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Manuel Valls part explorer les recettes de la compétitivité allemande

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Le premier ministre est l'invité d'honneur, ce jeudi, du 14e sommet de Munich consacré à l'innovation.

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France. Comment la loi Macron peut doper la compétitivité de nos entreprises

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FIGAROVOX/TRIBUNE - A l'occasion de la présentation de la loi Macron en conseil des ministres, l'AFJE et le cercle Montesquieu défendent la création du statut d'avocat en entreprise, qu'ils voient comme un atout pour la compétitivité de notre économie.

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Gaz de schiste, un non-sens économique

"Depuis cet été, des experts mettent sérieusement en doute le bien-fondé économique de la fracturation hydraulique. «La production des puits décline si rapidement aux Etats-Unis qu’ils ne seront jamais rentables», dit l’expert Tim Morgan dans un article intitulé «Gaz de schiste, la bulle internet de notre temps», paru le 4 août dans leTelegraph. Responsable global de la recherche chez le courtier en énergie Tullett Prebon jusqu’en 2013, il estime que la fracturation, oufracking, est une absurdité économique.

«Quand les investisseurs le réaliseront, conclut-il, cette industrie s’effondrera.» Malgré la frénésie spéculative qui l’entoure, ce secteur n’a jamais été rentable en sept ans d’activité. Comme la bulle «dotcom», la «story» du gaz de schiste américaine a été montée en épingle par les banques, sous de beaux slogans comme «Saudi America», qui à présent séduisent moins d’investisseurs."


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France. La logistique, instrument oublié de notre compétitivité

France. La logistique, instrument oublié de notre compétitivité | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it

"Il est un élément indispensable au développement des entreprises, dont l’existence dans notre paysage est si évidente que nous pourrions presque en oublier combien il est nécessaire au bon fonctionnement de notre pays : la logistique.

La mondialisation des échanges accroît les flux de l’économie française, notamment au travers des exportations. La chaîne de logistique constituée des réseaux routiers, ferroviaires ou maritimes est au cœur de ce développement. Dans le secteur agricole, dont la caractéristique est la répartition diffuse des zones de production sur les deux tiers du territoire, la maîtrise de cette chaîne logistique est fondamentale.

Une tonne de céréales sur deux produites en France est exportée : le train est donc souvent privilégié, car il permet d’acheminer rapidement sur de longues distances de gros volumes avec un impact environnemental moindre – un train transporte l’équivalent de 50 camions de grains. A l’échelle d’un territoire, cette différence prend tout son sens : en région Centre, par exemple, il faudrait 360.000 camions pour acheminer la production céréalière annuelle, alors que « seulement » 7.200 trains sont nécessaires…

La France avait bien compris l’intérêt de la logistique en construisant très tôt un réseau développé, puisqu’il représentait 25.000 kilomètres de voies dès 1875, comparés aux 29.000 kilomètres d’aujourd’hui. Et si l’on peut toujours mieux faire, reconnaissons un instant les efforts de l’Etat pour encourager la construction de ce réseau capillaire développé au plus près des territoires.

Pour autant, on peut se demander si aujourd’hui l’Etat n’a pas oublié les raisons pour lesquelles il s’était autant investi dans le développement de ces réseaux. Dans les années 1980, la réalisation des investissements coûteux dans le TGV pour les voyageurs a fait l’objet d’un engouement constant. L’entretien des réseaux donne lieu, lui, à beaucoup moins de considération ; et la crise économique n’encourage pas les politiques à faire le choix de ces investissements, invisibles pour le grand public.

