Management global des risques - Gestion et communication de crise
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Management global des risques - Gestion et communication de crise
Vous trouverez dans ce thème des actualités, en France et dans le monde, pour appréhender le management global des risques (aujourd’hui et demain), en passant de l’identification des risques (cartographie des risques) aux transferts des risques (assurance...). Une partie sera consacrée à la gestion et la communication de crise dont la réputation et les MSGU.
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La France et la Belgique, « pays à risques modérés »

C’est, hélas, une première. La France et la Belgique ont été inscrits, samedi 25 février 2017, dans la liste des pays à « risques modérés » par la société privée de sécurité et d'analyse des risques internationaux Gallice, co-fondée par l’ancien patron du GIGN, Frédéric Gallois. 

Stéphane NEREAU's insight:

Dans sa « carte de la situation sécuritaire du monde en 2017 », établit depuis cinq ans sur la base d'une synthèse de rapports internationaux et de témoignages de ses employés et bureaux à l'étranger, Gallice a estimé que « la lutte contre l'islamisme politique et contre le terrorisme qu'il inspire présente un nouveau défi pour les pays d'Europe et construit un climat général d'instabilité dans la région ». Allemagne, Royaume-Uni et Etats-Unis font également partie de la liste. Sur le planisphère de Gallice, cinq zones (Afghanistan, Yémen, Irak, Syrie, Libye) constituent des « pays à risques élevés, nécessitant un dispositif de protection de haut niveau », huit autres (Venezuela, Mali, Niger, Nigeria, République Centrafricaine, Soudan du Sud, Somalie, Turquie), des « pays à risque, nécessitant des mesures sécuritaires ».

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Les entreprises françaises détectent de mieux en mieux les fraudes

Les entreprises françaises détectent de mieux en mieux les fraudes | Management global des risques - Gestion et communication de crise | Scoop.it
Plus d’une entreprise française sur deux a déclaré au moins un cas de fraude l’an dernier alors qu’elles n’étaient que 29% en 2009, montre une étude publiée mercredi par le cabinet PwC.
Stéphane NEREAU's insight:
Les entreprises françaises, plutôt sévères.

Les entreprises tricolores présentes à l’international s’inquiètent également de la corruption (52%), qui peut se manifester dès l’implantation sur un nouveau marché ou lors de l’acquisition d’une société. En outre, dans 60% des cas dans le monde, la fraude est commise par un collaborateur de l’entreprise, souvent plus âgé et disposant d’une certaine ancienneté. « C’est généralement une personne sympathique qui bénéficie de toute la confiance de son management. Il est donc très difficile à identifier  », précise Jean-Louis Di Giovanni. Un constat qui cadre tout à fait avec le portrait-bobot du fraudeur qu'a brossé le cabinet KPMG : un homme qui travaille dans l'entreprise, âgé de 36 à 55 ans dans 70 % des cas .

En matière de sanctions enfin, les directions françaises se montrent plutôt sévères. Dans dans six cas sur dix, le licenciement s’accompagne d’un dépôt de plainte, contre un sur deux en moyenne dans le monde.

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Ebola : ce que les entreprises doivent faire pour protéger leurs salariés

Ebola : ce que les entreprises doivent faire pour protéger leurs salariés | Management global des risques - Gestion et communication de crise | Scoop.it

Les entreprises présentes en Afrique doivent faire face à l’épidémie. Elles peuvent assurer à leurs salariés la sécurité sanitaire suffisante pour qu’ils continuent leur mission sans risques inutiles.

Stéphane NEREAU's insight:

Cet été, le virus Ebola s’est propagée en Guinée, au Liberia, en Sierra Leone et au Nigeria. Il n’avait jusque-là jamais frappé ces pays. Courant septembre, une infirmière française travaillant pour une organisation non-gouvernementale a été rapatriée après avoir été contaminée. Aujourd’hui, elle est guérie. Le 1er octobre, un cas d’Ebola a été signalé aux États-Unis. Le patient est décédé depuis. Le 6 octobre, la première contagion hors d’Afrique a été constatée à Madrid. La personne atteinte – une aide-soignante – avait été en contact avec l’un des missionnaires porteurs du virus qui avaient été rapatriés de Sierra Leone. Les deux religieux étaient déjà décédés. Depuis le début de l’épidémie, le virus Ebola est responsable de plus de 3 500 morts en Afrique de l’Ouest. Il n’existe aucun vaccin contre cette maladie, dont le taux de mortalité moyen est de près de 50 %. Les autorités sanitaires et les entreprises ayant des salariés présents dans les zones à risques s’interrogent sur la marche à suivre. Faut-il rapatrier le personnel ? Quel est le degré de risque supportable ? Les sociétés doivent informer, rassurer et aider les salariés et leur famille à se protéger. Sans cesser de faire de la prévention contre d’autres maladies, comme le paludisme, dont on parle moins en ce moment.

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