Selon une étude internationale de KPMG, 56 % des fraudes économiques sont des détournements d’actifs. La première motivation du fraudeur est l'appât du gain et l'avidité.
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Comme pour les autres fraudes, le cybercriminel est généralement un collaborateur de l’entreprise : il est majoritairement employé par les organisations visées, surtout dans l’informatique, mais aussi dans les finances ou les fonctions opérationnelles. 67 % des fraudeurs opérant dans la cybercriminalité ont agi en collusion avec des tiers, qui eux aussi étaient généralement employés dans l’entreprise touchée. Seuls certains « hackers » tendent à se détacher par des motivations idéologiques ou politiques. Toutefois, ils semblent poursuivre, aujourd’hui, des objectifs de plus en plus souvent financiers. « Si le profil type du fraudeur ne devrait pas évoluer prochainement, les fraudes deviendront de plus en plus onéreuses et complexes pour les entreprises du fait de l’utilisation des nouvelles technologies » juge Jean-Marc Lefort Associé KPMG Forensic, département en charge des investigations de fraudes.