Autoriser le BYOD pour des raisons financières serait une erreur. Selon le Gartner, il s’agit en fait d’une décision stratégique qui doit, pour Capgemini consulting, améliorer la satisfaction et la productivité.
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IDC confirme le fait que le BYOD n’est pas générateur d’économies et considère, à l’occasion de la publication de ses prévisions pour 2014 pour la zone Asie-Pacifique (voir encadré ci-dessous) que le BYOD est mort et va céder la place à un modèle intermédiaire et moins ambitieuse qu’il baptise de CYOD (Choose your own device). Dans cette approche, les utilisateurs sélectionnent des matériels dont ils souhaitent disposer dans une liste définie par l’entreprise. Cette approche est affinée par la définition de profils utilisateurs qui donnent accès à des matériels adaptés. C’est là une sorte de compromis entre les souhaits des salariés et les contraintes des entreprises. Ce qui donne à ces dernières la possibilité de garder un certain niveau de contrôle et de sécurisation des applications. Charles Anderson, responsable réseaux-Télécom pour la zone Asie-Pacifique cite le cas de SAP qui aurait mis en œuvre une politique de CYOD avec succès en publiant une liste de 10 matériels (smartphones, tablettes, phablettes) et de 3 systèmes d’exploitation dans laquelle les salariés peuvent exercer leur choix.