Promulguée en décembre dernier la LPM, loi n° 2013-1168 du 18 décembre 2013 « relative à la programmation militaire pour les années 2014 à 2019 et portant diverses dispositions concernant la défense et la sécurité nationale » (plus communément appelée « Loi de Programmation Militaire ») a fait couler beaucoup d’encre. L’article 20, portant sur les « interceptions de sécurité et accès administratif aux données de connexion », en a été la cause principale et a fait l’objet de nombreux commentaires.