Depuis quelques années, les attaques par déni de service distribué (Distributed Denial of Service) se sont démocratisées ; leur facilité d’accès et d’usage, leur efficacité prouvée et leur grande variété les propulsent aujourd’hui en tête des tactiques de diversion et des moyens d’atteinte à l’image. Une aubaine pour les cyber-attaquants qui font progresser à la fois la durée et la force des attaques.
Face à ce constat, les entreprises se sont rapidement interrogées sur les moyens de protection possibles. Le marché s’est adapté. Aujourd’hui, deux stratégies se dessinent, entre solutions historiques manuelles et solutions novatrices hybrides (Cloud et/ou on-premise).
Une question se pose toutefois : la mise en œuvre d’une telle solution de protection, certes adaptée aux besoins, suffit-elle pour s’assurer d’une efficacité solide en cas d’attaque avérée ? La réponse est non !
Imaginez, vous avez subi pendant plusieurs jours les effets d’une attaque DDoS, avec des conséquences inacceptables pour le maintien de vos activités. Vous décidez de mettre en place une solution de protection ad hoc. Le projet démarre, vous choisissez une solution, elle est installée et fonctionne. Vous voilà enfin équipé d’une solution d’une efficacité prometteuse. Avec un simple ordre de bascule à donner à votre équipe de production ou à un fournisseur, la solution sera mise en route. Vous êtes confiant.