Pourtant, ces réseaux sont le support du développement des entreprises. Les négliger, c’est porter un coup à leur compétitivité. D’autant que, dans le même temps, des décisions politiques sont prises pour limiter le déplacement des marchandises par le réseau routier dans un souci de protection de l’environnement. Ainsi, la France se désindustrialise et paye aujourd’hui le prix fort de ce manque d’investissement. Or la production céréalière, non délocalisable, rapporte à elle seule de 7 à 8 milliards d’euros par an dans la balance commerciale, soit l’équivalent de la vente de deux Airbus par semaine…

Face à la vétusté des équipements et au besoin croissant d’investissements, des priorités sont faites. C’est normal. Mais les décisions sont trop souvent prises au détriment du transport de marchandises. Des lignes ferroviaires dédiées au fret sont menacées de fermeture, et avec elles c’est la rentabilité économique des entreprises utilisatrices qui est menacée. Ces menaces interviennent souvent subitement, alors même que la réflexion engagée autour du fret se réalise à long terme.

Les entreprises françaises se sont construites autour de ces réseaux ferroviaires et routiers. Elles continuent de le faire en investissant dans des équipements adaptés à ces infrastructures, comme l’embranchement des silos sur les lignes ferroviaires. Si ces investissements doivent être portés par les entreprises, l’entretien des réseaux logistiques qui garantit le déplacement des individus et des marchandises est lui d’intérêt général et de responsabilité étatique.

Pourquoi la place de la logistique n’est-elle toujours pas abordée à la hauteur de sa contribution à l’économie française ? Ces investissements ont un sens : ils sont l’instrument de la compétitivité. Or les pouvoirs publics ont fait de la compétitivité des entreprises françaises un axe majeur du retour à la croissance et à l’emploi. Ils devraient assumer ce choix et concentrer les ressources sur ces priorités affirmées sans mettre en place pour autant une fiscalité supplémentaire. Investir dans l’infrastructure ferroviaire, c’est contribuer à la reprise économique, et ce dans un cadre environnemental amélioré


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0203702500496-la-logistique-instrument-oublie-de-notre-competitivite-1034085.php?fdBwGM59imkS68MF.99


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France. Le secret de la croissance reste bien gardé

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Le retour de la confiance ligoté de toutes parts Pour réussir François Hollande sait qu’il faut créer tout un écosystème …

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La prospérité de la Suisse déteint sur les régions voisines

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L'OCDE a publié un nouvel outil comparatif du bien-être entre les régions. Si la Suisse confirme son excellence, il en ressort que les régions voisines en France, en Allemagne et en Italie s'en sortent mieux que le reste de leur pays.

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Encore un coup de mou pour la compétitivité belge

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La Belgique perd deux places dans le nouveau classement mondial de compétitivité de l’IMD. Elle est désormais 28e sur 60. Tous nos voisins font mieux! Pourquoi?

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Une nouvelle étude pointe la perte de compétitivité de la France

Une nouvelle étude pointe la perte de compétitivité de la France | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it

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La compétitivité industrielle de la France s'est nettement dégradée depuis dix ans. C'est la conclusion d'une étude du cabinet Boston Consulting Group, dont 'Les Echos' publient ce matin une synthèse.

La France 23ème sur 25 !

Parmi les 25 plus grands pays exportateurs mondiaux, l'Hexagone se classe au 23ème rang, affichant une compétitivité inférieure de 24 points par rapport aux Etats-Unis, et de 3 point sur l'Allemagne qui, au passage, n'est pas si bien placée qu'on pourrait le croire dans ce classement. L'indice du coût de fabrication, qui intègre notamment les coûts du travail et de l'énergie, atteint ainsi 100 aux Etats-Unis, 124 en France et 121 en Allemagne... Il est de 83 en Indonésie, de 96 en Chine (qui perd du terrain en raison des hausses de salaires accordées ces dernières années), et de 109 en Espagne et au Royaume-Uni. Seuls deux pays, la Suisse (125) et l'Australie (130) affichent des indices du coût de fabrication plus élevés que la France, qui a fortement rétrogradé puisqu'en 2004, année où son indice s'établissait encore à 115. Il y a 10 ans, la France était même plus compétitive que l'Allemagne, mais depuis, elle a aussi perdu beaucoup de terrain face au Royaume-Uni (écart passé de 7 à 16 points) et l'Espagne (écart passé de 10 à 16 points).

