Sensibilisés par les cyberattaques WannaCry et NotPetya en 2017, gouvernements et grandes entreprises ont réagi en créant des instances et des plans de cyberdéfense. Mais les PME restent à la traîne.
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La situation est très différente dans les TPE, les PME et les ETI. La plupart d’entre elles ne prennent conscience des risques que lorsqu’elles subissent une attaque. C’est le cas de Herige, groupe de 2 500 personnes actif dans le négoce, le béton et la menuiserie industrielle. « En 2015, nous avons subi plusieurs attaques de rançongiciels qui ont causé des dégâts heureusement limités. A chaque fois, nous avons pu réinstaller la sauvegarde de la veille et nous n’avons pas perdu de données essentielles », raconte Jean-Michel Soulard, responsable de l’infrastructure informatique du groupe. Ces attaques ont sensibilisé la direction qui a alloué un budget à la mise en œuvre d’une solution de sécurisation des serveurs et des postes de travail.