Europol lance un avertissement sur l’intérêt de plus en plus marqués par la criminalité organisée par l’Internet caché et celui des objets. Le droit européen doit s’adapter aux évolutions des menaces.
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Le Centre européen sur le cybercrime (EC3) d’Europol a dressé un bilan de la cybercriminalité dans son rapport iOCTA (Internet Organised Crime Threat Assessment) 2014. Plusieurs enseignements sont à tirer de cette enquête.
Le premier est que la cybercriminalité se démocratise au point que cette activité devient un service. De plus en plus de pirates proposent des méthodes pour contourner, éprouver ou s’introduire sur des sites. Ce modèle de « Crime as a service » casse les barrières à l’entrée de ce marché le rendant plus accessible à des groupes manquant traditionnellement de compétences techniques.