Un chercheur en sécurité portugais a découvert une méthode d’attaque baptisée « Cupidon » basée sur la faille Heartbleed. Le vecteur ici n’est pas le web, mais le réseau WiFi et les terminaux Android.
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Cette nouvelle méthode d’attaque montre les besoins en sécurité des projets Open Source. Les grands acteurs de l’IT (Microsoft, Facebook, Google et plus récemment Salesforce ou Adobe) se sont mobilisés pour apporter leur aide technique et financière dans la sécurisation et les tests des projets Open Source critiques. La Core Initiative Infrastructure, présidée par la Fondation Linux, vient de dresser la liste des projets prioritaires. Sans surprise, OpenSSL arrive en tête après l’affaire Heartbleed. On constate également que l’accent va porter sur OpenSSH et le Network Time Protocol (NTP). Ce dernier inquiète particulièrement les spécialistes en sécurité par son usage dans les récentes attaques DDoS par amplification.