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En tant que gestionnaire ou patron, construire et maintenir un milieu de travail en santé devrait être au sommet de votre liste de priorités. Le terme « sécurité psychologique » a été inventé par Amy Edmondson, professeure à la Harvard Business School, qui l’a défini comme « la conviction que l’on ne sera pas puni ou humilié pour avoir exprimé des idées, des questions, des préoccupations ou des erreurs 
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Ne laissez plus la pression vous gâcher la vie ! Découvrez dans les bonus vidéo le clip musical réalisé autour de ce guide.
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RT @cairninfo: La méthode clinique en #ergonomie et en #psychologie du travail / https://t.co/bBaF8wBSZn https://t.co/7gusaK9Dmh
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Yves Clot, titulaire de la chaire de psychologie du travail au CNAM, s’en prend à la tendance qui consiste à répondre à la souffrance au travail par des formes de réparation :
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Dispositifs d'aide proposant écoute, conseil, soutien et orientation par téléphone ou par internet. Cette liste, non exhaustive, recense les dispositifs nationaux d’aide à distance qui poursuivent leur mission pendant l'épidémie (les appels téléphoniques ne sont pas surtaxés). La disponibilité des services a été vérifiée sur leurs sites internet respectifs. Les lignes sont classées par ordre alphabétique. (Mis à jour mercredi 15 avril)Sources : Psycom/Santé publique France/IREPS Auvergne-Rhône-Alpes
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Extrait de la "Rencontre avec Yves Clot" du 13 juin 2018 pour une présentation de son ouvrage "Travail et pouvoir d'agir " paru aux éditions PUF. https://you...
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L’article part du constat que la contrainte à mal travailler et la « qualité empêchée » constituent les sources principales de fatigue et de souffrance dans les organisations aujourd’hui. Or, plutôt que de chercher à « soigner le travailleur », comme le veut la tradition hygiéniste, c’est bien le travail qu’il faut soigner en en faisant un vecteur d’amélioration de la qualité de vie. En effet, nombre de situations démontrent que les dégradations de la qualité du travail ont un impact direct sur le bien vivre hors travail. Afin de restaurer un « travail soigné », plusieurs conditions sont nécessaires : encourager les compromis et les ajustements opératoires, y compris aux niveaux les plus stratégiques ; promouvoir un professionnalisme « délibéré » et réorienter la conflictualité inhérente à la relation salariale vers de nouveaux objets tels que la qualité du travail. Pour y parvenir, encore faut-il rompre avec une conception financiarisée de l’entreprise.
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