Crise de défiance

Le recul de la France est lié à plusieurs facteurs : hausses salariales trop importantes, gains de productivité insuffisants et hausse des coûts de l'énergie. En outre, l'industrie française fabrique surtout des produits de gamme standard, qui ne peuvent pas être vendus plus cher, et n'a pas investi suffisamment dans son appareil de production ces dernières années.

Le BCG estime qu'en l'espace de dix ans, la productivité des salariés français de l'industrie a progressé de 5%, alors qu'elle a fait  un bond de 20% au Royaume-Uni, de 23% en Espagne et de 14% en Allemagne. Olivier Scalabre, directeur associé au Boston Consulting Group, cité par 'Les Echos', estime que la France fait face à “une crise de défiance des industriels, qui investissent dans d'autres pays mais plus forcément en France”.


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Qu'est-ce que la compétitivité ? Comparaison France / Allemagne | Le Cercle Les Echos

"Paradoxal discours sur la compétitivité

On nous dit que la compétitivité de l’entreprise vient de l’État. C’est à lui d’abaisser les charges des entreprises. Mais la compétitivité est un terme sportif ! Ce n’est pas être passif ! C’est se battre !

J’ai décidé d’enquêter. Qu’est-ce, réellement, que la compétitivité ? Comment rendre l’entreprise française compétitive, si la compétitivité est réellement son problème ?

Ce premier article (sur deux) fait une comparaison France/Allemagne. Car, lorsque l’on parle de compétitivité, "Allemagne" est le mot qui vient juste après. Qu’avons-nous à apprendre de l’Allemagne ? me suis-je demandé.

Beaucoup de travaux traitent du sujet. Ils sont cohérents, mais froids. J’ai cherché à leur donner un peu de vécu. Pour cela j’ai interviewé des personnes, généralement des dirigeants, qui connaissent bien les deux cultures. Leur point de vue apporte une dimension surprenante à la question…

 

Le Français est irrationnel

C’est déprimant ! Voici le sentiment que je partage avec mes interviewés. L’entreprise française est montée en dépit du bon sens. Surtout, avez-vous déjà écouté un Allemand ? Pour lui, tout ce qui n’est pas allemand est de mauvaise qualité. Et M. Montebourg ? Alors qu’il veut créer de l’emploi en France et qu’il est prêt à arroser d’argent du contribuable celui qui s’installera chez nous, son discours bravache terrorise l’homme d’affaires. Les étrangers n’ont que son nom à la bouche ! Il n’est pas seul. La France se fait une contre-publicité tonitruante. Le coq gaulois ne braille jamais avec autant d’arrogance que lorsqu’il a les pieds dans la crotte. Combien cela nous coûte-t-il ? Pourquoi sommes-nous aussi bêtes ?

 

Les racines culturelles de l'avantage allemand

Les logiques allemandes et françaises sont opposées. La logique allemande part du client ; la logique française de l’entreprise, ou de son dirigeant. La logique allemande est rationnelle. Elle a un objectif, à très long terme : acquérir le monopole d’un marché mondial (une niche pour les PME). Il est ensuite décliné impeccablement, systématiquement, de manière procédurale. Le dispositif intègre de larges marges de sécurité. Le modèle français est opportuniste. L’entreprise grossit au hasard des clients, sans réel plan. Jusqu’à ce qu’elle atteigne les limites du dirigeant. Le dispositif navigue au bord de la crise.

 

Explication culturelle

L’organisation française est une question d’hommes, l’allemande de "systèmes" : "La France va culpabiliser et pressurer ses collaborateurs le plus souvent généralistes en leur interdisant le droit à l’erreur, d’où un manque d’initiative et la naissance de stars. Temps de prise de décisions plus long, fait en coulisse. Règles du jeu floues. Les collaborateurs sont remplaçables (logique de mise en concurrence). L’Allemagne autorise l’erreur, car elle émane du système et non de l’individu et le cas échéant elle formera ses collaborateurs. Prise de décisions collectives, rationnelles ou le long terme est au centre. Règles du jeu claires pour l’entreprise et les collaborateurs. Les collaborateurs formés ont de la valeur (logique de confiance et long terme)".

