Cybersécurité - Innovations digitales et numériques
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Vous trouverez dans ce thème des actualités, en France et dans le monde, sur les innovations digitales et numériques, en passant par la cybersécurité ou confiance numérique, l'informatique en nuage, les mégadonnées ainsi que le management des services et de projet
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Scooped by Stéphane NEREAU
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Baromètre de la transformation numérique des entreprises

Si les entreprises accélèrent leur mue numérique, elles ont aussi conscience, selon notre baromètre réalisé en partenariat avec GT Nexus et Capgemini, que les principaux défis à relever sont d’ordre managérial.

Article d'origine : ici

Stéphane NEREAU's insight:

Les entreprises, dont les PME, ont pris conscience que cette transformation ne se limite pas à des questions de technologie. 19,1% des entreprises de moins de 100 salariés ont désigné ou recruté une personne chargée d’accompagner leur transformation numérique. En moyenne, elles sont une sur trois à l’avoir fait.

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Les cinq priorités des CIO suisses pour 2014

Les cinq priorités des CIO suisses pour 2014 | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it
Capgemini dévoile cette année encore les cinq tops et les cinq flops dans les tendances IT pour l'année 2014.

La désormais traditionnelle étude sur les tendances IT de Capgemini est parue. Elle révèle les cinq tops et flops de l'année 2014 dans le domaine IT. Pour cette étude, Capgemini a interrogé 141 décideurs (96 en Allemagne, 27 en Autriche et 18 en Suisse) sur le thème de l’IT. Les participants à l’étude gèrent des chiffres d’affaire annuels compris entre 250 millions d’euros et plus de 20 milliards. Ils sont actifs dans les hautes sphères de leur entreprise et sont partie prenante dans les activités IT stratégiques.

Stéphane NEREAU's insight:

Priorité n°1: Assurer la continuité de l'activité

Cette année, assurer la continuité de l'activité de l'entreprise arrive en tête des préoccupations des décideurs IT. En effet, la disponibilité permanente de l'information est une question de survie dans de nombreuses activités. C'est un risque que beaucoup d'entreprises ne peuvent plus se permettre de courir. Ainsi, afin de minimiser les risques de défaillances du système et de pertes des données, 70% des entreprises interrogées ont déjà mis en place des processus de continuité de l'activité et 17,5% travaillent à leur mise en place. 


Priorité n°2: La virtualisation

La virtualisation, qui arrivait en tête des tendances IT depuis 2010, se place désormais en deuxième position. Son importance s’est encore accrue cette année parce qu’elle est la condition d’une informatique durable. 


Priorité n°3: l’intégration de logiciels standard et personnalisés

En troisième position se trouve la question de l’intégration de logiciels standard et personnalisés. Les entreprises travaillent constamment à ce sujet par exemple en cas de fusions et acquisitions. 


Priotité n°4: Se protéger contre les logiciels malveillants

Si la question de la protection contre les logiciels malveillants était secondaire depuis 2006, elle revient aujourd’hui sur le devant de la scène. Actuellement Capgemini estime que 200 000 nouveaux malwares sont identifiés chaque jour. Cela pose des problèmes toujours plus complexes aux entreprises qui doivent constamment adapter leurs mesures de sécurité. 


Priorité n°5: La conformité à la sécurité

Enfin, la cinquième préoccupation majeures des décideurs IT réside dans la conformité à la sécurité. Cette préoccupation est clairement liée aux affaires des écoutes de la NSA. A l’avenir 80% des entreprises devraient avoir mis en place un programme de compliance sur la sécurité mais il reste encore beaucoup à faire: aujourd’hui 49% des sondés ont déjà un programme de compliance sur la sécurité disponible, 22% travaillent à sa mise en œuvre et 12 % sont dans une phase de planification. Il faut dire que ce sont des programmes qui mettent beaucoup de temps à être mis en place.


IT-Trends-Studie 2014 (English - 1,92 Mo - pdf)

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Paul Hermelin (Capgemini) : « L’Etat peut être prescripteur dans le big data »

Paul Hermelin (Capgemini) : « L’Etat peut être prescripteur dans le big data » | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it
PDG de Capgemini, Paul Hermelin s’est vu confier par Arnaud Montebourg la direction du plan d’action sur le big data en compagnie de François Bourdoncle (Exalead).
Stéphane NEREAU's insight:

Sur BFM Business, il estime que l’Etat peut jouer, en matière de big data, un rôle de donneur d’ordre, de prescripteur dans le domaine de la santé ou des villes intelligentes.

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Pour un DSI sur deux, il faut réduire le nombre d’applications

Pour un DSI sur deux, il faut réduire le nombre d’applications | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it

Selon une étude de Capgemini, les directions informatiques maintiennent trop d’applications par rapport au besoin réel des métiers. Reste à trouver comment s’attaquer au (difficile) chantier de la rationalisation du parc logiciel.

Stéphane NEREAU's insight:

Les conclusions de Capgemini rejoignent celles d’une autre étude, signée de l’éditeur Micro Focus, spécialiste de la modernisation applicative. Réalisée auprès de 590 décideurs IT d’organisations de plus de 500 personnes utilisant un mainframe (dont 100 en France), cette enquête montre le vieillissement des logiciels sur ce qui reste la plate-forme de prédilection des applications legacy. Selon Micro Focus, moderniser le porte-feuille applicatif sur mainframe coûterait en moyenne 11 millions de dollars à chaque entreprise, contre 8,5 millions pour une étude similaire réalisée un an plus tôt. Pour l’éditeur, dans ces organisations, c’est le mainframe qui concentre l’essentiel des applicatifs démodés.

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Pourquoi se lancer dans le BYOD ?

Pourquoi se lancer dans le BYOD ? | Cybersécurité - Innovations digitales et numériques | Scoop.it
Autoriser le BYOD pour des raisons financières serait une erreur. Selon le Gartner, il s’agit en fait d’une décision stratégique qui doit, pour Capgemini consulting, améliorer la satisfaction et la productivité.
Stéphane NEREAU's insight:

IDC confirme le fait que le BYOD n’est pas générateur d’économies et considère, à l’occasion de la publication de ses prévisions pour 2014 pour la zone Asie-Pacifique (voir encadré ci-dessous) que le BYOD est mort et va céder la place à un modèle intermédiaire et moins ambitieuse qu’il baptise de CYOD (Choose your own device). Dans cette approche, les utilisateurs sélectionnent des matériels dont ils souhaitent disposer dans une liste définie par l’entreprise. Cette approche est affinée par la définition de profils utilisateurs qui donnent accès à des matériels adaptés. C’est  là une sorte de compromis entre les souhaits des salariés et les contraintes des entreprises. Ce qui donne à ces dernières la possibilité de garder un certain niveau de contrôle et de sécurisation des applications. Charles Anderson, responsable réseaux-Télécom pour la zone Asie-Pacifique cite le cas de SAP qui aurait mis en œuvre une politique de CYOD avec succès en publiant une liste de 10 matériels (smartphones, tablettes, phablettes) et de 3 systèmes d’exploitation dans laquelle les salariés peuvent exercer leur choix.

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