Face à l'ampleur que prend la cybercriminalité aujourd'hui, nous devons la penser autrement : Il faut travailler de manière globale en impliquant davantage l'aspect humain dans les procédures de protection des informations.
Il faut prendre conscience que la politique de sécurité des systèmes d’information doit être adaptée à chaque structure, à chaque métier. Cet aspect est bien trop souvent mis de côté pour parvenir à un équilibre correct entre productivité et sécurité. Sous-estimer mais également surestimer des risques peut avoir de graves conséquences, notamment en termes de coût et de développement.
Si nous devions résumer ce que devrait être la cybersécurité de demain, pour ma part cela passerait donc par une vision, une appréhension et une problématique globale : Technique, Managériale, Juridique et Comportementale. C’est seulement de cette manière qu’on arrivera à améliorer la sécurité de notre patrimoine informationnel et celui des systèmes d’information des entreprises françaises ; dans lequel l’humain, la psychologie et la criminologie doivent être impliqué.