Un autre interviewé : "Cette rigueur se voit sur le poste de travail et sur les méthodes de management où l’on n’hésite pas à montrer du doigt (dans le sens "humilier") les dysfonctionnements. Cela a un impact sur la qualité, la propreté du poste de travail...""


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L'industrie européenne gagne en compétitivité grâce aux énergies renouvelables

L'industrie européenne gagne en compétitivité grâce aux énergies renouvelables | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it
EXCLUSIF / L'industrie européenne a conservé sa position sur le marché
mondial grâce à des niveaux d'intensité énergétique relativement bas et
à la haute pénétration des énergies renouvelables, révèle un document
de la Commission consulté par /EurActiv/.

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La compétitivité comme écosystème chez Hyundai en République Tchèque

La compétitivité comme écosystème chez Hyundai en République Tchèque | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it
Le calme et le silence qui règnent dans l'usine Hyundai de Nosovice, comme dans la brumeuse campagne tchèque qui l'accueille, sont...

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France. Trop de rapports tue la compétitivité !

France. Trop de rapports tue la compétitivité ! | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it

"Ce rapport n’est pas mauvais en soi, mais il donne la désagréable impression du déjà-vu, de ne servir à rien, d’enfoncer des portes ouvertes sans proposer une nouvelle approche du problème "compétitivité". Ses auteurs citent d’ailleurs abondamment au fil des pages les autres textes produits sur le sujet par Jacques Attali, Christian Blanc ou, très récemment, Louis Gallois. Comme si ces élus s’étaient rendu compte au cours de leur mission qu’ils revenaient sur un chemin déjà maintes fois emprunté…

Nos politiques doivent comprendre que la compétitivité n’est pas une divinité. Il ne suffit pas de l’invoquer à grands coups de rapports et de missions pour qu’elle survienne et étende son pouvoir magique sur l’ensemble de l’économie."


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La France redevient compétitive face à l’Allemagne

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Pour la première fois depuis 2004, le coût horaire du travail est supérieur en Allemagne qu'en France. 

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Compétitivité : l'Italie et l'Espagne vont mettre la France en difficulté

Compétitivité : l'Italie et l'Espagne vont mettre la France en difficulté | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it

"Le pacte de responsabilité permet à la France de diminuer l'écart entre les salaires français et allemands, selon les prévisions économiques publiées par la Commission européenne le 4 novembre. Mais comme l'Italie et l'Espagne ont aussi fait des efforts, et que leurs salaires augmentent très faiblement comme en France, la compétitivité hexagonale va in fine diminuer à l'international d'ici 2016.


Le pacte de responsabilité va permetre à la France de réduire l'écart du coût du travail entre l'Hexagone et l'Allemagne. Les augmentations de salaires tricolores, charges comprises, s'élèveront en 2014 à 1,4% par personne, mais à seulement 0,9% en 2015 et à 1% en 2016, selon un document sur les prévisions économiques au sein de l'Union européenne publié le 4 novembre par Bruxelles et disponible ci-dessous.

Ces faibles hausses sont essentiellement liées à la modération salariale à l'œuvre dans le secteur public et aux baisses des charges pour les entreprises. Les salariés allemands vont voir leurs émoluments grimper nettement plus que ceux de leurs comparses français : + 2,8 % en 2014, + 3,3 % en 2015 et même + 3 % en 2016.

 

FAIBLES AUGMENTATIONS DE SALAIRES

Mais, toujours selon la Commission européenne, ce regain de compétitivité face à l'Allemagne ne sera pas suffisant. La France va perdre des parts de marché à l'exportation d'ici 2016. Le solde de sa balance courante, qui inclut la balance commerciale, mais aussi la balance des services et celle des revenus (salaires, dividendes…) va se dégrader : de -1,9% en 2014 et 2016, il va tomber à -2,2% en 2016.

En cause ? La concurrence de l'Italie et de l'Espagne : les augmentations de salaires dans ces deux pays tourneront en 2015 et 2016 autour de 1% par an. Aussi faibles qu'en France donc. Elles ne permettront pas à l'Hexagone de vendre ses produits à l'exportation moins cher que ses voisins, qui sont comme l'Allemagne, des concurrents sérieux à l'international."


