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Rezo Pouce est le premier réseau d'autostop organisé en France. Il a été lancé en octobre 2010 par huit collectivités de Tarn-et-Garonne et une collectivité de Haute-Garonne. Ce dispositif de covoiturage spontané valorise l'autostop comme moyen de déplacement et complémentaire à d'autres solutions, notamment celles proposées sur le net sur de plus longues distances. Rezo Pouce a été récemment choisi parmi les 100 «solutions pour le climat» de la fondation Nicolas Hulot pour être mis à l'honneur sur TF1. Une belle reconnaissance pour le dispositif tarn-et-garonnais qui a fait des émules un peu partout dans le Sud-Ouest et qui est en train de faire tache d'huile dans tout l'hexagone. En effet, Rezo Pouce est aujourd'hui déployé en Midi Pyrénées sur 140 communes et sera en 2016 sur plus de 900 communes réparties dans toutes les régions de France.
Via Aurélien BADET
En ligne depuis quelques semaines, Covoiture-art.com est un nouveau site de covoiturage qui permet de découvrir les trésors cachés du patrimoine français.
Suite à l’arrivée des nouveaux systèmes d’autopartage en Libre Service Intégrale (LSI), le maire de Montréal a décidé de commander une étude afin de vérifier les véritables avantages de ce service. Plusieurs personnes prétendent que l’autopartage n’offre pas les mêmes bénéfices reconnus de l’autopartage classique avec réservation (LSR). Or, puisque j’utilise les services LSI de Communauto et de Car2Go depuis plusieurs mois maintenant, je suis persuadé plus que jamais que la formule LSI possède plusieurs avantages écologiques sur la formule LSR. En fait, même si une voiture en autopartage permet d’éliminer plusieurs autos, elle ne permet tout de même pas une utilisation complètement optimale d’une flotte de voitures, voici pourquoi.
Tous les jours des millions de personnes utilisent leurs voitures pour aller au travail. Dans une grande majorité des cas, ces trajets domicile-travail se font en solo, et conduisent à une congestion des centres urbains dû au dépassement des capacités des collectivités et entraine donc une répercution sur l’environnement. Les impacts sont nombreux et l’étude de Regus montre que les embouteillages automobiles ou les transport en commun bondés sont la 1ère cause de stress du déplacement domicile-travail pour plus de 72 % des personnes interrogées.
Aller au lycée, à l’université, au travail, ou tout simplement voyager entre amis, des activités qui peuvent se faire aisément en partageant le même moyen de transport. Une façon de se rendre service mutuellement surtout dans le milieu scolaire.
Transport-eco.fr permet de mettre en relation gratuitement des transporteurs qui effectuent des trajets à vide avec d’autres transporteurs mais aussi des particuliers ou des entreprises à la recherche d’un transport dédié au meilleur tarif. Transport-eco.fr génère ainsi des économies pour tous et améliore le bilan carbone des transporteurs.
Carte des aires de covoiturage et des parkings de covoiturage en France.
Cette carte est non exhaustive, elle est actuellement en cours de construction. Si vous avez connaissance d’aires de covoiturage ou de parkings de covoiturage n’apparaissant pas sur cette carte, n’hésitez pas à nous contacter pour nous le faire savoir !
Optez pour le covoiturage, un phénomène qui fait de plus en plus d’adeptes, notamment via internet. Et ça se comprend. Car le covoiturage, version organisée de l’auto-stop, affiche de nombreux avantages. La recette ? Prenez un chauffeur voulant partager sa voiture, ajoutez au moins une personne désireuse de partir avec lui d’un point déterminé, fixez le prix du voyage, relevez le tout d’une pincée de convivialité, et le tour est joué. --> Organiser son voyage en trois clics --> Un budget allégé --> Ecologie et enrichissement
Le Bilan 2012 sur le déploiement du covoiturage et expérimentation du covoiturage dynamique avec le Conseil Général de l’Isère vient de sortir de presse. Retour sur le projet Ecovoiturage en place depuis le 2 avril 2012 avec une communication ciblée sur les axes Grenoble – Crolles et Bourgoin-Jallieu – Lyon. Vous découvrirez dans ce bilan l’analyse des résultats de l’expérimentation, l’analyse des usages à travers la dimension psycho-sociale et les préconisations et orientations pour les futures expérimentations à venir. http://www.covivo.fr/UserFiles/File/ecovoiturage-bilan-covoiturage-dynamique-isere.pdf
Via La Métropole de Lyon- M3
Montpellier Toulouse à moins de 20 €, Lyon-Bordeaux pour 40 €, le covoiturage intéresse particulièrement les étudiants, sensibles aux petits prix des trajets. Mais pas seulement. Il y a vraiment tout type de voyageurs en covoiturage ! "Moi qui n’aime pas voyager seul, c’est idéal, précise Paul, 70 ans, Y’a pas mieux pour se déplacer à moindre coût, c’est moins cher que le train". Le covoiturage a un tel succès que la SNCF tente de contrer ce nouveau phénomène avec des prix attractifs, en lançant notamment les lignes Ouigo à partir de 10 €.
