Dans le monde, seul un quart des grands groupes intègre les risques liés au changement climatique dans leurs rapports annuels. Dans ce domaine, les entreprises françaises sont au-dessus du lot. 90 % des 20 entreprises françaises du G250 (les 250 plus grandes entreprises mondiales) les font apparaître, selon une étude de KPMG.
Les entreprises françaises font figure d’exemple. Au sein des membres du G250, 90 % des 20 sociétés françaises font apparaître les risques induits par le changement climatique dans leurs rapports annuels. Un score qui s’explique par les obligations liées à la loi de transition énergétique et sur le reporting extra-financier. Pour autant, seules six entreprises informent leurs investisseurs du potentiel impact du changement climatique sur leurs résultats financiers à travers des scénarii de modélisation ou des calculs précis.