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La fonction de risk manager devient plus transverse et se digitalise pour faire face à un environnement économique et réglementaire en pleine évolution.
Voilà qui n'est pas pour rassurer. L’étude annuelle d’IBM sur la cyber-résilience montre que malgré l’augmentation du nombre d’attaques, de leur force et les contraintes qui arrivent (RGPD), les entreprises ne sont toujours pas prêtes à affronter les incidents de cybersécurité.
Face à la vague d'ouragans de la saison 2017, une enquête du spécialiste de l'assurance dommages, FM Global, a relevé que sept directeurs financiers sur dix envisagent de redéfinir leur stratégie de gestion des risques. De l'étude, il en ressort également que 64% des sondés ont déclaré que les ouragans survenus en 2017 avaient eu des conséquences négatives sur leur activité. Sur ces 64%, ils sont 62% à reconnaître qu'ils n'étaient pas suffisamment préparés à faire face aux conséquences de cette vague d'ouragans.
Lors des 26èmes Rencontres de l’Amrae, le Président de la Fédération Française de l’Assurance (FFA) Bernard Spitz a évoqué les résultats de la première étude menée auprès de directeurs de risques de sociétés d’assurance et de réassurance en France.
L’enquête porte sur les ETI, PME, une de ses cibles. Et a vocation à mesurer le niveau d’intégration de la culture du risque au sein de ces structures en France.
Même si cela peut choquer le rationalisme cartésien, la gestion de la sécurité sanitaire comporte toujours des éléments objectifs (causalité démontrée, quantification des expositions et des risques, etc.) et des facteurs subjectifs. J’ai déjà souligné dans mon post du 24 mars 2014 l’importance des représentations et des émotions ainsi que la nécessité de prendre en compte la perception des risques. Des risques importants peuvent être tolérés (le tabac) tandis que des risques faibles, voire théoriques, suscitent un niveau élevé d’inquiétude (les OGM). Voilà qui est perturbant.
Les entreprises confient leurs données aux équipes chargées des relations avec les clients, sans les responsabiliser. Une étude Iron Mountain/PwC révèle l’urgence de sensibiliser ceux qui ont accès à l’information à la nécessité de gérer les risques pour l’information.
Le groupe Swiss Re, prestataire en matière d’assurance et de réassurance, a publié le 15 septembre 2014 sa dernière étude sigma intitulée « Les tendances de la sinistralité en responsabilité civile : risques émergents et recrudescence des facteurs économiques ». D’après le rapport, après une sinistralité en responsabilité civile (RC) plus basse que prévu au cours des dernières années, la sinistralité et la demande d’assurance RC vont augmenter dans les années à venir avec l’accélération de la croissance économique des pays émergents et l’apparition de nouveaux risques liés à des changements technologiques, sociaux et réglementaires (cyber-risques, technologies émergentes, cumul des risques via l’interconnectivité globale…).
32% des entreprises déclarent avoir fait l'objet d'au moins une mise en cause pénale au cours de la dernière année, révèle une étude. Le salarié est vu comme le plus gros vecteur de risque.
Cette année, l’enquête analyse les points de vue de plus de 1 900 directeurs de l’audit interne (DAI), responsables de l’audit interne, dirigeants et administrateurs, qui font le constat que l’audit interne a la possibilité d’accroître sa valeur et sa contribution pour l’entreprise, pour autant qu’il dispose des ressources adéquates. Plus de la moitié (55 %) des dirigeants ne pensent pas que l’audit interne apporte une valeur significative à leur organisation ; près de 30 % des administrateurs estiment que l’audit interne apporte une valeur ajoutée peu significative ; et enfin, en moyenne, seuls 49 % des dirigeants et 64 % des administrateurs estiment que l’audit interne répond aux attentes de manière satisfaisante. Si bon nombre d’entre eux indiquent que leur fonction audit interne a progressé depuis un an, les problèmes de performance mis en évidence dans les enquêtes des années précédentes n’ont pas été résolus, et les parties prenantes déclarent que les progrès n’ont pas été suffisants pour rester en phase avec l’environnement dans lequel les organisationsévoluent. Les résultats de l’enquête de cette année confirment une fois encore que, du fait de l’environnement de plus en plus complexe et risqué des entreprises, de nombreuses fonctions audit interne ont éprouvé des difficultés à faire reconnaître leur valeur.
En outre, la capacité de l’audit interne à créer les capacités requises et à répondre aux attentes continue d’être questionnée.
L’Amrae vient de sortir son 6e panorama des systèmes d’information de gestion des risques (SIGR). Pour cette édition 2014, les éditeurs ont répondu en plus grand nombre qu’en 2013. En effet, ils sont 43 contre 37 l’an dernier, soit une évolution de 16% permettant à l’Amrae d’avoir un échantillon représentatif du marché. «Au vu de cette augmentation et des hausses d'appels d'offres qu'ils ont enregistré en 2013 nous pouvons aussi confirmer que nous sommes sur un marché dynamique et en croissance où les éditeurs, comme les clients, ont gagné en maturité», confie François Beaume, directeur du risk-management chez Dalkia et président de la commission SI de l’association.