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Le déclin de la France - Michel Santi

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Irrémédiable si l’on se penche sur la profitabilité des entreprises et sur la masse des faillites :       La catastrophe française – suite : Le chômage en France et en Allemagne et…le degré d’approbation ou de rejet pour Merkel et pour Hollande par leurs citoyens respectifs. Est-ce une coïncidence ??      

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France. Transition énergétique : une opportunité de gagner en compétitivité ?

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A l’heure où sort le projet de loi « pour un nouveau modèle énergétique français », il faut voir cette transition comme une excellente opportunité de verdir l’économie, mais surtout de gagner en compétitivité. En France et en Europe, les industriels ont déjà énormément progressé sur ce plan en optimisant de très nombreux postes. Malgré cela, ils voient leur compétitivité lourdement menacée, car les prix des matières premières sont à la hausse et les exportations à la baisse. Une situation aggravée par l’incertitude pesant sur les prix de l’énergie, dans la perspective de l’ouverture totale du marché à la concurrence, au 31 décembre 2015. Des prix qui, par ailleurs, n’ont cessé de croître depuis ces cinq dernières années. Et tout indique que la tendance ne va pas s’inverser.

 

Maîtriser le prix de l’énergie

Pourtant, la transition énergétique offre dès maintenant des motifs d’espoir aux industriels. Quatre solutions peuvent être déployées rapidement, à la fois pour anticiper les évolutions réglementaires et réduire rapidement les coûts pesant sur leur compétitivité. La première consiste à optimiser son contrat de fourniture d’énergie, en comparant les offres des différents fournisseurs, et à mener une stratégie d’achat à court et moyen termes. Les exemples de baisse de plus de 15 % du coût d’achat de l’énergie ne sont pas rares ces dernières années, tant pour le gaz que pour l’électricité. Et surtout, maîtriser ce coût (qui représente 14 % de la valeur ajoutée des entreprises françaises) est un vrai facteur de différenciation pour l’entreprise industrielle sur son marché. Les économies peuvent être substantielles, et réalisées très rapidement.

A plus forte raison si, comme c’est la tendance actuelle, l’industriel décide de s’unir entre plusieurs consommateurs via un groupement d’achat, pour ainsi négocier des « prix de gros » auprès des fournisseurs mis en concurrence. De nombreuses fédérations professionnelles sensibilisent leurs adhérents en ce sens.

 

Jouer sur l’effacement

Au-delà de l’optimisation de leur contrat de fourniture, les industriels peuvent recourir à l’effacement, c’est-à-dire l’arrêt momentané de chaînes de production ou de certains équipements fonctionnant à l’électricité. Vu du réseau électrique, qui doit faire coïncider en permanence offre et demande de courant, l’effacement s’avère moins coûteux que la mobilisation de puissance supplémentaire : une non-consommation coûte moins cher que la mise en route, pour quelques heures seulement, d’une centrale thermique de pointe. Les industriels acceptant ainsi de s’effacer momentanément du réseau en sont rémunérés : une source de recettes non négligeable, parfois chiffrée en centaines de milliers d’euros par an.

C’est aussi, pour eux, un moyen de mieux maîtriser leur courbe de charge, et donc d’éviter les pénalités pour dépassement de puissance souscrite. Cette solution est de moins en moins réservée aux électro-intensifs, et gagne l’intérêt des petits consommateurs diffus. Mais elle suppose une forte expertise des réseaux et des marchés électriques, pouvant être confiée à un intermédiaire qualifié, chargé de détecter toutes les consommations effaçables, site par site : c’est le métier d’agrégateur d’effacement.

