Imaginons : en 2050, l’ensemble de la population européenne ne se nourrira plus que de produits locaux, cultivés sans pesticide ni engrais de synthèse. Les fermes-usines auront disparu, remplacées par des exploitations à taille humaine combinant culture et élevage. Des parcelles de luzerne, trèfle, lentille et pois chiche émailleront le paysage. Ce scénario peut paraître utopique. Il est pourtant tout à fait réaliste, selon une étude réalisée par une équipe internationale de chercheurs et publiée le 18 juin dans la revue One Earth.
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