La société de conseil et de services dédiée à la continuité d’affaires et à la gestion des risques BCA3 vient de sortir une enquête dédiée à la prise en compte des plans de continuité d’activité au sein des entreprises. Menée auprès de 1 500 organisations (entreprises, organismes publics, associations à but non lucratif), cette étude révèle que plus de la moitié des organismes interrogés (56%) disposent déjà d’un plan de continuité (PCA).
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Les régulateurs, les marchés et les banques se concentrent depuis des années sur le renforcement du bilan des banques. Mais ces progrès ne doivent pas faire oublier de nombreuses poches de faiblesse, souligne une étude Oxford Economics.
Seules 20 % des entreprises ont intégré ou optimisé leurs mécanismes de gestion des risques liés au tiers.
S’il existe des disparités entre petites et grandes entreprises, une véritable culture du risque serait en train de prendre pied dans les ETI et PME de l’Hexagone. C’est du moins ce que révèle une étude de QBE/Opinionway.
Un quart des Français projette de créer son entreprise un jour d'après une étude OpinionWay pour le Salon des Entrepreneurs qui se tient du mercredi 7 au jeudi 8 fevrier à Paris. Pourtant, les Français souhaitent que davantage de droits sociaux soient ouverts aux créateurs d'entreprise.
La Fédération européenne des associations de risk managers (FERMA) a publié les résultats de son étude européenne sur les risques et l'assurance. Cette étude révèle que 41% des organisations financières et bancaires ont en général plus 20 postes consacré à la gestion du risque et de l'assurance au siège social. Allemagne est le pays où il y a le plus grand nombre de poste liés à la gestion du risque et de l'assurance. Les risks managers reportent le plus au responsable financier (22,2%) ainsi qu'au conseil d'administration (17,9%) ou au directeur général (16,7%). Les activités de bases de risks managers sont désormais bien intégrées. Les professionnels doivent désormais se renforcer de leur rôle dans la stratégie de l'entreprise et devenir un partenaire d'affaires en établissant une culture du risque. Concernant les risques l'étude indique que le risque " politique " est classé comme le plus important en 2014, alors qu'il n'était que 10e en 2012. Les risques liés à la réputation, à la concurrence et à la réglementation restent aux mêmes place depuis 2012 ( 2e, 3e et 4e). Les risks managers en Europe sont préoccupés par plusieurs points actuellement discutés par l'Union Européenne et notamment par la protection des données (France et Royaume-Uni), Solvabilité 2 (Allemagne et Espagne), la publication d'un rapport annuel sur les données non-financières (Suède et italie).
La gestion des risques occupe une place de plus en plus importante dans les organisations, qui constituent plus fréquemment une commission des risques distincte. C’est ce que révèle l’étude réalisée par Deloitte dans 400 grandes entreprises dans 8 pays. Mais ce sont surtout les organismes financiers qui optent pour une commission des risques distincte.
Loin d'être cantonnée à l'organisation de la manutention à laquelle elle pouvait se résumer il y a vingt ans, la chaîne logistique est devenue pour les entreprises un facteur différenciant et, surtout, un vecteur de performance économique.
L’étude* du réassureur MunichRe confirme la tendance que les catastrophes sont à la hausse. Il y a eu 460 événements pertinents relatifs à des risques naturels au premier semestre 2013 soit 70 de plus que la moyenne annuelle de la dernière décennie
La société de conseil et de services dédiée à la continuité d’affaires et à la gestion des risques BCA3 vient de sortir une enquête dédiée à la prise en compte des plans de continuité d’activité au sein des entreprises. Menée auprès de 1 500 organisations (entreprises, organismes publics, associations à but non lucratif), cette étude révèle que plus de la moitié des organismes interrogés (56%) disposent déjà d’un plan de continuité (PCA).
67 % des parties prenantes des fonctions audit interne qui ont un rôle de conseiller stratégique jugent que l'audit interne apporte une valeur significative.
Selon une étude révélée aux premiers Rendez-vous du courtage, à Marseille, pas moins de 36% des dirigeants d'entreprises se disent prêts à allouer à leur courtier un financement pour la gestion des risques.
La lutte contre la fraude est au coeur des responsabilités de l'entreprise. D'autant que le risque d'irrégularités comptables et financières se révèle en forte croissance...
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Le risk manager, expert de la gestion des risques au sein de l’entreprise, endosse depuis quelques années un rôle plus transverse, au fur et à mesure de l’implication d’autres fonctions dans la gestion des risques des organisations. L’étude « FERMA European Risk Manager Survey » en partenariat avec PwC, donne une vue d'ensemble des responsabilités, des préoccupations et des pratiques du risk manager en Europe.