Petite anecdote qui fait plaisir à entendre… Il y a quelques jours, une coworkeuse du 9ème et demi (Marie) m’annonce autour d’un café qu’elle s’est « connectée » avec une autre coworkeuse (Tiana) pour faire du covoiturage. http://www.rueil-92-coworking.com/le-9eme-et-demi/ En effet, Marie et Tiana n'habitent pas loin l’une de l’autre et il se trouve que Marie vient toujours à Rueil en voiture puisqu’elle loue un parking (en option) au sous-sol. Elles ont échangé leurs numéros de téléphone et se tiendront au courant de leurs venues au 9ème et demi et les horaires qu’elles envisagent. Et hop ! 2 coworkers qui font du covoiturage ! C’est beau. J’aime ça.
Via La Cantine Toulouse
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En cinq ans, Covivo est passé d’une à douze personnes. Cette société a mis au point un système pour favoriser le covoiturage à l'aide d'une application connectée.
Mobee est un service d’auto-partage innovant basé sur le principe de free floating « je prends et je rends mon véhicule où je veux ».
Le constat est si simple que nous l’avons oublié : tout le monde a besoin de se déplacer, mais personne n’a besoin de posséder une voiture. Les contraintes urbaines et économiques définissent de nouveaux modes de déplacement, en phase avec le développement de l'économie collaborative, ou du crowdfundning.
Le covoiturage est-il en train de devenir le nouveau transport en commun des pays développés ? Si le covoiturage donne lieu à de plus en plus d’initiatives en France, qui est derrière cette tendance ? Quels sont les utilisateurs ? Et, surtout, qu’en est-il de cette pratique dans les autres pays ? Résultats d'une enquête réalisée dans 12 pays.
Crise oblige, les Français dépensent de moins en moins pour leur voiture, aidés par les récentes hausses d’impôts et taxes ayant augmentés ses derniers mois et grevés les budgets.
De Communauto aux sites d'échange de maisons en passant par ceux de partage d'outils, d'électroménagers, de caméras et même ceux de financement, la consommation collaborative se glisse partout. Les entreprises établies y ont vu une tendance marginale, le trip d'une poignée de «granolas» vert foncé. Or, c'est plutôt un mouvement exponentiel qui défie les stratégies traditionnelles. L'heure est venue de réagir. Mais comment ?
Via Coplayers, Delphine Duriaux
Déjà au capital de la société depuis 2009, la SNCF vient de finaliser l’acquisition de la startup 123envoiture.com qui développe une offre de covoiturage. Ce dernier revendique 400 000 membres inscrits pour 200 000 trajets, très en dessous du leader du marché BlaBlaCar et ses 600 000 personnes co-voiturées chaque mois. Pour la SNCF le covoiturage est un véritable concurrent de son offre de voyage, la société dirigée par Guillaume Pepy a déjà investit dans Ecolutis, spécialisée dans le covoiturage en entreprise. Au travers de ces acquisitions, la SNCF gagne un temps précieux pour se positionner sur ce nouveau marché concurrent, quand beaucoup de grands groupes auraient préférés au pire l’ignorer, au mieux développer eux-même le service. Voilà un excellent signal donné par la SNCF aux startups. Le groupe a par ailleurs investit dans différentes startups via son fond Ecomobilité Ventures, un fond commun avec Orange et Total.
Au-delà des initiatives ponctuelles, et de celles prises par certaines collectivités, les Français n’ont pas attendu pour se convertir au covoiturage, notamment sur les trajets longue distance. Ce qui va obliger les acteurs traditionnels du transport, comme la SNCF, à se remettre en question. --> Le covoiturage grande distance --> Le covoiturage dynamique
Pour peu qu’on accepte de partager sa voiture, ou celle d’un automobiliste, et à condition d'accepter le relatif inconfort d'un long voyage en auto, on peut ainsi réduire considérablement ses frais. Le covoiturage séduit non seulement les étudiants et les jeunes, mais aussi les plus âgés. Il n’est plus rare de croiser un automobiliste ou voyageur d’une soixantaine d’année. La SNCF se devait de réagir. Pour Bruno Marzloff, sociologue et consultant spécialiste des transports, la réponse de la compagnie ferroviaire a pris une double forme. "Le car IDBus et le train Ouigo, récemment lancés, se sont alignés sur le prix du covoiturage", observe le consultant. Le covoiturage n’est plus un mode de transport marginal. Il dicte ses prix. C'est d'ailleurs le marché qui détermine le coût des trajets.
Passer un tiers de ma paye dans l'essence c'était pas raisonnable, raconte Séverine Renault, jeune salariée adepte depuis un an du covoiturage entre Lyon et Grenoble, un mode de transport qui avec la flambée du pétrole connaît un engouement sans précédent. Le calcul est vite fait: un aller-retour en covoiturage me coûte 10 euros contre 40 si je le fais toute seule, témoigne celle qui pour se rendre à son travail partage chaque matin une heure de route avec Michaël, un ingénieur grenoblois domicilié à Lyon..................
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