 

Récupérer les calories perdues

Troisième levier d’amélioration de la compétitivité qu’offre la transition énergétique : la récupération d’énergie perdue. Il s’agit de transformer en énergie ce qui, sur site, était jusqu’alors considéré comme un déchet ou un sous-produit fatal : eaux usées, déchets divers, matières organiques, déperditions de vapeur. Pour un investissement modique (tuyauterie, échangeurs de chaleur), il est judicieux de faire la chasse à toutes les calories perdues au cours du process industriel, puis d’en constituer une source d’énergie. Une énergie utilisable sur site, ou cessible, moyennant rémunération, à des utilisateurs voisins, sous forme de vapeur ou de froid.

De quoi réduire sa dépendance au prix fluctuant des énergies acheminées de l’extérieur par le réseau. Dans le même esprit, il est possible d’implanter une cogénération sur son site industriel, alimentée par exemple avec les déchets produits par l’usine elle-même. Le nouveau régime juridique propre à la cogénération, en obligation d’achat ou sur le marché libre, laisse entrevoir une certaine rentabilité maintenant que ces centrales sont éligibles au marché de capacité : tout possesseur d’une unité de production d’électricité, qui tient celle-ci à disposition du réseau à tout moment, bénéficiera d’une prime, que sa centrale fonctionne ou non.

 

Se faire accompagner par un expert

Enfin, les industriels peuvent bénéficier d’un accompagnement dans le déroulement d’un programme d’économies d’énergie. La première étape en est l’audit énergétique, un excellent moyen d’identifier non seulement les pistes de réduction des consommations, mais aussi toutes les améliorations techniques envisageables sur le process, ainsi que les bonnes pratiques à appliquer (gestes utiles, régulation, etc.). Prévu par la directive européenne sur l’efficacité énergétique de 2012, ce dispositif est d’autant plus accessible qu’il est actuellement, et pour quelques mois encore, subventionné par l’Ademe et plusieurs aides régionales. Une fois l’audit réalisé, l’industriel définit un plan d’actions.


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-107033-transition-energetique-une-opportunite-de-gagner-en-competitivite-1030532.php?10vm4JuDKpT6srX6.99"


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L'huile de palme d'Afrique dans la guerre économique | Africa Diligence

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Pour déstabiliser le marché, l’option retenue par les spin doctors de la « taxe Nutella » a été de faire de l’huile de palme un poison. La riposte de l'Afrique.

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L'actionnaire minoritaire, deuxième enjeu de la compétitivité des entreprises françaises

L'actionnaire minoritaire, deuxième enjeu de la compétitivité des entreprises françaises | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it

Serge Delwasse / Conseil de direction générale, turnaround manager et investisseur en situations critiques "Il vaut mieux, disait un banquier, investir une place forte qu'un capital. Il est arrivé qu'une place investie se soit rendue ; un capital investi ne se rend jamais" Auguste Detoeuf, fondateur d'Alstom, in Propos de O.-L. Barenton, confiseur, ancien élève de l'École Polytechnique.

 

Dans un précédent billet, coécrit avec Hervé Kabla, "Le battement d'ailes du client mécontent ", nous osions suggérer que le manque de compétitivité de beaucoup d'entreprises françaises était plus lié au manque d'amour du client qu'au taux de tel ou tel impôt. Aujourd'hui, "l'affaire Alstom", que dis-je, le feuilleton Alstom, me permet de lancer quelques réflexions sur les relations entre les dirigeants et les actionnaires minoritaires.

 

Alstom/GE/ Siemens : quel est l'intérêt du petit porteur ?

Déjà un mois que le feuilleton de l'avenir d'Alstom passionne les observateurs : d'un côté les tenants du patriotisme économique, ceux qui se sont réjouis de l'échec du rachat de Dailymotion, ceux qui pensent que le protectionnisme industriel a un avenir, de l'autre les docteurs en libéralisme, qui se demandent à quel titre l'État, qui a, rappelons-le, privatisé Alstom il y a quelques années, c'est-à-dire vendu ses actions, intervient pour décider que Siemens est un meilleur partenaire – en fait acquéreur – que GE. Et l'actionnaire ? Petit porteur ou fonds d'investissement, je n'ai pas souvenir d'avoir entendu LA phrase que l'on aurait été en droit d'attendre "nous cèderons à celui qui paiera le plus cher, de manière à maximiser la valeur pour l'actionnaire". 

