Bull et Amesys : la boite de Pandore que le gouvernement de François Hollande n’ouvrira pas | Libertés Numériques | Scoop.it
Souvenez-vous ! Le 26 février 2011, Reflets met son premier pied dans le plat Amesys avec cet article. Nous écrivions : « Il y a pourtant beaucoup à dire, comme par exemple sur un intégrateur français qui serait allé il y a une dizaine de jours, juste avant les premiers soulèvements de Benghazi, rendre visite aux autorités libyennes pour leur vendre un système d’écoute globale, pour une capacité réseau de 60Gbps. Il est souvent difficile de discerner les contours de notre jeu diplomatique, ses enjeux économiques très importants et peut être aussi, de curieux mélanges de genres… »