Par un communiqué en date du 13 octobre, France nature environnement rappelle que « les catastrophes naturelles n’ont parfois rien de naturel ». En effet, le risque augmente quand on artificialise le territoire mais aussi lorsqu’on endigue les cours d’eau, en plus d’imperméabiliser leurs berges.
« Le Languedoc Roussillon, et Montpellier en tête, ont connu un épisode de fortes pluies, habituelles pour le climat méditerranéen mais qui génère des inondations massives dont les coûts devront être supportés par la collectivité, les acteurs économiques et la population. Si la pluie est naturelle, même lorsqu’elle subit l’influence du réchauffement climatique, le fait qu’elle génère de telles inondations et de tels dégâts est dû pour l’essentiel à notre façon d’aménager le territoire.