Les entreprises de taille intermédiaire (ETI) n'ont pas encore pris la pleine mesure des conséquences financières potentielles de cyberattaques, selon une étude présentée mercredi par la société de conseil en assurances Bessé et le cabinet PricewaterhouseCoopers.
"La tendance à l’immobilisme des dirigeants est liée au fait que ce risque est particulièrement diffus pour eux finalement, ils ne le maîtrisent pas totalement", explique Jean-Philippe Pagès, directeur du pôle industrie & services de Bessé.