#Kony2012, #YesAllWomen ou encore #BringBackOurGirls... Initialement, ces hashtags ont inondé la plupart des flux Twitter. Puis ont été repris par les sites d'information en ligne au sein d'articles qui ont eux-même fait l'objet de partages sur d'autres réseaux sociaux. Au point de se retrouver traités par les plus traditionnels journaux télévisés. Mais tout ça pour quoi ?, se demande Matt Saccaro dans The Daily Dot.