Comment les réseaux sociaux aident à protéger la biodiversité | Boîte à outils numériques | Scoop.it

Une étude réalisée par une équipe de l'Université de Queensland en Australie, et parue dans la revue BioScience, montre l'importance de Facebook dans les études des points chauds de la biodiversité. Ces points chauds sont des lieux cruciaux dans le monde : ils comptent environ 50% des espèces (animales ou végétales), enregistrent une pression anthropique forte (pression liée aux activités humaines) et se concentrent sur 1,4% de la surface de la Terre.