 

De la bourse de Nancy au Nasdaq

C'est du café du commerce, mais c'est vrai : le monde a changé. Là où, voici encore 30 ans, l'habitant de Bar-le-Duc qui avait un peu d'argent l'investissait, après une intense réflexion et de longues discussions avec son agent de change, sur trois sociétés cotées à la bourse de Nancy, ce au prix de coûts d'intermédiation suffisamment exorbitants pour le dissuader de faire l'opération inverse le lendemain, le même Barrois – qui habite Bar-le-Duc, donc – peut acheter des actions de ce qu'il veut, où il le souhaite, ce sans quitter son salon, voire en étant à l'autre bout du monde s'il est en voyage. Il en est de même pour tous les actionnaires du monde, et surtout pour les fonds d'investissement : le signal qui leur est donné est celui d'un pays où l'on se préoccupe peu de la plus-value de l'actionnaire.

Ce qui fait monter les actions

En ressortant son vieux cours de finance, le lecteur en aura la confirmation, la valeur d'une action peut résulter de deux facteurs : le premier est la perspective de toucher des dividendes. Or tout le monde sait que les dividendes versés sont, le plus souvent, anecdotiques, voire symboliques. Le second facteur de valorisation d'une action est la possibilité de faire une plus-value, c'est-à-dire revendre plus cher que le prix payé.

Vous achetez une action parce que vous pensez que quelqu'un sera prêt à vous l'acheter le lendemain. Au bout du bout, il faut bien que quelqu'un hérite – théoriquement du moins – du mistigri. C'est cette perspective, pour faire simple, de cession en bloc/d'OPA, qui fait la valeur de 95 % des titres. Le message donné par le gouvernement est alors malheureusement clair : les perspectives de plus-value sont, en France, inférieures à celles du reste du monde.

 

Ce qui est vrai pour Alstom l'est encore plus pour la startup financée par les business angels

Les pouvoirs publics font des efforts importants pour donner aux PME un accès plus facile au capital, que ce soit via la Caisse des Dépôts et sa galaxie de structures de financement, au premier rang desquelles figure la BPI, ou via les incitations fiscales (Tax-Break ISF, PEA, actionnariat salarié...). Bien souvent, la question du retour sur investissement est éludée. Et les minoritaires reçoivent le service minimum.

En cas de difficultés financières, ils deviennent même bien souvent la dernière roue du carrosse : échaudés, avec des moyens financiers limités, ils n'ont par exemple pas les moyens de suivre une augmentation de capital. Quand on échoue, il est primordial de traiter ceux qui vous ont fait confiance avec le plus grand soin. Je me souviens d'un acteur en vue de la place, dont un LBO majeur s'était achevé dans une déconfiture mémorable. Il avait mis tous ses efforts à limiter la casse pour les banques, afin de préserver ses financements futurs.

Pourtant, il m'arrive régulièrement, en tant que turnaround manager, de rencontrer des business angels, actionnaires minoritaires d'entreprises en (grande) difficultés. Alors que les actionnaires majoritaires, souvent créateurs et dirigeants, devraient n'avoir qu'un objectif, celui de préserver les minoritaires, fut-ce au détriment de leur position dans l'entreprise, voire de leur propre participation, c'est tout le contraire qui se passe. Au moment des difficultés, on oublie ce que l'on doit aux investisseurs.

