Influencer les pouvoirs institutionnels comme le grand public, démonter les idées reçues… Les outils du lobbying sont aussi utiles aux petites entreprises qu’aux groupes internationaux.
Via Stéphane NEREAU
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Stéphane NEREAU's curator insight,
May 7, 2018 12:25 PM
Avec la loi Sapin 2, la France s’est dotée pour la première fois d’un registre du lobbying unique et cohérent, couvrant aussi bien les parlementaires que le pouvoir exécutif. Entreprises, associations professionnelles, cabinets de consultants, associations et autres « porteurs d’intérêts » avaient jusqu’au 30 avril dernier pour déclarer leurs dépenses et leurs activités de lobbying au second semestre 2017. Ces éléments sont disponibles en ligne (et en open data) sur le site de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. Il est donc l’heure de tirer un tout premier bilan : en parcourant rapidement les entrées de ce registre, que peut-on apprendre ? |
Les PME disposent aujourd’hui d’un outil qui n’existait pas il y a vingt ans : les réseaux sociaux, arme d’influence massive de l’opinion. En 2004, Thierry Logre, dirigeant des laboratoires Phyt’s, cherchait à faire reconnaître des normes en matière de cosmétique bio. Il a réuni neuf autres laboratoires, un organisme certificateur, et créé une association, Cosmébio, avec un objectif : faire accepter un cahier des charges par le ministère de l’Industrie.