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La nouvelle réglementation européenne impose aux assureurs de réviser leurs conventions de délégation. De nouvelles dispositions que les courtiers de proximité ont du mal à digérer.
Le management des risques s’impose aussi aux entreprises de taille intermédiaire, attirant la convoitis
Les petites entreprises sont insuffisamment préparées à la gestion d'un sinistre ou d'une crise importante. Les PME sont le plus souvent mal informées des risques et des solutions.
Pour progresser sur le marché français, les assureurs grands risques misent sur des produits adaptés aux risques émergents, sur les entreprises de taille intermédiaires et l'apport de services.
Pour faire face à la concurrence et fidéliser leurs clients, les acteurs de l’assurance doivent faire évoluer leurs pratiques en exploitant les nouvelles technologies numériques. Mais comment ces technologies toujours plus innovantes peuvent-elles renforcer la relation assureur-assuré? Eclairage avec Patrick Durand.
Jouer sur les catastrophes naturelles à venir pour s’assurer un bon rendement quand les marchés boursiers flageolent : c’est la dernière mode chez les assureurs et les financiers. Bienvenue dans le monde des cat bonds, les placements sur la catastrophe !
La société de conseil et de services dédiée à la continuité d’affaires et à la gestion des risques BCA3 vient de sortir une enquête dédiée à la prise en compte des plans de continuité d’activité au sein des entreprises. Menée auprès de 1 500 organisations (entreprises, organismes publics, associations à but non lucratif), cette étude révèle que plus de la moitié des organismes interrogés (56%) disposent déjà d’un plan de continuité (PCA).
Les assureurs, les courtiers, les cabinets de conseils sont des éléments essentiels dans la politique de risk management des entreprises : quel est le rôle de chacun ? Comment accompagnent-ils les entreprises et particulièrement les ETI dans la mise en place de leur stratégie de RM ? Peuvent-ils se substituer au risk manager ?
Au cours des derniers mois, les assureurs ont renforcé leur présence sur le marché des entreprises de taille intermédiaire (ETI). Chacun y est allé de sa stratégie.
Le Cese anticipe un moindre investissement des assureurs en actions. L'impact cumulé de ces nouvelles règles et de Bâle III serait sous-estimé.
ssLe marché des grands risques a vu ses renouvellements se compliquer dans le cas des couvertures sur les catastrophes naturelles. Les assureurs mettent moins de capacités sur ces risques et doivent faire face à des clients qui en attendent plus…
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Après avoir longtemps refusé de parler avec les courtiers, les assureurs ont fini par accepter d’entamer des discussions. En coulisses, les jeux semblent pourtant déjà faits.
Selon une étude d’Asset Owners Disclosure Project (AODP), les assureurs européens seraient plus sensibles, en tant qu'investisseurs institutionnels, à la gestion des risques climatiques que dans d’autres régions géographiques. Mais il y a de nettes marges de progrès, notamment comparé aux fonds de pension.
« The dollar is our currency and your problem (1). » Cette formule, adressée à l'Europe en 1971 par John Connally, alors secrétaire au Trésor de Nixon, n'a pas perdu de son acuité avec l'amende infligée à BNP Paribas.
Pour ce premier panorama des assureurs grands risques mondiaux, nous nous sommes adressés à des structures assurantielles ayant pour activité principale les grands risques, intervenant sur tout ou partie des branches suivantes : incendie ; catastrophes naturelles ; responsabilité civile ; dommages ; transport, corps de véhicules automobiles, ferroviaire, aériens, et maritimes, marchandises transportées ; ou des spécialités comme le cyber-risque ou les risques politiques, et l'assurance crédit-caution.
L’assureur Ace lance une nouvelle garantie RC professionnelle. Intitulée Ace Tech Pro, cette solution d’assurance est dédiée aux entreprises de toute taille appartenant au secteur dit technologique. Les garanties proposées viennent couvrir les dommages causés aux tiers du fait d'une faute professionnelle commise par l’assuré (erreurs ou omissions, négligences, imprudences, retards de projets ou encore divulgation d’informations, violation de l’obligation de confidentialité, défaut de performance…). Cette solution inclut ainsi la prise en charge des frais de défense de l’assuré mis en cause.
La société de conseil et de services dédiée à la continuité d’affaires et à la gestion des risques BCA3 vient de sortir une enquête dédiée à la prise en compte des plans de continuité d’activité au sein des entreprises. Menée auprès de 1 500 organisations (entreprises, organismes publics, associations à but non lucratif), cette étude révèle que plus de la moitié des organismes interrogés (56%) disposent déjà d’un plan de continuité (PCA).
Le cabinet Ernst & Young vient de publier les résultats d’un sondage réalisé auprès de 170 assureurs européens sur leur niveau de conformité à la directive Solvabilité 2, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2016. Le nouveau délai accordé à la Commission redonne confiance à 8 assureurs sur 10 quant à leur capacité à s’adapter avant l’échéance aux nouvelles exigences réglementaires de gestion des risques assuranciels. L’étude révèle aussi d’importantes disparités, de façon très classique entre le nord et le sud de l’Europe, mais aussi en fonction des différents volets de la directive. Car outre une exigence renforcée en fonds propres (pilier 1) et en termes de gouvernance (pilier 2), Solvabilité 2 oblige les assureurs à développer de nouvelles pratiques de reporting autour de leurs risques (pilier 3).
Sécheresses, ouragans, inondations : aux quatre coins du monde, les catastrophes climatiques charrient leur lot de drames humains et d’images spectaculaires. Et posent une question prosaïque : qui paiera les dégâts ? Quand ils ont trop à perdre, les assureurs se défaussent sur les Etats. Mais ces derniers, étranglés par la dette, peinent à assumer. Ils se tournent alors vers les marchés financiers, leurs calculs glacials et leurs produits spéculatifs.
Si le risque est inhérent à la vie des organisations, le phénomène n’a cessé de s’amplifier ces dernières années avec la mondialisation, la prolifération réglementaire et le développement des nouvelles technologies. Dans ce contexte, le risk manager, déjà interlocuteur privilégié des assureurs et des courtiers, voit sa fonction évoluer pour devenir un élément clé dans la gouvernance des entreprises. Et après les grands comptes, ce sont aujourd’hui les ETI qui s’emparent du sujet.
Sans surprise pour le secteur de l’assurance, l’étude menée par la section “économie et finance” du Conseil économique, social et environnemental, met en avant l’impact négatif de Solvabilité II sur les politiques d’investissements des assureurs. Si elle n’émet pas d’avis, elle a le mérite d’exister et de rendre concrets quelques principes fondamentaux.
Une sinistralité relativement limitée en 2013 et l'abondance des capacités offertes par les assureurs sur le marché français ont entretenu une constance des prix lors des renouvellements du 1 er janvier dernier.
Les assureurs français ont été confrontés en 2013 à une hausse des sinistres liés aux événements météorologiques qui ont frappé la France, à l'image des inondations dans le Sud-Ouest en juin et la tempête Dirk en décembre.
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