"Cette étude se propose de caractériser les internautes qui relaient des “fake news” sur la Twittosphère française en articulant trois méthodes de recherche. Tout d’abord, une approche de sciences sociales computationnelles, reposant sur une procédure de matching, nous a permis de comparer des “fakers” et “non-fakers” occupant la même position idéologique, et de répliquer des résultats de la littérature académique américaine : en France aussi le partage de “fake news” est rare et la conséquence d’une minorité d’utilisateurs très politisés, situés aux extrêmes de l’échiquier politique.
Le séminaire FlashLab a accueilli Manon Berriche en novembre dernier. Pour compléter : Altay, S., Berriche, M., & Acerbi, A. (2023). Misinformation on Misinformation: Conceptual and Methodological Challenges. Social Media + Society, 9(1). https://doi.org/10.1177/20563051221150412