrôle : la base de données est virtuelle et alimentée en temps réel par les données qui circulent et permettent aux objets d’interagir et de répondre à leur finalité. Si disposer d’une information massive et facilement accessible peut être une force, elle ouvre également la voie à une multiplication des contentieux liés à la propriété des données et des bases, à leurs conditions d’exploitation et à leur fiabilité.
"La nécessité de standards pour l’internet des objets est un sujet traité régulièrement par les médias spécialisés. En reprenant les exemples des sociétés CompuServe et AOL, deux articles récents affirment leurs nécessités. L’occasion de rappeler l’aventure des services en lignes et d’affirmer haut et fort que ‘Et bien non, l’internet des objets n’a pas besoin d’un standard unique’."
Le consortium s'engage dans une norme permettant aux objets domotiques de communiquer entre eux. Les premiers produits qui intègreront la spécification devraient être commercialisés à partir de l'année prochaine.
Via Guillaume Fouquet
Cette mode liée à l’explosion des objets connectés vient des États-Unis pour nous permettre de vivre mieux. Est-ce vraiment le cas ? N’implique-t-elle pas certains risques ?
Votre pacemaker désactivé à distance, votre compagnie d'assurance qui suit votre alimentation depuis votre frigo, votre voiture intelligente piratée par des hackers... Le futur que nous prépare l'Internet des objets pourrait bien être un enfer en matière de vie privée et de sécurité.
Des milliards de périphériques connectés à Internet en permanence représentent des centaines de protocoles ou standards concurrents, des milliers de failles. Le rêve des pirates, le cauchemar de ceux qui veulent sécuriser ? Pas forcément.
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Analyse des emails, des connexions et des historiques de navigation ; contrôle des déplacements ; géolocalisation ; surveillance des signes vitaux… Les nouvelles technologies, des logiciels munis d’algorithmes aux balises GPS, en passant par les bracelets connectés de “quantified self” (mesure de soi), permettent aujourd’hui aux employeurs de pister leurs salariés et de contrôler leur activité. Mais est-ce vraiment utile, permis et souhaitable ? Les travailleurs peuvent-ils aussi refuser une telle collecte de données, notamment de santé ?