Les PME françaises sont sous-capitalisées. Les pouvoirs publics devraient s'attacher à encourager l'investissement au capital. Les incitations fiscales ne font pas tout. Et l'exemple qui nous est donné aujourd'hui ne va pas dans le bon sens


En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-99299-lactionnaire-minoritaire-deuxieme-enjeu-de-la-competitivite-des-entreprises-francaises-1009007.php?Bqc4YRt6K4hzz0Tk.99


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Compétitivité : les faibles gains de productivité en France en cause

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La Chine a perdu son avantage compétitif

Le cabinet de conseil a analysé la compétitivité des 25 plus gros exportateurs de produits manufacturés, qui réalisent 90 % des exports mondiaux, à partir de quatre critères : salaire horaire moyen d'un salarié de l'industrie, productivité par salarié, taux de change et coût de l'énergie. Avec un constat : sur la dernière décennie, les cartes ont été totalement redistribuées. Ainsi, la Chine est aujourd'hui moins compétitive que le Mexique et ne se retrouve plus qu'à 4 points des États-Unis, hors coûts de transport. Une évolution que BCG attribue avant tout à la hausse des salaires chinois (+ 12 points).

Même constat pour le Brésil, qui se classe en 2014 au 23e rang, à égalité avec l'Italie ou la Belgique, juste devant la France, alors que le pays était encore 9e dix ans plus tôt. Forte hausse des salaires (+ 15 points), baisse de productivité et appréciation du real face au dollar sont les causes majeures de cette perte de compétitivité pour le géant d'Amérique du Sud.

 

"Des schémas dépassés"

"Beaucoup d'entreprises raisonnent encore avec des schémas dépassés, estimant qu'il est plus cher de produire en Europe de l'Ouest ou en Amérique du Nord et que les pays aux coûts de production les plus faibles sont en Amérique latine, en Asie et en particulier en Chine et en Europe de l'Est", a déclaré Olivier Scalabre, directeur associé au BCG à Paris, dans un communiqué.

Les États-Unis et le Mexique ont ainsi réussi à améliorer leur compétitivité, passant respectivement du 12e au 8e rang et de la 6e à la 4e place. Une situation qui s'explique par de forts gains de productivité et une importante baisse des prix du gaz, alors qu'ils augmentent partout ailleurs. Longtemps l'un des pays les plus compétitifs en Europe, La Pologne voit son avantage décliner face à des pays comme l'Espagne ou le Royaume-Uni, qui sont à quasi-égalité avec d'autres pays d'Europe de l'Est tels que la République tchèque."


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Olivier Passet, Xerfi - La France incitée à rester le cancre de l'Europe

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Dans un monde en surcapacités chroniques, en concurrence âpre sur les biens de technologie intermédiaire, la France a-t-elle intérêt à...

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Compétitivité de l'Allemagne par rapport à la France dans les abattoirs - Web-agri.fr

Compétitivité de l'Allemagne par rapport à la France dans les abattoirs - Web-agri.fr | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it

"Le déficit commercial français de produits carnés s’accroît chaque mois un peu plus avec 812 M€ pour les 11 premiers mois de 2013 (source Agreste). Mais ce n’est pas la production agricole qui est le talon d’Achille de l’ensemble des filières viandes, mais le manque de compétitivité des industries, des abattoirs et des entreprises de transformation. C’est la conclusion principale de l’analyse économique à laquelle s’est livrée Hélène Morin, consultante d’Agritel, l’expert des marchés européens dans les filières agricoles et agro-industrielles. Elle animait un déjeuner de presse sur le thème de la compétitivité et la transition énergétique en Allemagne et en France, mercredi 29 janvier 2014.

L’instauration d’un salaire minimum de 8,50 €/h comme le prévoit l’accord de gouvernement Cdu-Csu-Spd n’altérerait qu’à la marge la compétitivité des abattoirs et des autres entreprises allemandes. Tout simplement parce que durant ces dix dernières années, leur développement a reposé non seulement sur « un marché du travail flexible mais aussi sur une concentration des opérateurs, sur l’innovation et les technologies employées et sur une adaptation au marché avec des produits à base de viande très standardisés ».


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Industries et technologies de santé: La France veut renforcer sa compétitivité | Republic of Innovation

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La Suisse se hisse au 2e rang de la compétitivité mondiale

La Suisse se hisse au 2e rang de la compétitivité mondiale | Marketing du web, growth et Startups | Scoop.it
Grâce à ses fondamentaux solides, la Confédération figure en 2e position du rapport annuel du Centre de la compétitivité mondiale de l'IMD publié mercredi.

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