Entre les Jeux Olympiques d’Atlanta en 1996 et ceux de Rio, le budget dédié par le Comité Olympique à l’assurance a été divisé par deux pour atteindre aujourd’hui environ 10 M$. Si le risque terroriste est intégré depuis plusieurs années dans les contrats, les organisateurs de l’évènement ne sont, en revanche, pas couverts en cas d’annulation liée au virus Zika.
Depuis 1996, année des JO d’Atlanta, ce coût a été divisé par deux grâce à « un travail conjoint mené par les organisateurs et les assureurs en matière de risk management afin réduire le coût global du risque », détaille Patrick Vajda, dont l’équipe a élaboré une cartographie des risques olympiques (entre 500 et 1000 identifiés).